Éloge de la folie
Par Érasme
La Renaissance arrive au début du XVe siècle, elle fait naître les sciences, la littérature et la arts. Érasme prénommé le prince humaniste et théologien, est née en 1469 à Rotterdam et décède en 1536 à Bâle. Ce grand auteur à écrite plusieurs satires mais une de ses grandes œuvres fût > il s’agit d’une fiction burlesque et allégorique. Il a excellé dans le genre satirique ou la satire s’élargit et dépasse l’époque de son auteur pour atteindre la société humaine générale. Ce cachant derrière la folie Érasme peut critiqué l’attitude du clergé, des courtisans et des princes face à leur vrai responsabilités. La folie fait état de la convoitise des princes face au réel fardeau du pouvoirs, elle décrit le comportement des courtisans comme des profiteurs sans envergures, puis ridiculise le sens de l’habit religieux face à leur cupidités.
L’humaniste fait l’éloge de la réalité politique et de responsabilités d’un roi et de ces capacités à régner.
> p 74
Cette prose décrit bien l’univers dans lequel les personnages aux pouvoirs doivent gouverner, mais une fois leurs ambitions atteintes, la folie dépeint l’état méprisable de ses hommes qui, une fois au pouvoir ne pensent qu’au plaisir charnel et à la luxure.
> p 74
Érasme fait ressortir toute la corruption de la cupidité de l’être humain versus ce qu’ils ont promulguées pour y accéder. Par ailleurs, dans son élan de dénonciation fait parler la folie pour divulguer la vrai nature des courtisans :
> p 75
Ainsi dans cette énumération d’insultes l’auteur partage sa vision des gens de cour, qui prétextant une certaine notoriété face au peuple, feignent d’aduler le roi pour demeurer feignant.
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En effet, selon Érasme la peur de s’ennuyer est égal à leur oisivetés. Se laissant bercer par la luxure au fil des heures, des jours, des mois, des années et des siècles, la gradation précise que les courtisans ne vivaient que de plaisir au quotidien.
Par la suite, il