LES MISERABLES - Etude de texte questions p 275 – 276
Entrainement au brevet

Extrait p 63
Le récit

1. C’est un narrateur extérieur, avec un point de vue omniscient : le narrateur sait tout des personnages.
2. JV doit faire un choix qui aura des conséquences graves :
Soit se dénoncer
Soit ne rien dire et laisser accuser un innocent.
LE PREMIER PARAGRAPHE : le mot reculait montre qu’il n’arrive pas à prendre de décision.
Puis, on a comme du style direct : les propres pensées de Jean Valjean.
Puis, le 3ème paragraphe est basé sur une opposition : sa vie actuelle CONTRE sa vie future s’il se dénonce.
3. Reculait, conseillait, paraissait sont conjugués à l’imparfait, c’est un imparfait descriptif.
4. De la ligne 14 à la ligne 23, les verbes sont conjugués au mode conditionnel : JV émet des hypothèses.
5. LE PLAN DE CE PASSAGE
JV se dit les deux solutions (1er paragraphe)
La confusion avec Champmathieu pourrait être un signe du destin, une chance.
L’opposition entre la vie douillette qu’il mène et le bagne qu’il a connu.
La souffrance
1. Fatalité : destin
Funeste : mauvais, triste
2. Ce qui pouvait apparaître comme une chance est finalement un grand dilemme à résoudre, un problème de conscience.
3. Beaucoup de phrase sont exclamatives.
4. JV a déjà connu le bagne, d’ailleurs l’extrait se termine par ces deux mots « horreurs connues »
5. LES SOUVENIRS HEUREUX :
Se promener
Entendre les oiseaux chanter
Faire l’aumône
Sentir les regards de reconnaissance
Lire-écrire
Prendre le petit déjeuner
LES SOUVENIRS MALHEUREUX :
Le bagne
Le carcan
L’uniforme de forçat
La chaîne
La fatigue
Le cachot

6. « eût » est le verbe avoir conjugué au subjonctif imparfait.
7. L’horreur du bagne n’est pas détaillée alors que la vie heureuse l’est.
8. « tout ce qu’il faudrait » est répété deux fois comme l’expression « grand Dieu ».
Beaucoup de phrases sont à la forme négative.
Ce style montre le désespoir, le désarroi.

REECRITURE

Ici on