L’amour d’Amélie
La symphonie pastorale est un roman écrit en 1919 par André Gide. Ce roman est le journal intime du pasteur qui raconte son histoire avec Gertrude, une fille aveugle et orpheline. Le pasteur adopte Gertrude chez soi. Il offrit l’éducation protestante à Gertrude et cache tous les péchés du monde pour elle. Lorsque Gertrude devint de plus en plus belle, intelligente et pure, il tombe amoureux d’elle et trahit sa femme : Amélie, et son dieu. Pour protéger Gertrude, il interdit à son fils Jacques d’aimer elle et il lui ordonne de partir. Suite à une opération, Gertrude retrouve la vue. Mais elle ne s’habitue pas du tout la réalité : le mal et la péché. Donc, elle finit par mourir de folie après l’opération.
Dans le roman, le pasteur compare toujours sa femme et Gertrude en secret. En effet, les deux figures Féminines s’opposent vraiment sous bien des angles. Premièrement, l’âge est un écart très important entre Amélie et Gertrude. Amélie est une mère de cinq enfants. Elle est veille et ordinaire. Mais Gertrude est une jeune fille avec un beau visage régulier. Secondement, ces deux femmes ont un rapport au caractère totalement différent. Amélie est une mère au foyer s’occupée par les ménages lourds. A cause de la peine de la vie quotidienne, elle est une personne silencieuse, simple et banale. Par contre, Gertrude aime sortir avec le pasteur pour des balades dans les champs. Elle est optimiste et animée avec l’apte à l’écoute et l’échange. A travers la comparaison, il est évident que Gertrude est adorable, car elle est belle et pure, comme un ange. Et c’est aussi clair que personne n’aime Amélie. Mais si Gertrude est une veille femme, est-ce que le pasteur veut l’aimer où même l’adopte? Selon moi, l’auteur recherche l’origine d’amour : physique ou âme, et il doute aussi l’amour entre le pasteur et Gertrude.
Comparé avec l’amour de Gertrude pour le pasteur, l’amour d’Amélie pour son mari