4.48 Psychose

moins problématique que le devenir du pervers. Ce qui nous semble le même acte, n’est pas le même selon la structure de personnalité, névrose, psychose Pour le névrosé : c peut être moins pbque, hommes qui commettent un acte répréhensible mais dt on peut penser que la récidive est plutôt restreinte. Pour le psychotique ya 3 cat : ds la psychose, l’acte criminel, le délit sexuel a une fonction très précise La schizophrénie La paranoïa La maniaco dépressive La question sexuelle est

La folie est un trouble de l’esprit, un dérèglement mental que l’on peut évaluer sous diverses formes. Dans son tableau d’art brut, Adolf Wolfli met en évidence la représentation créative non élaborée mais très riche de la folie qui représente les malades comme étant des artistes. Les malades sont entre deux mondes, le notre qui est le monde réel et le leur qui est un monde libéré des normes et des contraintes sociales. On retrouve cette idée dans le texte de Michel Foucault ou il montre que le

1) ACCES MANIAQUE La manie est une maladie qui s'inscrit dans dans psychose maniaco-dépressive. C'est une période nettement délimitée durant laquelle l'humeur est élevé de façon anormale et persistante, pendant au moins une semaine avec au moins trois symptômes présent (listés dans le DSM 4). Le Surmoi est inexistant dans cet excès. 2) ACCES HYPOMANIAQUE Il s'agit d'une forme mineure de l'accès maniaque, en reprenant la symptomatologie de façon atténuée. La période de dérèglement de l'humeur

partir de 1847 au profit du terme de « psychose ». Celui-ci fut crée par Ernst Von Feuchtersleben, psychiatre autrichien, pour distinguer les troubles de l'esprit (psychose) et ceux d'ordre nerveux (névrose) et désignait alors l'aspect aigu de la folie. L'usage du terme s'est élargi et il s'applique maintenant aux personnes présentant un délire et/ou une importante altération du sens de la réalité et de soi. On distingue schématiquement deux types de psychose: la schizophrénie et les délires chroniques

depuis 25ans où il occupe une chambre simple. C’est un patient qui est hospitalisé car il présente une symptomatologie schizophrénique très riche ; un autisme riche et une dissociation au 1er plan avec des idées délirantes. Pierre est atteint d’une psychose chronique, et le projet thérapeutique est la continuation de son traitement. Son médecin traitant était le Dr Pietri, il est aujourd’hui suivi par le Dr Casanova. Données sur le plan individuel et environnemental Physiques Description physique :

personnage qui suscite ce type de questionnements a de sérieuses chances d’être atteint de « psychose paranoïaque », une « maladie de la haine », comme l’a définie la psychanalyste Micheline Enriquez (3). Mais attention : il ne faut pas confondre cette pathologie avec la « parano » ordinaire (tendance à se sentir observé, méprisé, insulté sans raison tout en restant capable de faire la part des choses). La psychose paranoïaque est un authentique trouble de la personnalité avec délire (essentiellement délire

choix) Automatisme mental Contact froid Délire organisé Sentiment d’incompréhension Psychose tardive (persécution) (toujours victime du système) (apparition : 35 /45 ans) La paranoïa Surestimation de sa personne Pensée paralogique Enorme force de (autoritaire, rapport dominant/dominé) (inspiration de fait réel) conviction La psychose maniaco-dépressive Hyperactivité, gaîté… Tristesse, dépression… 1 cycle

Psychoses et délires. Dans certaines psychoses sous forme semi-décompensée ou décompensée, le délire occupe une place centrale. Mais le délire ne se confond pas avec la notion de psychose car il existe des psychoses sans délires. car il existe des psychoses sans délire par leur forme compensée et parfois meme un psychotique qui décompense ne délire pas pour autant. On voit des formes de délire dans certaines structures névrotiques décompensée ( différence entre délire psychotique et névrotique

Structuration astructurée Ainsi chaque personne fonctionne donc en dehors de tout état pathologique mais en fonction de la manière dont il est structuré psychiquement. C’est-à-dire qu’un sujet structuré sur un mode psychotique va développer une psychose, et un sujet structuré sur un mode névrotique va développer une névrose. Il faut savoir que la normalité est orientée du côté de l’équilibre de chacun dans sa propre structure (la normalité par rapport aux autres, à l’idéal et à la règle). La

rencontre de Françoise Dolto, pédiatre et psychanalyste. Le 23 décembre 1948, elle épousa Octave Mannoni puis intégra la société Française de psychanalyse. En 1960 elle signe le manifeste des 121. En 1967, elle organisa à paris un colloque sur les psychoses qui réunit tous les grands noms lié à histoire du freudisme. En 1969, elle créa l’école expérimentale de Bonneuil-sur-Marne, qui fit un lieu d’accueil pour les enfants psychotiques, arriérés et autistes. En 1994 elle mit sur pied le centre de formation