A Une Femme Verlaine

trois ans est le troisième poème de la section " Mélancholia " des poèmes saturniens. Il succède à " Nevermore" dans lequel Verlaine nous fait part du souvenir obsessionnel d'Elisa. Tout ce premier recueil est rempli de la douce Elisa, la sœur adoptive du poète, son premier amour qui repoussera ses avances, affectueusement mais fermement. La quatrième pièce " Vœu" la mentionnera presque explicitement. Verlaine nous précisera également ce qu'il attend d'une compagne, une présence quasi-maternelle. I-

Le poème « Sérénade » a été écrit par Paul Verlaine et publié en 1866. Il est extrait du recueil Poèmes saturniens. Paul Verlaine est célèbre pour son approche des écoles poétiques telles que le Romantisme, le Parnasse et le Symbolisme. A travers ce recueil, nous retrouvons quelques thèmes récurrents comme sa conception du poète maudit, les paysages-états d’âme, la présence de la mort, du souvenir ; ainsi que l’amour, souvent déçu et enfin, la femme cruelle, sensuelle et idéale. Dans un premier

Il nait à Metz en 1844, d’une famille de la petite bourgeoise de la province. –Dans son premier poème « Monsieur Prudhomme » il exprime sa critique contre la petite bourgeoisie-- A l’âge de 6 ans il arrive à Paris. Après avoir fréquenté lycée, il fait des études de droit qu’il va quitter bientôt (la poésie était sa vraie passion). Il va fréquenter la bohème littéraire parisienne, les cafés littéraire ou il rencontre les Parnassiens. Il reste très fasciné par Baudelaire et devient

A une femmeA vous ces vers de par la grâce consolante De vos grands yeux où rit et pleure un rêve doux,De par votre âme pure et toute bonne, à vous Ces vers du fond de ma détresse violente.C'est qu'hélas ! le hideux cauchemar qui me hante N'a pas de trêve et va furieux, fou, jaloux, Se multipliant comme un cortège de loups Et se pendant après mon sort qu'il ensanglante !Oh ! je souffre, je souffre affreusement, si bienQue le gémissement premier du premier hommeChassé d'Eden n'est qu'une églogue au

Bilan – Synthèse Question Transversale Romances sans paroles est un receuil de poèmes écrit par Paul Verlaine en 1872-1873 pendant son voyage avec Arthur Rimbaud. Cet ouvrage est composé de quatre sections : Ariettes oubliées, Paysages belges, Birds in the night et Aquarelles, chacune formées de plusieurs poèmes très variés. Dans ce receuil Verlaine introduit aussi son nouvel esthétique moderne car il constate que les mots expriment, touchent et émeuvent plus par leur musicalité

l’idéal (Verlaine, Rimbaud, A.Breton) Quelle est le modernité poétique de ces textes ? a) La thématique A travers la lecture de ces textes nous percevons le symbolisme de l’alliance du flou et du précis, de la fugacité et des sensations. En effet chez Verlaine, le portrait physique est insaisissable pour la couleur, il n’y a pas d’identité claire. On y retrouve une un  métaphore fluctuante autour d’une permanence de l’être, des sensations auditives attachées attachées à la voix sépulcrale

rêve lui est déjà connu. 2-On a deux assonances la première est [e] qui est répété 4fois dans ce texte et la deuxième assonance est [a] qui est répéter trois fois dans le texte la répétition de ces assonance permettent de ralentir le récit 3-dans ce texte nous avons la présence d’une polysyndète par exemple au vers 2: ‘’que j'aime, et qui m'aime’’. Ce qui crée une accumulation et sert donc à insister sur le sentiment amoureux 5-Le poète s’interroge et ce répond à l’aide de réponse incomplète ou

cette femme, une mulâtresse qui hantera la vie et l’œuvre de Baudelaire des années durant. « C’était une fille de couleur, d’une très haute taille, qui portait bien sa brune tête ingénue et superbe, couronnée d’une chevelure violemment crespelée, et dont la démarche de reine, pleine d’une grâce farouche, avait quelque chose à la fois de divin et de bestial. » C’est en ces termes que Théodore de Banville évoque la belle Jeanne dans ses Souvenirs. Baudelaire fait sa connaissance en 1842, à son retour

brigitte.buffard-moret@orange.fr Résumé : On parle à juste titre de la « musique » si particulière de la poésie de Verlaine, qui tranche par rapport aux œuvres qui ont précédé. Mais ce n’est pas diminuer le génie de Verlaine que de remarquer combien d’influences diverses se mêlent dans sa « chanson grise » : Hugo, Baudelaire, Poe, la chanson populaire française et anglaise, les ariettes des vaudevilles sont autant de sources d’inspiration pour Verlaine. Cependant il ne faut pas s’y tromper : comme l’a

Que le vent du matin vient glacer à mon front. Souffrez que ma fatigue à vos pieds reposée Rêve des chers instants qui la délasseront. Sur votre jeune sein laissez rouler ma tête Toute sonore encore de vos derniers baisers ; Laissez-la s'apaiser de la bonne tempête, Et que je dorme un peu puisque vous reposez. Verlaine, Romance sans parole (1874)