2 Février 1808

à Paris le 22 mai 1808 et mort à Paris le 26 janvier 1855. Fils d'Étienne Labrunie, médecin militaire, et de Marie-Antoinette Laurent fille d'un marchand linger de la rue Coquillière[]. Baptisé le 23 à Saint-Merri, il est confié quelques mois plus tard à une nourrice de Loisy[2], près de Mortefontaine. Nommé le 8 juin suivant médecin militaire adjoint à la Grande Armée, le docteur Labrunie est rapidement promu médecin et attaché, le 22 décembre, au service de l'armée du Rhin[2]. Le 29 novembre 1810

aussi des nations qui ont pris conscience de leur identité dans l’opposition au tyran français. L’expérience impériale est donc riche de multiples sens et suscite, aujourd’hui encore, des débats passionnés chez les historiens et chez les politiques. 2 LES INSTITUTIONS IMPÉRIALES ET LEURS ORIGINES L’Empire connaît deux Constitutions : la première est instaurée le 18 mai 1804 ; il s’agit précisément d’un sénatus-consulte organique destiné à adapter la Constitution consulaire de l’an X à la nouvelle

symphonique était son domaine de prédilection. La symphonie no 1a été composée en 1799 – 18001 et créée le 2 avril 18002 au Burg Theater à Vienne. Publiée à la fin de l’année 1801 chez Hoffmeister à Leipzig2,3, elle est dédiée au baron Van Swieten2, mélomane, ami de Wolfgang Amadeus Mozart et de Joseph Haydn, et l'un des premiers protecteurs de Beethoven à Vienne. La symphonie no 2 a été composée en 1801 – 1802 et créée le 5 avril 18031 au Theater an der Wien à Vienne. Publiée au comptoir des

Né à Paris le 20 avril 1808, mort à Chislehurst dans le Kent le 9 janvier 1873, Charles Louis Napoléon, futur Napoléon III, neveu de Napoléon Ier, est le troisième fils de Louis Bonaparte et de Hortense de Beauharnais elle même née du premier mariage de l'impératrice Joséphine. Le futur Napoléon III passe sa jeunesse en Suisse, au château d'Arenenberg. Il est élève au collège militaire d'Augsbourg puis à l'École militaire de Thoune. Le futur Napoléon III l sort officier d'artillerie de l'armée

2 aspects distincts mais liés : l’abolition de l’esclavage et celle de la traite atlantique *Notre vision de l’abolition* Les premiers militants de la cause abolitionniste - plus prudent et plus réaliste d’abolir la traite en premier puis attendre que l’esclavage s’éteigne naturellement -extinction de sa principale source. Livre ‘Avertissement à la Grande-Bretagne et à ses colonies relatif à l’état calamiteux des Nègres réduits en esclavage dans les colonies britanniques’ (XVIII) - influence

révolution mais échoue lorsqu’il essaye de se faire élire aux états généraux. Cependant, il parvient à se lier avec La Fayette, Mirabeau, Gensonné et à se faire connaître du club des Jacobins. Il est ensuite promu au grade de lieutenant général en février 1792. Avec l’appui des Girondins, il est nommé ministre des affaires étrangères le 15 mars 1792. Il pousse à la guère contre l’Autriche, fait licencier la garde constitutionnelle du roi Louis XVI et opère au renvoi des ministres Roland, Servan et

indépendance. I. De la révolte loyaliste aux luttes indépendantistes A. Les répercussions au Mexique de la Guerre en Espagne En ce début de XIXe siècle, l’Espagne est sous le joug de l’armée napoléonienne. En effet, Napoléon a envahi l’Espagne en 1808. À la suite de quoi, une émeute éclate à Aranjuez. C’est alors que le premier ministre espagnol Godoy démissionne et le roi Charles IV abdique le lendemain en faveur de son fils Ferdinand VII. Cependant, ce tout nouveau roi ne reste pas longtemps sur

lequel ils avaient grandi et qui ont l'impression de vivre à l'âge adulte dans un monde en ruines. En 1802, Chateaubriand fait paraître René, roman où se définit le « mal du siècle », et qui le consacre comme porte-parole de la sensibilité nouvelle. 2. La deuxième génération (1820-1830): Musset, né en 1810, analyse dans La Confession d'un enfant du siècle, ouvrage paru en 1836, les désarrois de la génération née à la fin de l'Empire et qui, ayant rêvé avec l'épopée napoléonienne, s'ennuie sous

1er mars 1994, le droit pénal français est l'héritier de deux codes précédents. Tout d'abord le Code révolutionnaire de 1791, qui fut la première tentative de codification de l'ensemble de la matière pénale, mais surtout le Code pénal impérial du 12 février 1810 qui fut plus durable bien que fortement modifié au cours du temps. À la fin du XIXe siècle, la récidive devient un enjeu important dans les débats sur la politique pénitentiaire et le sens de la peine, tandis qu'au début du XIXe siècle, l'affaire

un peintre célèbre et reconnu. II- Contexte historique : 1- Les élections de février 1936 : En Espagne, les élections de février 1936 opposent les nationalistes, composés de la bourgeoisie, de l’église et de l’armée, et les républicains du Front Populaire. A la surprise générale, ce sont les républicains qui gagnent. Mais très vite, le gouvernement ne parvient plus à maintenir l’ordre dans le pays. 2- La guerre civile espagnole : En juillet 1936, le général Franco organise un putsch