Économie informelle
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Normalisation thermique
Le 27 / 10 / 2010
Introduction
De grands problèmes planétaires nous donne un triste état de la situation de la Terre: l’effet de serre (augmentation de la température (2,9° en 2050), l’émission de CO2 des 744 plus grandes villes (19% pop) supérieure à la capacité d’absorption du parc forestier planétaire) ; l’épuisement des ressources (raréfaction des énergies fossiles, perte de biodiversité) ; la pollution (eau, sol ou air) ; etc. C’est ainsi en 1987 que la 1ère notion de développement durable apparaît dans le rapport Brundtland, suite au sommet de Stockholm où les ministères de l’environnement ont vu le jour. En 1992, la conférence de Rio pose les bases du DD avec des éléments tels que la notion de pollueur/payeur par exemple. Les changements climatiques et la promesse de réduire les gaz à effet de serre sont abordé en 1996 à la conférence de Genève et le de Kyoto. En 2002, c’est de l’heure des bilans et actions opérationnelles au sommet de Johannesburg. La définition que l’on prend en compte le plus souvent est la suivante : « Développement qui réponde aux besoins des générations présentes sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs », c’est-à-dire « Conserver le même potentiel de développement pour les générations futures ».
On peut alors se demander quels sont les actions (lois ou autres) que la France a décidé de mener ? Nous allons donc en premier lieu parler de la réglementation thermique. Ensuite, nous aborderons la notion de démarche HQE.
I/ Réglementation thermique
Après la seconde guerre mondiale, le CSTB français (centre scientifique et technique du bâtiment) est chargé de reconstruire toute la France, et créa le DTU (document technique unifié), un document de notion, de savoir-faire, de normes. A cause du choc pétrolier, une réglementation thermique dans la construction de bâtiments a été mise