Accroche Vie Privée

de presse -Protection de la vie privée: Dans tous les cas, les informations doivent avoir été obtenues licitement, c’est-à-dire avec l’accord, même tacite, de la personne visée: une information ou photo obtenue suite à une filature ou une surveillance des journalistes ou par ruse ne peut, en aucun cas, être exploitée. La vie privée, même de personnes publiques, doit être respectée. -Droit à l’image: Le droit à l’image complète le droit au respect de la vie privée dans la mesure où l’image est

siècles, les moyens de communications se sont largement diffusés et sont facile d’accès, ils contribueraient au principe de la liberté d’expression grâce aux informations qu’ils fournissent. Actuellement, ils sont complètement intégrés et dans notre vie quotidienne à tel point que nous sommes rentrés dans une ère : « la médiatisation». Le principe le plus parlant que nous pouvons prendre est la loi sur les médias qui promulgue «  La liberté de recevoir ou de communiquer des informations sans qu’il

est le problème d’Edvige ? De plus, ce fichier contiendra des données à caractère personnel avec l’adresse électronique et physique de la personne ainsi que son numéro de téléphone. C’est une atteinte aux droits fondamentaux. (=atteinte à la vie privée) * Le projet Edvige fut abandonné rapidement au profit d’un nouveau concept le projet Edvirsp. Projet Edvirsp : * Qu’est ce que le projet Edvirsp ? Le projet EDVIRSP (= Exploitation documentation et valorisation de l’information relative

que justifie légalement sa décision une Cour d'appel qui retient que la publication dans la presse de la photo d'une résidence accompagnée du nom du propriétaire et de sa localisation précise porte atteinte au droit de celui-ci au respect de sa vie privée. Abstraction faite du motif erroné, mais surabondant selon lequel le droit à l'image serait un attribut du droit de propriété". Arrêt confirmé par la Chambre commerciale de la Cour de cassation le 17 mars 2004 dans l'arrêt "Andros". On sent ici

Facebook via ses utilisateurs contraint à une certaine prudence puisque ces derniers sont prêts à partager des détails très personnels sur leur vie privée avec des millions d’utilisateurs mais ne souhaitent pas que ces données soient utilisées à des fins commerciales comme le voudrait Facebook. On peut donc se demander s’il est légitime qu’un acteur privé comme Facebook puisse revendiquer la propriété de ces données personnelles. Cependant ce réseau social intéresse beaucoup les entreprises puisqu’elle

reprises des plaintes ont été lancées contre Facebook pour non respect de la vie privée. La question qui se pose est donc de savoir si les internautes ont ou non la maîtrise de leur identité numérique ? Autrement dit, parviennent-t-ils à gérer les traces qu’ils laissent sur les réseaux sociaux? Le sujet, fait débat. D’une part, parce que cela porte atteinte à cette liberté fondamentale qu’est le respect de la vie privée (1). D’autre part, parce que la sanction relative au délit d’usurpation numérique

temps qui s'est écoulé depuis l'événement l'aide apportée au répondants Donc, les répondants sont-il capables de communique l'information ? Certaines questions peuvent être embarrassantes pour le répondant parce qu'elles mettent en cause la vie privée, la position sociale... L'utilisation de questions filtres : il y a différents niveau d'expérience des répondants qu'il faut vérifier. Le questionnaire est-il complet ? L'idéal serait que chaque question réponde à une hypothèse pour s'assurer

informations, pour le moment M Zuckerberg ne communique pas son plan secret concernant les finances de son entreprise. A priori il n'aurait pas encore trouvé la formule magique qui permettrait de gérer au mieux ces données tout en respectant la vie privé des utilisateurs. MZ veut d'ici quelques années augmenter le nombre d'utilisateurs de 100 à 200 millions d'utilisateurs ces données valent énormément d'argent auprès des publicitaires car il n'y a encore aucun moyen aussi efficace que facebook

publique d’une photographie, que ce soit par voie de presse ou par le biais d’un site Internet ou de la télévision, impose au diffuseur le consentement de la personne concernée par l’image. Le droit à l’image est corollaire du droit au respect de la vie privée mais il a progressivement acquis son autonomie. Toute personne, quel que soit son statut, son origine a un droit exclusif sur son image qui lui permet de s’opposer à la captation ou la reproduction de son image sans son autorisation, quel que soit

Cour européenne de Strasbourg pour violation de la Convention européenne des droits de l’homme et des libertés fondamentales. La Cour de cassation, interprétant elle-même cette Convention européenne avait pourtant considéré que le respect de la vie privée et familiale n’imposait pas « d’attribuer au transsexuel un sexe qui n’est pas en réalité le sien » 6. Ce qui n’est pas encore réglé par le Droit français Une possible attitude restrictive du Droit français est à nouveau susceptible de passer