2eme Crise De Berlin

– 1991 : Une superpuissance mondiale comme leader du monde libre A. 1941-1948 : s’affirmer en tant que superpuissance mondiale. A partir de 1941 (Pearl Harbour), les Etats-Unis passent du stade de superpuissance mondiale assumé. Au cours de la 2ème Guerre Mondiale, l’Amérique assure sa mutation pour se transformer en superpuissance. Comment l’Amérique s’engage t’elle dans la seconde guerre mondiale ? Elle s’engage militairement (le débarquement), la nation prends les armes → Guerre Totale (très

auprès de la police, se sent de moins en moins en sécurité. La police n’est plus vue comme une institution d’ordre, mais plutôt celle qui organise le désordre public, et cette surveillance est de moins en moins efficace. L’institution est dans une crise d’image, ces activités et ses compétences de pouvoir servir la population sont remises en cause. A ce sujet, la communication institutionnelle ayant pour objet de viser la promotion de l’institution à travers sa contribution à la vie de la société

une tendance à l’abstraction, pays des grands principes, on s’occupe peu de la réalité concrète. Très critique par de Maistre : j’ai vu dans ma vie des Italiens, des Russes (…) quant à l’homme, je déclare ne l’avoir jamais rencontré de ma vie. 2ème idée, le rôle des intellectuels en politique. Très important. Voir la séance sur les intellectuels. 3ème idée : lien entre la politique, l’administration et la littérature. Administration : tradition du diplomate écrivain : Stendhal (consulat),

entre les 3 gr USA , URSS et GB mise en place ONU : mytheentretenu par dg « partage du monde par les gr ») , Potsdam juillet 45 réorga monde et paix future avec ONU  fr siège permanent conseil sécu ONU (droit veto) et zonne d’occupation en All et Berlin qui est divisé, notamment sous influence Churchill (veut contreer URSS du coup ca fait 3 contre 1) Fr pas présente conseils de la paix II) Les réformes de structure (fonction modification structures (en profondeur) orga eco et sociale qui vont modifier

« Anschluss » opération pour réunir tous les germanophones d’Europe au sein du Reich-Septembre 1938 : revendication des Sudètes par Hitler-Septembre 1938 : Accords de Munich avec Daladier, Hitler et Mussolini pour régler la crise · Politiques intimidantes + création de « l’Axe Rome Berlin » en 1938 et solidifié par le « pacte d’acier » en 1939 C) Impuissance des démocratiesRégimes totalitaires menaçants car remettent en cause les principes démocratiques + soutiennent opposants

lesquels le plan d’aujourd’hui mettra l’accent tour à tour : la compétition impériale et la transformation de la guerre. L’une et l’autre génératrice de tensions sociales internes, en somme tout ce qui a contribué, non pas à provoquer mécaniquement la crise de 1914, mais à en faire supporter les conséquences par les peuples et avec leur consentement. 1 LE « GRAND JEU » IMPERIAL Terme provenant des échecs qui semble avoir été utilisé la première fois par Arthur Connoly en 1838 dans son récit :

d’expression / de parole. A la suite de ces manifestations, il n’y a pas de réaction ni d’intervention militaire de l’URSS. Ainsi le parti communiste de la RDA ouvre sa frontière avec la RFA.Finalement en novembre 1989, on assiste à la chute du mur de Berlin et finalement en octobre 1990, les Allemands se réunifient. Finalement il va y avoir une diffusion de la contestation dans différents pays communistes d’Europe de l’EST (effet DOMINO) : · Tchécoslovaquie avec la « Révolution de Velours » (1989).Ceci

donc crise sociale. En paralysant la première puissance économique cette crise va gagner le reste du monde en provoquant une désorganisation des échanges commerciaux et des flux financiers et en intensifiant les autres crises. L’effet domino va être mondial. SECTION 1 – La grande crise et la marche à la guerre I. La crise et la déstabilisation de la politique de la paix En déstabilisant les économies et les sociétés de la quasi-totalité des pays de la planète, la crise allait

sur Tours. 10 millions de français paniqués, affolés par les rumeurs les plus insensées et les Stukas qui les mitraillent, se précipitent, à l’exemple du gouvernement, dans un inextricable encombrement, sur les routes ; c’est « l’Exode ». Le 12 la crise au sein du gouvernement se durcit entre les partisans de l’armistice emmenés par Pétain et Paul Raynaud qui souhaite avec Georges Mandel continuer les combats. De gaulle est dépêché pour la deuxième fois à Londres, pour organiser avec Churchill,

empires coloniaux les guerres et l’initiative privée. La même période a connu aussi le protectionnisme (USA, Allemagne) et l’organisation bilatérale souvent entre pays industriel et colonies ; l’accord de libre échange entre le RU et la France du 2ème empire ; il y avait des barrières douanières qui entravent la forte croissance des échanges, mouvement des capitaux et de population (migration de peuplement des USA, canada). La même période était marqué de l’intensité du transfert du capital ethnique