14 février

Parti, Staline entre au Comité central. 1913 Déporté à Touroukhansk. A nouveau arrêté, Staline est déporté dans une région reculée de la Sibérie, proche du cercle polaire. Cette fois-ci, il ne peut s’en évader. Il est libéré lors de la révolution de février 1917 qui provoque l'abdication de l'empereur Nicolas II de Russie et la fin de l'empire russe. 2 2. La montée vers le pouvoir 1917 Elu au Comité central du parti bolchevik. Il est également secrétaire de rédaction de la "Pravda". 1919 Création

« merveilleux Géorgien », mais en 1915, dans une lettre à Maxime Gorki, il a oublié son nom18. L'accès au pouvoir suprême (1917-1929) Le communisme de guerre (1917-1922) Après la chute du tsarisme et l'abdication de Nicolas II lors de la Révolution de février 1917, Staline, à peine de retour d'une longue déportation en Sibérie, prend en main la direction du Parti à Pétrograd. Il prône alors la politique du « soutien critique » au gouvernement provisoire réformiste bourgeois d'Alexandre Kerensky. Néanmoins

Les fonctions, les activités et les différents services de l’établissement : page 4 à 8 2ème Partie : I) L’organisation de l’Hôpital : page 8 à 14 II) Les activités des différents services : page 15 à 21 III) les principaux objectifs de la maison de retraite : page

égalité (idées fortes de la révolution française) et fraternité (symbole de la 2éme république). - Paris est la capitale, le gouvernement s’y installe donc le pouvoir politique est à Paris. - La fête nationale est le 14 juillet, en référence à la prise de la bastille en 1789 et la fête de la fédération en 1790. C- Une République consolidée par les grandes lois de la liberté. Il y a différentes lois qui sont prises : - Lois laïques et

forte, et surtout résistance. Il faut savoir qu'Aragon fait parti de ces nombreux artistes engagés pendant les guerres, il est donc favorable à la résistance, et aime sa patrie. Sous l'identité de Jacques d'Estaing, Louis Aragon publia ce poème le 14 juillet 1943, dans l'Honneur des Poètes. En hommage à Gabriel Péri, résistant Français, la ballade de celui qui chanta dans les supplices relate l'histoire d'un résistant prisonnier, torturé par les soldats allemands. Ce poème recèle un profond mépris

chant national Le 14 juillet 1795. Interdite sous l’Empire et la Restauration, la Marseillaise est remise à l’honneur lors de la Révolution de 1830 et Berlioz en élabore une orchestration qu’il dédie à Rouget de L'Isle. Une version officialisée, puis une hymne mondiale : La 3ème République (1879) en fait un hymne national et, en 1887, une "version officielle" est adoptée par le ministère de la guerre après avis d’une commission. C’est également sous la 3ème République, Le 14 juillet 1915, que

Toute la collection Chocolat Ideal, 1897, Mucha, inv. 12578 © ADAGP, Paris * Bibliographie 1860 Naissance le 14 juillet à Ivancice en Moravie. 1870-1881 Commence à dessiner. Voyage à Prague et à Vienne où il travaille, comme apprenti-peintre, dans une entreprise de décoration théâtrale. Premiers contacts avec l’univers du théâtre d’où il tirera son inspiration aussi bien dans la composition de ses affiches que dans ses nombreuses créations artistiques. 1883-1893 Rencontre son

des Lumières, la devise «Liberté, Égalité, Fraternité » est évoqué pour la première fois lors de la Révolution Française. Lorsqu'est rédigé la constitution de 1848, cette devise est définie comme un principe de la République. Elle est aussi, à du 14 Juillet 1880, réinscrite sur le fronton des édifices publics. Remise en cause par le Second Empire, elle finit cependant par s'imposer sous la Troisième République. On observe toutefois encore quelques résistances, y compris chez les partisans de la République:

est dominé par la Chambre des députés qui n'a plus à craindre de dissolution. En 1879, les Républicains obtiennent la démission de Mac Mahon et nomme le républicain Jules Grévy pour le remplacer. La Marseillaise devient hymne national en 1879 et le 14 juillet fête nationale en 1880. La succession des ministères reflète une évolution politique marquée par des crises qui paradoxalement renforce la République car elles permettent de désamorcés les oppositions (anarchistes, antiparlementaires...) et

de la déclaration de guerre de la France à l'Autriche, ses paroles consistent essentiellement en une exhortation au combat contre les « hordes ennemies », pour la victoire et le salut de la Patrie. Elle a été adoptée comme hymne national français le 14 juillet 1795. Elle fut écrite par Claude Joseph Rouget de Lisle, capitaine du Génie alors en poste à Strasbourg dans la nuit du 25 au 26 avril 1792 à la suite de la déclaration de guerre à l'Autriche du 20 avril 1792. Le titre initial de cette