36 Fillette

11 Les différents emplois de que . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ......... 36 ➜ 12 Les conjonctions de subordination . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ......... 38 ➜ 13 L’attribut

Meu amor meu amor (Mon amour mon amour) 29 12. Miss you (Tu me manques) 29 13. On ne vit pas sans se dire adieu 31 14. Puisque tu pars 32 15. Lettre du front 33 16. Sodade 35 17. Right here waiting (Je serai juste ici à t’attendre) 36 18. Le telephone pleure 37 19. Butterfly 38 20. Long distance love (Longue distance amoureuse) 39 ------------------------------------------------- Choix du thème Pour commencer, nous avons choisi le thème de l’éloignement d’une personne

dans une robe sombre toute simple. 19 Seule une rose rouge, piquée dans ses cheveux noirs. attirait l'oeil violemment, semblait marquer sa physionomie, accentuer son caractère spécial, lui donner la note vive et brusque qu'il fallait. Une fillette en robe courte la suivait. Mme Forestier s'élança: "Bonjour, Clotilde. - Bonjour, Madeleine." Elles s'embrassèrent. Puis l'enfant tendit son front avec une assurance de grande personne, en prononçant: "Bonjour, cousine." Mme Forestier la baisa; puis

manches ; et les cheveux relevés au sommet de la tête, frisant un peu sur la nuque, faisaient un léger nuage de duvet blond au-dessus du cou. Duroy se rassurait sous son regard, qui lui rappelait sans qu’il sût pourquoi, celui de la fille rencontrée la 36 veille aux Folies-Bergère. Elle avait les yeux gris, d’un gris azuré qui en rendait étrange l’expression, le nez mince, les lèvres fortes, le menton un peu charnu, une figure irrégulière et séduisante, pleine de gentillesse et de malice. C’était

tout près, il n’osa plus. La brune lui dit : – As-tu retrouvé ta langue ? Il balbutia : « Parbleu », sans parvenir à prononcer autre chose que cette parole. Ils restaient debout tous les trois, arrêtés, arrêtant le mouvement du promenoir, formant un 36 remous autour d’eux. Alors, tout à coup, elle demanda : – Viens-tu chez moi ? Et lui, frémissant de convoitise, répondit brutalement. – Oui, mais je n’ai qu’un louis dans ma poche. Elle sourit avec indifférence : – Ça ne fait rien. Et elle prit son

pieds à la tête dans une robe sombre toute simple. Seule une rose rouge, piquée dans ses cheveux noirs. attirait l’œil violemment, semblait marquer sa physionomie, accentuer son caractère spécial, lui donner la note vive et brusque qu’il fallait. Une fillette en robe courte la suivait. Mme Forestier s’élança : « Bonjour, Clotilde. – Bonjour, Madeleine. » Elles s’embrassèrent. Puis l’enfant tendit son front avec une assurance de grande personne, en prononçant : « Bonjour, cousine. » Mme Forestier la baisa

pieds à la tête dans une robe sombre toute simple. Seule une rose rouge, piquée dans ses cheveux noirs, attirait l'œil violemment, semblait marquer sa physionomie, accentuer son caractère spécial, lui donner la note vive et brusque qu'il fallait. Une fillette en robe courte la suivait. Mme Forestier s'élança : - Bonjour, Clotilde. - Bonjour, Madeleine. Elles s'embrassèrent. Puis l'enfant tendit son front avec une assurance de grande personne, en prononçant : - Bonjour, cousine. Mme Forestier la baisa

la tête dans une robe sombre toute simple. Seule une rose rouge, piquée dans ses cheveux noirs. attirait l’œil violemment, semblait marquer sa physionomie, accentuer son caractère spécial, lui donner la note vive et brusque qu’il fallait. Une fillette en robe courte la suivait. Mme Forestier s’élança : « Bonjour, Clotilde. – Bonjour, Madeleine. » Elles s’embrassèrent. Puis l’enfant tendit son front avec une assurance de grande personne, en prononçant : 16 « Bonjour, cousine. » Mme

endroit, monsieur Renard ? »Je lui réponds : « Oui, monsieur Bru, il y a dans ce monde des gens pas délicats qui ne savent pas les usages. » Le petit coutil d’à côté avait l’air de ne pas entendre, sa femme non plus, sa grosse femme, un veau quoi ! 36 Le président interrompit une seconde fois : « Prenez garde ! Vous insultez Mme veuve Flamèche, ici présente. » Renard s’exclama : « Pardon, pardon, c’est la passion qui m’emporte. » Donc, il ne s’était pas écoulé un quart d’heure que le petit coutil

..................................34 Annexe 3 : photographie des fiches des prénoms des élèves....................................................35 Annexe 4 : les stades de développement du langage chez les jeunes enfants...........................36 Liste des annexes mémoire professionnel citées dans le mémoire de recherches : Annexe 1 : Questionnaire recueil de données...........................................................................72 Annexe 15 : Fiche préparation atelier langage