Julien 2011202052

À la recherche de la beauté de la simplicité

L’été dernier, je voulais lire quelque-chose. Donc j’ai fait une recherche sur internet, et par hasard, j’ai été attiré par la couverture d’un livre. C’était une peinture où il y avait pour objets principaux un homme et une jeune fille, et qu’au loin on voyait le village. La scène était silencieuse et belle, mais au contraire le livre était nommé d’après un lieu maudit. Le nom du livre est La Mare au Diable, un roman écrit par
George Sand. La Mare au Diable est le chef-d’œuvre parmi ses romans pastoraux.
George Sand, avant de commencer sa période de romans pastoraux, avait écrit beaucoup de livres qui critiquaient la société et luttaient pour les femmes. Mais après, elle s’est calmé, et l’esprit exprimé par ses œuvres a devenu plus doux. Donc elle s’est concentrée sur la recherche de la beauté de la simplicité qui est bien désignée dans la préface de La Mare au Diable.
L’histoire dans ce livre est toute simple mais poétique, qui se déroule dans un petit village, une belle nature. Germain, 28 ans, un laboureur et un veuf avec trois enfants, veut se remarier. Son beau-père lui recommande une veuve d’une famille aisée. Mais il tombe amoureux avec une jeune fille de son voisin, Marie, 16 ans, une bergère. Enfin, ils surmontent les distances de l’âge et des conditions économiques (la famille de
Germain et plus riche que celle de Marie), et recomposent une famille heureuse. On voit partout la beauté de la simplicité dans ce livre: dans les personnalités, dans les sentiments et dans la nature.

Julien 2011202052
La simplicité de personnalité est bien évidente. Tous les personnages du village de
Germain sont un peu idéalisés. Ils sont tous gentils et sympathiques. Le père Maurice et la mère Maurice sont vraiment gentils avec Germain. Ils respectent le choix de
Germain quand Germain renonce au mariage avec la veuve et souhaitent le meilleur pour lui quand ils connaissent que