l'éducation sentimentale
Introduction :
Dans ce passage que nous allons étudier de l’éducation sentimentale de Flaubert, nous découvrons à travers le regard du héro : Frédéric les révolutions de 1848 : La monarchie qui deviens république. Or une des particularités de Frédéric est que ce personnage n’a rien d’un héro, et reste totalement extérieur à l’Histoire qui se déroule et préfère se centrer sur son histoire personnelle et son désir de vengeance envers madame Arnoux. Nous avons donc affaire à un anti-héro totalement à l’opposée des valeurs romantiques et collectives. Nous allons donc voir « comment à travers le regard de cet héro paradoxal, Flaubert nous présente t’il la révolution de 1848 ? »
Exemple de plan :
I) Un héro paradoxal
a. Un héro extérieur à l’histoire
Regard spatial qu’il porte sur l’homme : « venait périr le genre humain » l2 : « je suis à la mode je me réforme » : ironie
b. Valeurs
Vengeance de Mme Arnoux : imprévue, passive « outrager »
« l’autre » : substantif : dégradant =/ idéalisation de Mme Arnoux avant
Rosanette : outils de vengeance de Frédéric
« raffinement de haine » : oxymore
« c’est un excès de bonheur » regard ironique narrateur : antiphrase pareil à la rencontre avec Mme Arnoux
« je me réforme » narrateur juge son perso : regard ironique sur la réforme et la société
Éducation sentimentale ratée : anti-héro, donne leçon de morale alors que lui ne fait rien= regard pessimiste du narrateur, jugement négatif auteur sur l’existence
Collectif gagne l9, 11, 16, 18 parallèle palais des tuileries
II) La Révolution
a. Une ambiance festive paradoxale
Ambiance Festive pour une révolution : « tout le monde était en joie » l9, « d’enthousiasme » l13 « lanternes vénitiennes », « guirlandes de feu », etc Soldats tristes et effondrés : « harassés, l’air triste » : situation inversée entre civils et soldats
Premier jour de révolution : comportement festif, succès : paradoxale