Français : étude de comparaison A travers l'étude de la comparaison entre l'incipit et l'épilogue, deux contextes différents se mettront en avant. Une grande évolution psychologique et physique concernant le protagoniste, une sorte de «Germination», d'où son titre «Germinale». En effectuant cette étude il y aura deux oppositions entre l'incipit et l'épilogue qui vont être développé lors deux court paragraphe, ces deux contradictions vont nous permettre d'établir finalement les liens entre l'incipit, l'épilogue et le titre. Notre protagoniste Étienne Lantier, dans l'incipit est dans une situation équivalente à une désorientation dû à son absence psychologique (l. 2-3 : «un homme suivait seul la grande route de Marchiennes à Montsou», l.18 : «tête vide d'ouvrier»). Le contexte dans lequel Étienne entre à Montsou est hivernale, douloureux mais aussi un des plus sombres ceci est prouvé dans les citations du textes suivants: l.1 : «sous la nuit sans étoile»,l.6 : «les souffles des vents de mars»,l.7: «glacé» l.10 « aveuglant des ténèbres»,l.16: «des mains gourdes»,l.19:«le froid»,l.23: «besoin douloureux», l.31: «ciel mort», l.38 : «noyé de nuit». Toutes les lignes sont en rapport avec son état physique et psychologiques. Lors du développement de la deuxième partie nous allons concrétisé l'opposition de l'épilogue et de l'incipit. La situation de du protagoniste a évolué au cours du récit, et nous offre un toute autre contexte. Dans l'incipit, il était seul, désorienté, un contexte hivernal, un monde obscure, dans l'épilogue il sort de ce monde obscure (l.118 : «transparent du matin», l.128-129 : « soleil d'avril rayonnait dans sa gloire», l.136-137 :«Aux rayons enflammée de l'astre», l.137 : «matinée de jeunesse»). Et il est passé à un monde féérique : l.127: «sous les blés, les haies vives, les jeunes arbres», l.129 : «jaillissait la vie», l.130 : «les bourgeons crevaient en feuilles vertes», l.131-132: «les champs tressaillaient de la poussée des