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Mondiale I- Un monde meurtri et bouleversé Plus de 50 millions de morts C’est la guerre la plus meurtrière car il y a eu des bombardements massifs avec les 2 bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki, le 6 et 9 août 1945. Il y a eu beaucoup de morts avec les déportations, la solution finale avec les camps d’exterminations, les attentats. La Seconde Guerre mondiale a fait autant de civils que de soldats morts. Le pays le plus touché est l’URSS avec 21 millions de morts en grande partie soviétiques

régulat° universelle de prbs qui se posent à l’échelle de l’humanité entière. Exp réguler mondialisat° (qui créer interdépendance entre les ets). Mais existe pas de ministre de l’éco x des finances du monde avc des règle communes x pols universelles. Gouvernance créer pr répondre à enjeux (économique, quest° climatiq, environementale) QUELLE GOUVERNANCE ÉCO MONDIALE A ÉTÉ MISE EN OEUVRE DPS 1994 I./ Les Etats-Unis imposent un nvl ordre éco dps fin de la WW2 A./ Le nvl ordre éco américain 1./ 1 puissance

par la barbarie Nazi, et peine à se relever de ce 2ème conflit mondial. Au contraire, les EU sortent une nouvelle fois vainqueurs et archi dominateurs, puisqu’ils ont su profiter de la guerre pour réaliser des résultats écos exceptionnels : prod indu X2, productivité : +25%, PNB : X2 et = 50 % PNB monde. Et surtout détiennent 80 % de l’or mondial. Est-ce seulement cette domination incontestable qui leur a permis de s’imposer véritablement dans l’économie mondiale grâce à la conférence de Bretton Woods

tous Masood Ahmed Les pays arabes en transition ont besoin d’une vision stratégique de l’avenir Alexandrie, sur la côte méditerranéenne de l’Égypte. 8 Finances & Développement Mars 2013 LE MOYEN-ORIENT C’est à ses réponses qu’on voit si un homme est intelligent; et à ses questions s’il est sage. — Naguib Mahfouz, Écrivain égyptien, Prix Nobel de littérature L A VAGUE de changement qui a balayé le monde arabe au printemps 2011 a ravivé l’optimisme dans la région, mais nombreux sont

gouvernance mondiale 6 Conclusion : 7 Historiquement, la fin de la guerre froide (1991) a déterminé la défaite de l’URSS contre les Etats-Unis ; mais elle a surtout imposé au monde le modèle libéralisme face au modèle communiste et aux autres modèles. A partir de là, on parle des Etats-Unis en tant qu’« hyperpuissance » d’après Hubert Védrine tant sa puissance est multilatérale, totale (plus de concurrents) et rayonne à travers le monde. De manière plus générale, la notion d’ « hyperpuissance » c’est

dans l’UE en 1981, la Grèce est à la fois le berceau de la civilisation européenne  et l’inventeur des premiers concepts de démocratie, du théâtre ou encore des jeux olympiques. Il paraissait, donc, tout à fait naturelle qu’elle intègre la CEE et ratifie le traité de Maastricht malgré des indicateurs économique faibles. Trente ans plus tard, la crise mondiale et le changement de gouvernement dévoilent le marasme économique dans lequel se trouve le pays à la grande surprise générale. Le nouveau

compétitivité d’une industrie se déterminera par quatre paramètres à savoir : les facteurs, la demande, les industries amont et apparentées et la stratégie, la structure et la rivalité des entreprises. En adoptant ce schéma, on peut aisément déterminer dans quelle mesure la fiscalité pourrait influer sur chacun de ces déterminants. A-L’impact de la fiscalité sur les facteurs de production Chaque industrie a besoin d’un ensemble de facteurs que les économistes rangent dans

Dette Publique La Guerre et les Dettes La Première Guerre Mondiale Le Plan Marshall SMI, FMI, Banque Mondiale, Qui s’occupe de quoi ? En Europe : De Maastricht à Lisbonne La France et sa Dette Les PIIGS La Russie Les emprunts Russes Entretien avec Jean-Michel Six : «Les agences de Notations.» Le Continent Américain : Les Etats-Unis Le cas du Canada Zoom sur le Mexique L’Argentine face à la Dette Et en Asie : Le Japon : Pour le meilleur et pour le pire. La Crise Asiatique

TRADUCTION TEXTE 3 CRACKS IN THE SYSTEM par Olivier BLANCHARD L'économie mondiale est confrontée à ses pire crise depuis 60 ans. Dans le premier la moitié des années 2000, un environnement bénin investisseurs mené, les entreprises et les consommateurs de s'attendre à un avenir brillant en permanence et à sous-estimer les risques. Logement et d'autres prix des actifs a grimpé, les actifs risqués ont été créés et vendu comme étant sans risque près, et de tirer parti augmenté. Ainsi

veulent mais à condition qu’ils soient en mesure de payer les intérêts du créancier. Ce qui intéresse le créancier c’’est les intérêts. Tant qu’on les paie ça va bien. Un État n’est pas gêné par le volume de la dette ou les remboursements mais par le volume des intérêts (monnaie déjà existante ce n'est pas une création monétaire et qui n’est rien d’autre que les impôts). Le vrai critère c’est de comparer le volume des intérêts à payer avec le montant des impôts. C’est cette question qui est à l’origine