Accord Blum-Byrnes

construction et la moderniser au américain a la condition qu'il accepte les accord Breton-Woods, la libération mondiale des échanges et l'intervention du FMI, la France dévalua sont prix pour montrais, au américain qu'il se lançait dans une concurrence international. Après des négociation, entre Monnet et Clayton, L'Eximbank consentit un prêt de $550 millions le 4 décembre 1945. En échange le 26 décembre 1945, le Parlement ratifiait les accords de Breton-Woods et de nouvelles parités étaient fixées : 480 franc

agences de publicité ; la radio ; la télévision (à son début), les affiches placardées aux murs, ainsi que le porte-à-porte et les magazines. Mais également avec les films américains projetés dans les salles de cinéma françaises, de part l'accord Blum-Byrnes, en 1946, et après la Deuxième Guerre Mondiale grâce au plan Marshall. Le cinéma ( à travers Hollywood) prend une place très importante lors de la diffusion de ce modèle. En effet, le rêve américain est diffusé dans le monde entier grâce à des films

  Day,   Batman,   Matrix,  Alien  …).   3.  Les  limites  de  cet  instrument  de  puissance   •  Une  poli>que  commerciale  agressive  (par  exemple  en   France  en  1946  avec  les  Accords  Blum-­‐Byrnes).   •  Une  approche  plus  commerciale  que  culturelle,  souvent   dénoncée  c  le  cinéma  américain  parfois  cri2qué  comme   peu  intéressant  sur  le  fond   •  Une  domina2on  mondiale

Conférence de Cancun l’allègement de la dette des pays pauvres (J Chirac demande qu’une contribution soit prélevée sur le prix des billets d’avion). La France obtient que ses anciennes colonies bénéficient d’un régime de faveur avec la CEE : les accords de Lomé (1975) et de Cotonou (2000) établissent des relations commerciales privilégiées entre les pays de la zone ACP et L’UE. Sous Pompidou, VGE et Mitterrand les anciennes colonies africaines constituent toujours le « pré carré » sous contrôle de

toutes les colonies africaines lui emboîtent le pas 3- Difficile règlement du conflit algérien* L’enlisement : action de police, guerre civile, guerre coloniale* Crise intellectuelle autour des dérives terroristes, des massacres et de la torture* Les accords d’Evian (1962) ConclusionLa francophonie / liens économiques / populations migrantes Histoire – Toutes séries Les nouveaux rapports de force en 1945 Introduction1945 marque la fin de la deuxième guerre mondiale  I – Les raisons d’une transformation

contraintes économiques jouent un rôle majeur dans la politique extérieure de la France. Les impératifs de la reconstruction, les difficultés financières poussent la France à se rapprocher des Etats Unis et à entrer dans le camp occidental. Accords Blum/ Byrnes mai 46 : la France bénéficie d’un prêt américain + plan Marshall a/p de 1948 jusqu’en 52. La France reçoit 20% des fonds américains pour L’Europe, en contrepartie elle entre durablement dans la zone dollar. + alliance militaire : La France

du réalisme : il s’agissait de vues tournées en plein air, sans acteur, ni mise en scène, ni décor. Au début des années 30 : la parole a été introduite au cinéma. On a appelé ça le réalisme poétique. En 1943, un accord a été signé avec le cinéma italien. En 1946, l’accord Blum-Byrnes a été signé. Dans les années 60, l’apparition d’une nouvelle génération de cinéastes. Les années 70 étaient les années politiques du cinéma, marquées par les mouvements féministes, militant et séparatistes. Les

pas voir le texte d’ASTRUC comme une ébauche complète. Il existe des différences importantes. Il paraît alors que vient d’être voté la loi Blum-Byrnes : accords qui règlement la présence des films français sur les écrans (sont présents environ 4 semaines par trimestre). En 1946, la production française baisse à 71 films contre 182 films américains. Ces accords vont être revus devant une remise en cause par la profession. Sur 338 projetés en France, 220 sont américains au premier trimestre 1946. Au

décembre 1895 apparait l’invention qui va bouleverser la société : le cinématographe, appareil qui permet la projection d’images animées, sans paroles, créé par les frères Auguste et Louis Lumière (Cf l’arroseur arrosé). Les frères Pathé établissent un accord avec les frères Lumière pour l’exploitation du phonographe. Même si aux Etats-Unis Thomas Edison s’attribue le mérite de cette nouveauté, c’est en France que le cinéma prend son essor. De leur côté Charles et Emile se retrouvent seuls à la tête

lorsque l’armée américaine octroya son aide au cours de la Première Guerre Mondiale que la curiosité pour cette nouvelle culture s’éveilla.             A la libération, les Américains réussirent alors à négocier certains accords avec les pays européens comme celui de Blum-Byrnes (1946) par exemple, qui consistait à autoriser la projection de films américains dans les salles de cinéma françaises. D’autre part, d’autres produits américains de grande consommation furent aussi répandus en Europe tel