Éthique journalistique et droit à l'information: sont-ils conciliables?
NOTES POUR LA TABLE RONDE.
PARTIE 1
Ministre tentative de vol centre commerial (crime mineur, a payé l’amende, ne doit plus rien à la société)
Population a le droit à l’information
Divulger cette information
PARTIE 2
Personnages
->Ministre aimé de tous
->Famille connue du public (femme et deux adolescentes)
Entités
->Droit à l’information sans filtration, sans en cacher une partie.
->Éthique Journalistique -> Ne doit pas porter atteinte à la vie privé / dignité.
Facteurs:
-> Sentiment de culpabilité (responsable de la brimation de la vie privé)
-> Conviction profonde au droit à l’information (c’est ce qu’il fait comme métier)
PARTIE 3
Kant
Action non universalisable (Impératif catégorique)
Agir par bonté
Jonas (Principe de responsabilité)
Vulnérable -> ministre (vie privée)
Détient le pouvoir -> Journaliste + pouvoir de ne pas divulguer la nouvelle sur le ministre
Bentham (Utilitarisme)
Nombre de personnes heureuses (Bentham)
Acte non universalisable (morale) (Mill)
PARTIE 4
Personnellement, je ne publierait pas la nouvelle.
Droit à l’information important, mais devrait être nuancé / passer par dessus dans de tels cas.
ÉTHIQUE JOURNALISTIQUE ET DROIT À L’INFORMATION SONT-ILS CONCILIABLES?
L’éthique journaliste, comme son nom le dit, est un code moral qui se rattache à l’exercice du métier de journaliste. C’est ce qui dicte au journaliste ce qui est acceptable on non acceptable de dévoiler au public. Le journaliste aura en effet souvent à faire face à ce genre de dilemme tout au long de sa carrière, et aura à décider s’il doit ou non divulguer une information qui pourrait atteindre à la réputation de la personne concernée, sachant qu’il devrait, conformément au droit à l’information, divulguer toute information sans filtre. Voici donc une mise en situation qui met en conflit ces deux concept que j’analyserai, à l’aide de théories éthiques, à savoir s’ils