Accumulation

métaphore traduisant l’absence de formation culturelle. -          accumulation de métiers peu qualifiés (l.7) 3)      « Juridisme ? » -          Accumulation et paronomase « intimidation, pression … vol, viol » (l.12) 4)      « On me parle de progrès, de « réalisations », de maladies guéries, de niveaux de vies élevées au dessus d’eux-mêmes » (l.26) : accumulation de bénéfices pour le peuple colonisé Césaire répond par une accumulation «  moi je parle de sociétés vidées d’elles-mêmes, de terres confisquées

en 4 parties : -l'analyse du discours de Gulliver (l.30 à 45) - sentence du roi concernant Gulliver (l.45à 49) -sentence du roi concernant les anglais (l.45 à 56) b) les figures d'amplification •Accumulation : - double accumulation : ''Il n'y voyait, m'affirma-t-il, qu'une accumulation de conspirations, rébellions, meurtres, massacres, révolutions, bannissements, le tout n'étant que l'effet désastreux de notre cupidité, notre esprit de faction, notre hypocrisie, notre perfidie, notre cruauté

-Actif : l. 3 "démêlé" = image compliquée où l'on passe du temps ; l. 4 "prévient" ; " se livre" (= début d'une passivité mais conséquence d'un choix personnel : actif) ; l. 5 "se monte" * Horloge = métaphore * Connaissance des causes : accumulation de négations à propos "des autres hommes" ; "sans" x2 ; "ni" x4 * Positif : "démêle" et en plus, "anticipe" * Grande antithèse : anticipe ≠ absence totale de connaissance → "sans même savoir" * La réflexion : une opposition totale.

Ce roman se passe en 1819, dans la pension qui est dans le quartier latin à Paris. Lors de la lecture du Père Goriot nous pouvons observer des figures de style. > ( L.7-8 ) qui est une accumulation. On peut aussi y observer à la ligne 8-10 une autre accumulation >. Ses deux figures de styles sont des accumulations, car il y a un enchaînement de mots ou de groupes de mots grammaticalement proches. L’accumulation donne alors un rythme saccadé et accéléré. En suite, nous avons à la ligne 17 une comparaison

différences entre les hommes .Il fait une allégorie des hommes primitifs avec une accumulation d’adjectif a valeur méliorative qu’il oppose a l’homme actuel dit civilisé .Pour Rousseau, le fondement de l’inégalité entre les hommes est due à l’invention de la métallurgie et de l’agriculture . - Valeur de la morale ?: Candide «  Il faut cultiver son jardin » - « Sagesse, memnon » « paix  » Champ lexical, accumulation, anaphore repetition + valeur physique. A voir. Transition C) La réflexion Les

compétitivité-prix et hors-prix → Hausse de la demande → Hausse de la production pour répondre à la demande supplémentaire = croissance Gains de productivité → Baisse des coûts unitaires de production → Hausse des profits → Hausse de l'investissement (et donc accumulation supplémentaire de capital) → Hausse de la demande → Croissance Gains de productivité → Hausse de la valeur ajoutée produite par chaque salarié → Hausse des salaires → Hausse de la consommation → Croissance Par ailleurs, le développement de nouveaux

un tout à l'égard du néant »1.50, figure du chiasme qui image le titre même du fragment par l'antithèse «tout» - «néant» En moraliste, Pascal veut conduire l 'homme à faire l'épreuve de sa propre faiblesse. Un diptyque 1. L' infmiment grand - accumulation qui égare toujours plus loin l'homme dans sa perception de l'univers (crescendo dans l'évocation du plus en plus grand) , en passant par des termes scientifiques: « terre »1.7, « astre »1. 8, « astres »1. Il, « firmament » 1. 12, « espaces » 1

L’exemple qui montre que laideur laplus extrême peut inspirer unpoète = A une Charogne : Compare la femme a une charogne Inspiré par laideur, monstruosité Pourriture, Puanteur, horreur. Il insiste même sur cette laideur Avec une accumulation de qualificatifs Et dans Spleen , laideur = mal = l’enfer de la condition terrestre = enfermement = univers malsain, pourri (forme de prison intérieure) peuple d’hallucinations, l’ennui, la tristesse. Dans sa quete d’Absolu, le poete nous

penser aux peaux de bêtes, scalp (chapeau de plumes) : mœurs sauvages. hommes : durs, féroces, sans mœurs ni politesse : accumulation et gradation : longueur des termes de plus en plus importante. Leur goût de l’alcool rappelle celui des indiens d’amérique, ce qui les rapproche encore une fois d’une population sauvage. femmes : étalage de leur corps : (l. 10 à 15) accumulation hyperbolique qui nous donne l’impression que les femmes sont nues : elles semblent avoir peur de plaire : manque de pudeur

exercice physique a lieu le matin : séance d’étirements (l.4 et 5) dans la nourriture et les excrétions : l.12 et 13 : « belles tripes frites, belles charbonnades, beaux jambons… » l.28 à fin : « qqes douzaines de jambons… (accumulations de plats) Csque : l.10 à 13 : accumulation de termes relatif à l’excrétion. l.27 « pissait plein urinal » 2. l’omniprésence de la matière : Exemple du bréviaire qui pèse « tant en graisse qu’en fermoirs et parchemins » => souillure de la religion (par la nourriture)