Abri Stevenson

FICHE DE PRÉSENTATION D’UNE ÉTUDE BACCALAURÉATS PROFESSIONNELS TERTIAIRES ÉPREUVE D’ÉCONOMIE – DROIT | | |ÉTUDE N° : 1 Dates de réalisation : du 10/12/2012 au 01/02/2013 | |Académie : NANCY-METZ |Nom : SASCKSTEDER

d’escalier), dans un cas sur trois le propriétaire étant au courant, l’autre moitié dormaient dans l’espace public, dans des lieux fermés (station de métro, gare, centre commercial), ou dans des lieux ouverts (rue, jardin public). Les trois quarts des sans-abri ont la possibilité de recevoir du courrier, la plupart étant domiciliés par une association. Les personnes qui dorment dans la rue ou dans des abris de fortune peuvent connaître des modes d’hébergement alternatifs sur de courtes périodes : un tiers

cherché. Quand elle la trouve, No « [se] voit. Elle [se] regarde droit dans les yeux. Sans un geste, sans un sourire, elle se détourne comme si elle ne [l’]avait pas reconnue » (91). Lou devient fâchée et dit que elle « la déteste, elle est tous les sans-abri de la terre, ils n’ont qu’à être plus sympathiques, moins sales, c’est bien fait pour eux, ils n’ont qu’à faire des efforts pour se rendre aimables au lieu de picoler sur les bancs et cracher par terre » (93). En ce moment, Lou se comporte comme la

femmes sans-abris. Lou a un seul vrai ami, il s'agit de Lucas. Il surnomme Lou : Pépite. Lou adore se promener dans les gares, pour observer les gens et écouter ce qu'il s'y passe. Et c'est là, à la gare d'Austerlitz qu'elle rencontre No, une sans-abri de 18 ans. Elles vont devenir deux très bonnes amies, elles prennent très souvent un café ensemble dans un restaurant non loin de la gare. Et petit à petit, No raconte sa vie à Lou. Lou, du haut de ses treize ans, décide de prendre son ami No chez

Je vais aborder, un sujet un peu délicat celui des sans –abri .Si j’ai voulu aborder ce sujet, c’est à fin de sensibiliser les gens et le regard, qu’ils peuvent porter sur ces personnes. Car bien souvent, nous les regardons comme des pestiférés. Saviez-vous, que rien que pour la Belgique, on compte 50000 sans-abri. Qui tout les jours, se battent, pour trouver de quoi manger et un abri plus ou moins sécurisant, à fin de dormir sans se faire agresser. Bien sur il existe certains centres d’hébergements

Jacques Prévert qui s’intitule « La grasse matinée », poème dans lequel est évoquéla souffrance d’un homme sans abri/ Et le dernier document d’Olivier Coulange, nous faisant découvrir à travers sa photographie l’indifférence des autres. Des personnes exclues, ou se pensant exclusde la société d’aujourd’hui, comment vivent-elles les aléas qui les entoure ? Après avoir vu comment les sans abri combatte les douleurs de l’exclusion Il faut savoir que ce phénomèned’exclusion touche plus de 1

Partie A Définition : Le mal-logement Le mal-logement est un néologisme francophone défectueux, pour définir la situation d'insalubrité ou de grande précarité d'une partie des usagers (habitant dans au maximum 9 m2) ou aspirants au logement (habitant à plusieurs dans des chambres des foyers)[]. Il s'agit de personnes vivant dans des conditions très difficiles (privation de confort ou surpeuplement), ou en situation d’occupation précaire (hôtel, caravanes…). Le mal-logement ne fait pas l'objet

24 juillet 2013 SANS-ABRI : UNE SITUATION QUI S’AGGRAVE L’ÉTÉ AVEC 76 %DES DEMANDES D’HÉBERGEMENT NON SATISFAITES Baromètre 115 estival – juillet 2013 Souvent oubliés l’été, les sans-abri ne sont pas moins nombreux, et particulièrement vulnérables notamment en cette période de canicule. Alors que la déclinaison des engagements du Gouvernement sur l’ouverture de places pérennes tarde à se mettre en place, le 115 est au bord de la crise et n’arrive plus à répondre aux demandes d’hébergement

Eden-Vut (ville paradisiaque) Dans un café situé sur la Rue Sainte-Catherine, trois étudiants débattent vigoureusement de la mesure controversée pour contrer l’itinérance « Les pics de la honte ». Ces crocs, plantés devant les commerces du centre-ville montréalais, chassent les sans-abris de leur seul refuge. 1 On tolère l’itinérance tant qu’elle reste invisible! Le Québec en tant que société démocratique ne peut se permettre de fermer l’œil sur ce phénomène social, qui constitue désormais un

public spécifique et inversement. A travers les activités placées au cœur de leur survie, l‟inscription des sans-abri sur la place répond à un phénomène de territorialisation qui dépend à la fois de la dimension spatiale et sociale du lieu. Nous analyserons également comment ce phénomène positionne les personnes SDF comme des usagers de l‟espace public. Acteurs dans la ville, les sans-abri sont-ils, notamment à travers la question de leur intégration dans un projet urbain, des acteurs de la ville ?