A Quoi Reconnaît On Qu Une Théorie Est Scientifique

THÉORIE DU TEXTE Qu'est-ce qu'un texte, pour l'opinion courante ? C'est la surface phénoménale de l'œuvre littéraire ; c'est le tissu des mots engagés dans l'œuvre et agencés de façon à imposer un sens stable et autant que possible unique. En dépit du caractère partiel et modeste de la notion (ce n'est, après tout, qu'un objet, perceptible par le sens visuel), le texte participe à la gloire spirituelle de l'œuvre, dont il est le servant prosaïque mais nécessaire. Lié constitutivement à l'écriture

Pour revenir un petit peu à la base de la théorie de l'évolution et de la sélection naturelle, nous allons en rappeler les grandes lignes. Dans la conception de sa théorie, Darwin a fait deux constatations et en a tiré une conclusion : 1) Il a observé que les organismes varient et que leurs variations se transmettent (en partie du moins) à leur descendants[1]. 2) Il a aussi noté que les organismes produisent plus de descendants qu'il ne peut en survivre. Et il en a conclu que en règle générale

d’un raisonnement. L’objectif d’une telle « monstration » est de rendre indubitable la conclusion mise à l’épreuve. Donnons quelques propriétés fondamentales de la démonstration. Premièrement, la démonstration est une procédure, c’est-à-dire une série d’actes conduisant à une conclusion, et cela en suivant un ensemble de règles. Deuxièmement, la démonstration est de nature discursive, c’est-à-dire qu’elle s’exprime dans des discours, des énoncés, ou plus généralement qu’elle est extériorisée (sur

critère de vérité ? « Qui a raison, qui a tord ? », « Qui dit la vérité ? », « Est-ce vrai ? »: telles sont des questions omniprésentes dans les sociétés humaines. En effet, la notion de vérité semble représenter un point préoccupant pour l'homme, aussi bien dans le domaine scientifique que juridique. Dans chaque cas, il n'est pas rare de se poser la question suivante ; « Où est la vérité ? ». La notion de vérité est née de la raison humaine, de la capacité de l'homme à émettre un jugement sur la

que la plupart des lecteurs et lectrices de Clio ont probablement lu dès sa parution, il y a déjà deux ans, et qui a fait déjà l'objet de nombreuses critiques ? Il faudrait pouvoir tenir compte de ces dernières ainsi que des réponses apportées par l'auteur pour s'inscrire à mon tour dans le débat en cours. Mais j'avoue avoir été un peu effrayée par l'ampleur de cette entreprise. Aussi ai-je préféré me plonger à nouveau dans le texte lui-même, que j'avais dévoré bien sûr dès sa parution, pour en proposer

Introduction générale à la psychologie cognitive T.Ripoll Année 2010/2011 Les quatre grands domaines de la psychologie : -La psychologie clinique et psychopathologique -La psychologie sociale -La psychologie développementale -La psychologie cognitive Remarque. Des psychologies mais une personne humaine : implications en psychologie appliquée et dans la recherche. Une autre approche importante : les neurosciences. Un problème institutionnel et de société évident : Le psychologue clinicien

s’installer lorsque vient le moment de définir les compétences et les intérêts de cette profession ainsi que ses démarches. Se pourrait-il que ce service de la santé puisse être une fraude collective ? Serge Larivée, enseignant en psycho éducation à l’Université de Montréal va droit au but dans son article intitulé « Le marché de l’intervention psychosociale une fraude collective politiquement correcte » publié dans la revue Canadienne de psychoéducation. Il avance qu’il y aura une négligence expérientielle

loge, lui permettra de modifier dans son comportement intérieur et forcément à terme : extérieur. Le lion est programmé pour manger la gazelle. De même un criminel est programmé pour commettre des crimes. Cela parait choquant ? La génétique est une science froidement implacable et sans état d’âme. La morale est autre chose, et l’éthique est la prise de conscience de ce qui nous détermine. Connaître ce qui nous a déterminé ou programmé permet de nous en libérer, éventuellement. Les implications

pas dire leur essence, leur nature profonde. Devant répondre à une double demande : épistémologique et politique, nous allons tenter de réfléchir aux points communs, aux valeurs communes pour plus tard envisager d’autres rapports possibles entre la science et la justice. =) la science peut-elle nous dire ce que nous devons faire ? =) Quels sont les problèmes nouveaux que la science soumet à notre jugement et à notre pratique ? A. Contre le refuge incertain de la subjectivité individualiste :

1 : La naissance de la psychanalyse ......................... 10 Éléments de biographie (1856-1939) ........................................ 10 Freud neurologue ...................................................................... 12 De l’hypnose à la méthode cathartique ..................................... 15 La résistance .............................................................................. 19 Le transfert ............................................................................