L’efficacité d’une politique fiscale se rapprochant de la rigueur et un plan social efficace.
La dette souveraine française représente aujourd’hui 85% du PIB, soit 1700 milliards d’euro environ. Dans l’histoire française, c’est en 1797 que la dette a atteint un tel niveau en représentation du PIB, la solution fut prise par le directoire qui décida de ne payer qu’un seul tiers de la dette et effaçant le reste Aujourd’hui l’élément marquant n’est pas tant son niveau mais plutôt sa hausse : en 2007 la dette ne représentait « que » 64% du PIB (environ plus de 1200 milliards de d’euro). On voit donc une augmentation de la dette de 20 points en pourcentage du PIB. La dette publique de la France est l’ensemble de tous les emprunts de L’Etat, les collectivités territoriales et les organismes publics français. Pour faire face à cet endettement qui est accentué par une crise depuis 2008, le gouvernement parle de mettre en place des mesures fiscales pour relancer l’économie pour baisser le déficit public. Actuellement le gouvernement a pu parler d’un plan de rigueur qui consiste à baisser les dépenses publiques pour augmenter le solde public qui est déficitaire depuis 1975. Il y a donc un dilemme étatique entre politique sociale et anti-dette. De plus, depuis 1983 et le mandat de François Mitterrand le mot « rigueur » fait peur en politique car il est « synonyme » d’échec et un plan de rigueur a des objectifs à long terme et demande un ralentissement certain de la croissance dans un premier temps. Tous ces éléments laissent apparaitre un doute quant à la politique prépondérante que doit utiliser l’état. On en vient donc à se demander dans quelle mesure les politiques français peuvent-ils concilier l’efficacité d’une politique fiscale se