8000 Mots

action de badiner, amusement, plaisanterie.   LA BOUTADE : C’est un trait d'esprit. LE CALEMBOUR : Le calembour est un jeu de mots fondé sur l'homonymie ou l'homophonie (mots qui s'écrivent ou se prononcent de la même façon, mais différents par le sens), la paronymie (mots dont l'écriture ou la prononciation est très proche), ou encore la polysémie (mots ayant plusieurs sens). Le calembour est un trait de l'esprit, à connotation humoristique, qui, par le sens double d'une phrase, permet

polyptote (il consiste à employer dans des groupes verbaux rapprochés plusieurs formes grammaticales d’un même mot : V.1 « étranges étrangers », reprise syllabique « Cordonnier de Cordoue » (associant l’origine aux catégories professionnelles), jeu de mots V.19/V.20 « franco », « France » (provocation du poète alertant sur la considération des étrangers) ; V.22/V.26 /V.1/V.50 refrain (donnant la forme d’une chanson à cette poésie) ; anaphores V.31/32 « tous »(soulignant leur culture et qu’ils sont animés

........... enfin le sommet. * La couturière (recoudre) ........................ le vêtement déchiré. * Le joueur blessé (se tordre) .......................... de douleur. * Tous les ans, je (repeindre) ............................ ma cuisine. 4) Mots croisés au présent de l’ indicatif (ne mets pas les pronoms personnels sujets). 1 i pendre, 1ère P.S. 2 i tordre, 1ère P.P. 3 i pondre, 2ème P.P. 4 g peindre, 3ème P.S. 5 g perdre, 3ème P.P. 6 g coudre, 2ème P.S. 6g 4g 1i 2i 3i 5g

grimaces 4. Comique de l’absurde ou nonsense (humour fondé sur l’absence de logique) 5. Comique de mots : contrepèterie (inversion plaisante de lettres ou de syllabes dans un mot) 6. Comique de répétition 7. Comique de situation : quiproquo (méprise, erreur fait prendre quelqu’un pour quelqu’un d’autre) 8. Comiques de mots : calembour (jeu de mots fondé sur une différence de sens de mots qui se prononcent de la même façon) 9. Différence entre burlesque et héroïco-comique (traiter d’un

Il fait sa tirade. La particularité de la tirade est de faire varier les références et qu'il joue de manière permanente sur la nature de parole. Elle surprend, effet cocasse Lyrique : hyperbolique, poétique Naïf : candide Respectueux : jeu de mots campagnard : en rapport à son … Militaire : danger représenté par le nez Pratique : nez = gros lot, décalage Parodie de Pyrâme : parodie de Théophile de Viau La fin de la tirade est sarcastique et ironique. Dans qu'elle mesure cette tirade

parodie du style épique (l'écriture hérïco-comique : un sujet bas traité à l'aide d'un style élevé)) 1- les références - à l'épopée première de notre culture l'Iliade - à Virgile Géorgiques III pour tristesse du taureau vaincu même mots que V "amours-vents-exerçant" - allusion aux divinités impliquées dans les actions des mortels 2- le jeu sur les décalages - les personnages héros / coqs taureau / coq vaincu la Poule

Non non c’est hyper sérieux. C’est pour un devoir à faire pour mon petit voisin, Dylan (ouais sa mère était fan de berverly hills à sa naissance). Enfin bref, la prof de Dylan lui a donné une dissertation à faire le thème étant : étudiez l’origine et l’évolution d’une expression de votre choix… Le petit ayant le choix a donc choisit l’expression « trou de balle »… ce qui m’a bien fait marrer quand il m’a raconté ça dans sa piaule ce soir .Je précise qu’il a 15 ans, moi 23 et que c’est donc juste

les termes de deux couples de mots. A est à B ce que C est à D. Ex.: Un repas sans vin est comme une journée sans soleil. COMPARAISON (une): Rapport de ressemblance entre deux éléments au moyen d’un mot comparatif (comme, semblable à, etc.). Elle rapproche deux réalités à partir d’un point de ressemblance. Ex.: Malin comme un singe. Des divans profonds comme des tombeaux. (Baudelaire) MÉTAPHORE ET MÉTAPHORE FILÉE (une): Association de deux mots (ou groupes de mots) dans le but de souligner une

Nous allons étudiez quatre textes, tous écrit par Guillaume Apollinaire et issus du recueil Poèmes à Lou écrit en 1995. En quoi ces textes sont-ils lyriques ? Dans un premier temps nous répondrons à la question, puis nous verrons les autres registres de ces quatre textes. Ces quatre textes appartiennent au registre lyrique. En effet, dans chacun de ces textes l'expression de l'amour est très présente. Dans le premier texte, Apollinaire parle d'une femme qu'il aime. Durant tout le poème, il va donner

Interjections « eh » * Tutoiement * Dénomination affective « mon ami » * statut d’adjuvent * termes évaluatifs « état horrible où je te vois » * Language affectif + évaluatif b) Réponse du nègre * M. Vanderdendur : jeu de mots * « l’usage » : fait référence au code noir (institution juridique régissant le statut d’esclave) * Le vêtement sert à marquer l’appartenance sociale * Caleçon symbolise l’infériorité sociale * Main coupé à cause d’une blessure au