Abdullah Gül

centrale symbolisée par Ankara Eskisehir, Konya, Kayseri, Sivas. _Des villes dynamiques, en croissance, lié au gouvernement en place depuis 2002 AKP partie pour la justice et le développement Recep Tayer Erdogan 1er ministre (rôle majeur) Abdullah Gül président _ 4villes polarises par Ankara, dynamisme économique construit sur les Tigres d’Anatolie entrepreneurs, industriels qui investissent dans le développement économique, ils sont en grande majorité liés à L’AKP réseau politique très fort

changement de la règle d’ici là. Dans tous les cas, si Erdogan se présente à la présidence et est élu, le suspense continue quant au choix de son premier ministre. Certains imaginent déjà un partenariat entre Erdogan et l’actuel président turc, Abdullah Gül, du même type que celui passé entre Vladimir Poutine et Dimitri Medvedev en Russie. D’autres pensent que cette hypothèse est à exclure car Erdogan fera de son mieux pour choisir un autre postulant au poste de premier ministre, plus docile et moins

modèle idéal de la démocratie libéral occidentale qui est très cher à l’UE. Par exemples le retour du voile dans les universités, les cérémonies officielles à caractères religieux comme lors d’une réception organisé en 2010 par le président Abdulla Gül. Ce jour là, il y a un détail qui n’a échappé à personne, l’absence du plus haut représentant de l’armée. En effet il a décidé de boycotter cette réception car la 1ere dame de Turquie était voilée, ce qui est pour une personne publique un offense aux

ce 12 septembre 2010 n’est pas en faveur de la Turquie puisque la victoire du oui à 58% des voix donne à l’AFK le droit de supprimer la loi fondamentale de laïcité de 1982 rendant islamique les dernières institutions laïques. Le président turc, Abdullah Gül, annonçait, le 8 novembre dernier, qu’il trouvait que les dirigeants européens imposaient des «obstacles très artificiels et injustes» à l’adhésion de son pays et que «dans le contexte d'un équilibre international qui penche vers l'Est et l'Asie»

Hamed al-Khalifa – Koweït : Sabah al-Sabah – Irak [1 min. :] Haïder al-Abadi – Jordanie : Abdallah II – Syrie : Bachar al-Assad – Iran [Guide :] Khameneï – Afghanistan er [Psdt :] Ghani – Pakistan [1 min.] : Nawaz Sharif D Egypte : Sissi – Turquie : Gül – Arabie séoudite : Salman al-Seoud – Oman : Qabus – Emirats Arabes Unis : Khalifa al-Nahyane – Qatar : Tamim al Thani – Bahrein : Hamed er al-Khalifa – Koweït : Sabah al-Sabah – Irak [1 min. :] Haïder al-Abadi – Jordanie : Abdallah II – Syrie : Bachar

chypriotes dans les ports et aéroports turcs. Hors il est nécessaire que la Turquie supprime tous les obstacles à la libre circulation entre la Turquie et les états-membres(ici encore Chypre incluse) en particulier les restrictions aux transports. Mais Abdullah Gül, le ministre turc des affaires étrangères, à aggraver les tensions en déclarant qu'Ankara n’avait pas l’intention d’ouvrir ces ports et ces aéroports aux navires et aux avions chypriotes. Pour justifier ses paroles, il a précisé que seul les pays

s’attend à ce que la présence d’étrangers influence le processus de communication des entreprises. Divulgation volontaire et propriété managériale L'étude de Qi et Li (2008) menée dans le contexte chinois et la recherche de Nasir et Abdullah (2004) menée en Malaisie ont mis en évidence une relation positive entre la propriété managériale et la divulgation volontaire des firmes. En effet, la participation des dirigeants au capital des entreprises qu’ils gèrent contribue à l’alignement

priorité pour Ankara : Le premier ministre, Erdogan, n'y a fait aucune référence au moment de tirer le bilan de son action à la tête du pays, au congrès de l'AKP (Parti de la justice et du développement), le 30 septembre. Seul le président, Abdullah Gül, a appelé le gouvernement à adopter des réformes allant dans le sens d'une adhésion. La Turquie et l'Union européenne, 50 ans de négociations La Turquie est de retour sous les projecteurs européens. Les déclarations du président américain

 est  depuis  2004  au  main  de  l’AKP,  le  parti  cofondé  en  2001  par  le  Premier  Ministre  Recep   Tayyip  Erdoğan  et  le  Président  de  la  République  Abdullah  Gül.  Cf.  PETIT,  2009.    Cette  sociologie  politique  des  usages  et  des  configurations  d’acteurs  contextualisées  s’inspire  de  l’ouvrage  de  Patrick  Hassenteufel  [2008]

clair qu’elle sera positive [108]. » Après avoir rencontré le Premier ministre Erdoğan, le chancelier aurait plaidé sans réserve, en faveur de la cause turque, tout en saluant les progrès et les réformes réalisés par Ankara. La décision du ministre Abdullah Gül de s’accommoder de la prise de position de l’Allemagne sur la question de la guerre en Irak en 2003 a renforcé l’amitié entre les deux gouvernements. Le risque que prenait Ankara était pourtant important : en allant contre la volonté de son allié