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le lecteur une impression d'opulence et d'abondance, On sent qu'a travers ses descriptions Maupassant nous indique que dans les deux premiers textes nous sommes en fin de printemps, début été, période ou la nature s'épanouit où elle récompense le paysan de son labeur, un lieu où les couleurs vives se mêlent au couleur plus ??? ce qui créent un contraste « les avoines d'un vert clairs et les trèfles d'un vert sombre » (texte 2 ligne 3)  ou encore « coiffé d'un képi noir » (texte 1 ligne 3) et « une

vise à créer l’illusion de la réalité. Les nouvelles réalistes du 19ème siècle, ancrées dans une région, en exposent des caractéristiques marquantes, comme l’avarice des paysans normands, dans les nouvelles de Maupassant. Elles peignent, souvent avec humour ou ironie, les différentes catégories sociales de l’époque (paysans, employés de bureau, bourgeois) ou des traits de caractères (la bêtise, la lâcheté, l’ambition…) Autres thèmes privilégiés : l’amour, l’argent, la passion, la vengeance…

son père. En effet ses juste quand elle a décroché son diplôme de professeur de Lettres que le décès de son père intervient et c’est durant l’enterrement qu’elle décide d’exposé sa relation avec son défunt père. Lui qui est issue du milieu modeste paysans, ayant quitté l’école très jeune est passé par différents métiers. Il travail d’abord à la ferme, puis entre au régiment lors de la première guerre mondiale, après il sera ouvrier, couvreur puis ouvre un café mais au vue des bas revenus que génère

et la plus populaire. Mais le voyage de la campagne dans la culture et dans l’histoire de la France a eté long, dur et plein de conflits. On a assisté à beaucoup de changement surtout dans les deux dernières siècles, qui ont vu l’Etat, les paysannes et en général tous les habitants françaises, les principales acteurs de son role clé, de son importance, de son déclin, mais surtout de sa protection et donc sa réévaluation. On commence a prendre conscience de la terre française, à partir plus

éclate suite au décès de plusieurs personnes contaminées par des métaux lourds présents dans leur alimentation. Des mères de famille se rassemblent en corporation et s’associent avec un paysan local en qui elles ont entière- ment confiance. En contrepartie du payement anticipé des récoltes, le paysan s’engage à fournir des produits locaux, de saison et de bonne qualité. Les par- ticipants sont à la recherche d’une alimentation saine basée sur une relation de confiance avec un producteur

années, il vécut de mendicité, dans une grande solitude et un grand mépris. On l’appelle d’ailleurs « Cloche », pour se moquer de sa démarche d’infirme. Seuleune baronne lui manifesta un peu de compassion. Au bout de quarante ans, voilà que les paysans refusent désormais de lui donner quoi que ce soit à manger, lassés de sa mendicité. Depuis deux jours,il n'avait point mangé. Personne ne lui donnait plus rien. On ne voulait plus de lui à la fin. C’est l’élément perturbateur du récit, celui qui

 Les cloches du matin sonnaient sur le village de Groussillac, c'était l'heure pour Mr Robins de se réveiller pour aller travailler. Frank Robins, paysan âgé d'une trentaine d'années, avait des origines anglaises par son père et françaises avec sa mère. Ces derniers, modestes paysans, sont décédés lorsque Frank avait dix huit ans. Franck Robins se retrouva alors seul à travailler les terres agricoles de ses parents, lui qui avait été seulement trois ans à l'école préférant rester aider ses parents

Maupassant s’attache a faire de la réalité du monde paysan l’unité dramatique de son texte. On note tout d’abord la volonté de dessiner tous les détails du quotidien des deux familles. Le premier paragraphe présente de nombreuses précisionsto pographiques par exemple « au pied d’une colline », « proche d’une petite ville de bain », « en venant de la station d’eaux de Rolleport »,ce qui témoigne d’un souci de réalisme .Le dialogue rapporte également le langage caractéristique, le patois des campagnes

autobiographie qui dépassait l'anecdote personnelle et refusait la complaisance de la fiction. Le «je» est arrivé avec son quatrième ouvrage, La place, en 1983. Un livre court, tranchant, pour explorer un univers familier: l'histoire de son père, paysan, ouvrier, patron d'épicerie dans une petite ville de province. Soixante-deux ans de la vie d'un homme en cent quatorze pages, cliniques et intimes à la fois. La décision ferme d'un écrivain qui décline la tentation du romanesque et l'affirme dès les

identité ce qui crée très peu de confiance en lui. Au fil du temps, Ramuz forme son identité à partir du terroir vaudois, son lieu de vie, paysan et vigneron. C’est dans la nature de sa région qu’il va puiser son inspiration pour ses futurs romans. A 15 ans, un changement important dans sa vie survient. Sa famille emménage à la campagne. Il découvre les racines paysannes de son père et il noue avec la campagne des contacts étroits. Il ressent le besoin de fusionner avec la nature. Grâce à cette fusion