Bouddhisme

laïcité est il défini chez nos voisins ? Et quelles évolutions peut on espérer en France ? Depuis toujours, la religion est très présente dans la vie des croyants. Au fil du temps, de nouvelles religions apparaissent comme l’Islam en 622, le bouddhisme, le judaïsme… Après la fin de la Seconde Guerre Mondiale, on a assisté en France à une forte diminution de la pratique religieuse au sein des églises traditionnelles et à une augmentation des présences musulmanes et évangéliques au travers des

dieux, étant vénérée au sanctuaire d’Ise, le sanctuaire central de la religion shintoïste. 1.2. Le bouddhisme au Japon * * Originaire d l’Inde, le bouddhisme a apparu au Japon au milieu du sixième siècle, quand le roi de Paekche a envoyé une statue du Bouddha et des soutras à l’empereur du Japon. Le Prince Shotoku (574-622) est considéré le véritable fondateur du bouddhisme au Japon. À la période de Kamakura (1185-1333) l’école Zen a été établie. Le Zen a trouvé un accueil favorable

leurs dieux et leurs ancêtres, mais aussi tous les autres êtres humains «  en leur offrant l’hospitalité ». Les disciples Bouddhistes voyaient dans l’hospitalité un moyen de surmonter les divergences d’opinion, ce qui n’a pas empêché la scission du bouddhisme en sectes antagonistes. L’Eglise chrétienne a consacré une partie importante de ses ressources à accueillir gratuitement les voyageurs de toutes les origines, mais cela ne l’a pas – jusqu’à une date très récente- rendue plus tolérante envers les

caractère du pessimisme. Nietzsche lui-même, en tant que lecteur assidu de Schopenhauer, va se ranger du côté du nihilisme. Mais il ne s’arrêtera pas là. Pour lui, la philosophie de Socrate, Platon et Schopenhauer, ainsi que le christianisme et le bouddhisme sont des pensées nihilistes. D’autres philosophes tels que Bertrand Saint-Sernin arrivent à déceler le nihilisme dans la tradition hindouiste, dans le scepticisme grec, ainsi que chez les grands mystiques. Nous constatons rapidement que cette recherche

des pensées orientales, des images à la fois hautement technologiques et parfaitement visionnaires.Viola s’intéresse à la matérialité même de l’être humain jusque dans ses expériences physiques les plus extrêmes: le satori (détachement absolu) du bouddhisme zen ou bien des douleurs insoutenables. Le noir pour Bill Viola est une métaphore essentielle " les chambres de mes installations sont noires parce que ceci est la couleur de l'intérieur de votre tête. Ainsi le véritable lieu de toutes mes installations

autant irremplaçable. Nécessaire certes, mais pas indispensable" disait Robinson sous la plume de Michel Tournier dans Vendredi ou les limbes du Pacifique. Certaines organisations religieuses recherchent le bonheur dans la solitude, telles que le bouddhisme où le bouddhiste se cherche lui-même et évolue dans la solitude de son cheminement propre. Cependant, on peut vouloir être seul non pas pour se couper d'autrui, mais pour se retrouver soi-même. Reprenons l'exemple des ermites qui s'enferment dans

clef du Bonheur selon la tradition bouddhiste (études en IRMf des zones d'activation dans le cerveau des moines bouddhistes en réponse à des stimulations, comparé à une population témoin) « La sagesse et l'amour altruiste sont les deux piliers du bouddhisme. La sagesse naît d'une compréhension juste de la réalité, sans distorsion (cognitive ou émotionnelle). L'altruisme, est une situation dans laquelle tout le monde est gagnant. On ne peut pas faire ''son Bonheur à soi tout seul'', car en rendant les

première discipline initiatique. On le retrouve dans toutes les traditions, notamment les 7ans de silence observé par les disciples de Pythagore, les 12 ans d’abstention de parole de Rabbi Akiba père de la kabbale, ou encore la première leçon du bouddhisme ‘fais silence en toi et écoute’ la règle cistercienne selon Saint Jérôme ‘Le silence ne nous sert pas seulement à apprendre à parler avec les homme, mais il nous sert aussi à apprendre à parler à Dieu’ ou le taoïsme encore dans le tao te king, Lao

Dans l’énorme masse de la littérature religieuse et didactique, il semble que les Jātaka, récits des vies antérieures du Bouddha, occupent une place privilégiée. Contes édifiants, ils rendent vivantes et familières les données fondamentales du bouddhisme : charité, détachement, bienveillance, aspiration au nirvāna. Le recueil des Cinquante Jātaka ou Paññasa, ainsi que le célèbre Mahājātaka ou Mahachat Khamluang dont un roi du XVème siècle, Trailokanat, fit rédiger une version poétique, jouissent

protecteur famille, etp) * Repères différents (La Chine est une civilisation duale et pas manichéenne) * Chine : 2/3 parlent mandarin (les autres non) * Le monde Indien * Hindouisme, Bouddhisme * Hindouisme n’est pas séparable du nationalisme * Le bouddhisme est une philosophie alors que le taoïsme est une religion (en Chine) et le shintoïsme et hindouisme (en Inde) * 1000 langues différentes et seulement 2 officielles (Anglais 1e et Hindou 2e) et 40 langues