l'origine des langues
Cet essai se divise en 20 chapitres dans lesquels Jean Jacques rousseau nous parlent de la mélodie et l’imitation musicale, nous dégageons ainsi l’essence de ses pensées et les mots -clés dans ce livre.
Tout d’abord, Rousseau parlent des divers moyens de communiquer nos pensées:le mouvement (le geste) et la voix. Mais l’on parle aux yeux bien mieux qu’aux oreilles. Selon Rousseau, l’usage et le besoin font apprendre à chacun la langue de son pays . Mais la parole ne vient pas des besoins( la faim ,la soif,etc.), mais des passions(l’amour ,la haine ,la pitié ,la colère ,etc.). Selon lui, le premier langage dut être figuré( soit représenter par un signe conventielle par des trops qui se cachent la vérité). Et sur l’écriture, il croit que plus l’écriture est grossière ,plus la langue est antique et donne quatre minières d’écrire. En conclusion , la peinture des objets convient aux peuples sauvages; les signes des mots et des propositions ,aux peuples barbares ,et l’alphabet, aux peuples policés, cela est confirme à l’évolution de l’homme et au développement de la langue. Rousseau estime que la prosodie moderne reflète l’évolution de la langue devenant plus froide. Il donne des raisons générales et locales dans l’origine des langues, pourtant cette idée a été déniée dans l’époque moderne. Et sur la formation des langues méridionales et des langues du nord, la nature s’est opposée de la société et la culture par Rousseau. Dans le chapitre sur l’origine de la musique, et ses rapports, Rousseau pense que tout cela au début est sensible et beau. Il faut distinguer ici la voix , le son,l’articulaire et l’accent. Pour bien expliquer la mélodie , Rousseau compare la musique avec la peinture , la mélodie est en réalité un dessin linéaire formé en tenant compte de leur hauteur ,par les voyelles successives de la chaîne parlée. Il faut distinguer la mélodie et l’harmonie pour comprendre l’harmonie. Le premier n’imite pas