Aboiement

du texte. Tout ce qui se passe autour est comparé au fleuve (la couleur rose du chapeau qui apporte de la gaité par rapport au fleuve). Tout semble venir du fleuve, de cette étendue d’eau qui transmet « des bruits de voix. [… et] des aboiements de chiens [venant] de partout, de derrière la brume, de tous les villages ». La dernière phrase du texte, qui est très longue, nous résume tout ce qui passe par le fleuve «  Il emmène tout ce qui vient, des paillotes, des

taratata! (trompette[->33]) - Tss - tsoin-tsoin (musique[->34]) - TaTacTaToum (bruit que l'on entend dans un train) · Urf · Vlan · Vroum Vroum (moteur de voiture) · vrooooo/vroaaar (vrombissement) - vlam - vlan · Waouh - Wouf - Wouaf-Waf (aboiement) - wham (explosion (de gaz par exemple)) · Yep yep Zzz (ronflement, dormir, ainsi que l'abeille, le moustique, la mouche et de nombreux insectes) - Zgrunt - Zdoïng - zzzt! (courant électrique[->35]) [->0] - /wiki/%C3%89ternuement [->1] -

vous ai entendu au moins une fois, répondit surpris Pierre. - Mais … tu penses que nous sommes toujours bête, sans aucune intelligence ? repris le geôlier agacé - Comment ça ? Non je ne voulais pas t'offenser, rectifia Pierre apeuré. - Les aboiements des chiens par exemple , vous croyez que c'était juste un cri animal mais c'était tout simplement le même principe que le sifflement des dauphins. Une langue que vous ne comprenez pas, révéla le gardien. - Je n'arrive pas à imaginer ça, mais

Chapitre 3 Je commence à courir voyant le loup marcher derrière moi, il me fait peur. J’arrive enfin à mon appartement essoufflé et je ferme la porte à clefs. J’entends des aboiements qui se rapprochent de plus en plus, je regarde par la fenêtre et je vois une meute de six loups, ils sont tous grands avec des yeux rouges. J’appelle Alexia me disant que comme elle était au courant de ces loups elle savait quoi faire. « Alexia ! Alexia ! Une meute de loup vient d’entourer mon appartement ! Je fais

C’était l’animal gâté du Missionnaire Salomon. Comme les séances du Docteur Pavlov, ce psychologiste Russe qui étudia le rythe de la salivation du chien, le comportement de Kaylabo permettait d’observer certains horaires du Missionnaire Salomon. Ses aboiements annonçaient son arrivée même quand il était au loin. Quand il sommeille, le chien restait près du lit. Quand il va diner l’animal reste près de la table s’asseyant sur ces pattes postérieures. Le geste le plus amusant était observé à la fin du diner :

et légendes du Québec. Dîner et nuit. 5e jour : Auberge du lac Taureau. Traîneau à chiens et randonnée nocturne. Vous débuterez votre matinée par une initiation pour vous familiariser avec le traîneau à chiens. Aidés de votre musher et sous les aboiements impatients des chiens, vous prendrez les commandes de votre attelage de huskies ou resterez emmitouflés dans le traîneau sous les couvertures pour vivre une expérience inoubliable du Grand Nord. Déjeuner. Après-midi libre. Après le dîner, partez

l’Antiquité propre à un humaniste, il démontre que personne ne le traitera de fou car beaucoup de maris sont dans cet état d’esprit.Il développe le cas des chasseurs qui se complaisent dans les odeurs d’excréments,dans les sons affreux du cor et dans les aboiements des chiens ;tous ces plaisirs relatifs relevant d‘une folie relative et pourtant ,ils « ils n’en croient pas moins mener la vie des rois ».S ‘ensuit l’exemple du bâtisseur fou, qui changent sans arrêt les bâtiments ronds en bâtiments carrés jusqu’à

pouvons donc en rien cacher que ce texte use majoritairement voire exclusivement d’un champ lexical qui mêle les sens auditifs : « Silence », « bruit », « entends claquer », « s’appellent doucement », « chantent un chant », « calmes », « pas un aboiement ». Et visuels : « l’île s’endort », « le ciel qui se rapproche », « le vase sans défaut de la mer » L’auteur rapporte également l’île telle une protection maternelle et ce à l’aide d’un champ lexical de la douceur et de l’arrondi : « s’arrondit »

C'était un concert de voix confus et indistinct, une sorte de musique de fond qui rythmait ses pas et lui donnait de l'élan. Il y avait bien plus que les cris des bouchers, des garçons boulangers, des ouvriers se rendant au travail, bien plus que les aboiements des chiens errants qui traversaient le boulevard en trottant : tous ces bruits auxquels il n'avait jamais prêté attention emplissaient sa tête, à présent. Il entendait jusqu'au froissement de jupon des femmes qui passaient, à peine perceptible.

Bartholoméo mangeait sept onces de pain par jour et buvait de l'eau. S'il lui fallait un peu de volaille, c'était pour en donner les os à un barbet noir, son compagnon fidèle. I1 ne se plaignait jamais du bruit. Durant sa maladie, si le son du cor et les aboiements des chiens le surprenaient dans son sommeil, il se contentait de dire: «Ah! c'est don Juan qui rentre!» Jamais sur cette terre un père si commode et si indulgent ne s'était rencontré; aussi le jeune Belvidéro, accoutumé à le traiter sans cérémonie