Accumulation

à celle du cœur qui caractérise les grands seigneurs de Perse.   B- Deux portraits emblématiques opposés • « petit homme si fier ; avec tant de hauteur ;  si impitoyablement ; tant de flegme ; d'une manière si offensante pour les hommes » => accumulation dans les actions fières de l’homme. ∆) Seigneur français : petit homme ridicule, gestes familiers, connotation adverbial, impolitesse du seigneur. Portrait symbolique de l'arrogance du seigneur. • « nous rendre aimables ; nous communiquions

description d'un peuple en marche 2 description : 1ère description : point de vue du narrateur (l1 -19) : focalisation zéro (narrateur omniscient) 2 ème description : point de vue bourgeois (l41 à fin). Conditionnel : imaginaire. - Description par accumulation et énumération : "femmes", "jeunes", "vielles", "hommes". Peuple dissocié (1 groupe épars, caractérisé par son sexe ou son age, ou son métier). Nombreux pluriels : effet de multitude, de masse. Effet de grandeur, avec des allongements syntaxicaux

Auteur : Arman (1928-2005) Titre : Home Sweet Home Année : 1960 Technique : Accumulation de masques à gaz dans une boîte fermée par un plexiglas Dimensions : 160 x 140,5 x 20 cm Localisation : MNAM, Paris    Biographie de l’auteur Artiste américain d’origine française, né à Nice en 1928, Arman, de son vrai nom Armand Fernandez, vivait et travaillait à Vence et à New-York où il décéda en 2005. Il fait des études à l’Ecole des arts décoratifs de Nice puis à l’Ecole du Louvre. Dans la filiation

Premièrement on peut constater deux situations amoureuses dans chacun des extraits. Dans le texte de Charles Sorel, Francion, bien que lié à sa bien-aimée Laurette, ne cache pas son intérêt pour les autres femmes comme on peut le constater dans une accumulation de prénoms « Diane » « Flore » « Bélize »  « Yanthe » « Pasitée » et « une infinité d'autre » (l.6) et dans le champs lexical de la beauté qui met ces femmes en valeur tel que le mot « belle » « parfaite » « attrayante » « gentille » et « incomparable »

cause de l’orgueil de l’homme qui semble vouloir ressembler à dieu. La phrase se termine en faisant écho à l’expression « souverain empire » et le chiasme avec « empire tyrannique ».Cette première phrase de la seconde partie est longue avec une accumulation de verbe à l’impératif qui donne un rythme à la phrase avec un caractère oratoire servant à obliger l’homme à regarder et observer la répartition des sexes dans la nature. Elle énumère les animaux, les végétaux…. Il y a une anaphore à la ligne

imparfait de l’indicatif donc temps lointain et révolu, style simple et oral, v4. II. Possibilité de mettre le temps en défaut 1. Lutter contre le temps grâce à l’Art (ici, la poésie) • Immortalité du poète : chp lexical musique, poésie ; accumulation de participes présents v2 et 3, d’où assonance en [an] -> équivalent présent de vérité générale (+/-) ; évocation de Ronsard par lui-même, répétition de son nom v. 4 et 7, positions remarquables, soit en début de vers puis à la césure ; célébrité

les villages plus reculés. 1. Les victimes -Champ lexical de la mort/Imparfait pour décrire l’horreur vécue par les victimes + assonance en [é] : effet de rime qui accentue l’horreur par la reprise obsessionnelle du son + accumulation des détails anatomiques + accumulation des données chiffrées pour montrer la déshumanisation en temps de guerre/ idée que la guerre n’épargne personne. But susciter l’horreur et l’indignation. 2. Une cruauté universelle -Similitude entre les deux camps  ils sont

rit au nappes damassées ». La joie est souligné par l'assonance en i, et l'assonance en a insiste sur les tissus travaillés. De plus il y a une construction inhabituelle ce qui permet une mise en relief de ce qui le réjouit. On constate aussi une accumulation d'éléments suggérant le luxe, et la richesse, : « nappes damassées, l'encens, grands calices d'or ». Ensuite, on constate une antithèse avec « autel », mit en relief par le rejet. Enfin Rimbaud utilise des adjectifs mélioratifs, les « calices »

avec des généralités, presque des proverbes, dits au présent de vérité générale nottament présent dans le premier paragraphe. II. La ville, les fenêtres, symbole du miroir. 1. La fenêtre = un miroir : - La fenêtre est décrite dans une accumulation d’adjectifs mélioratifs l. 2 et 3. Il emploie d’ailleurs parmi ces adjectifs le terme fécond qui traduit la transformation de cet objet banal en miroir fécond qui l’inspire. - On peut en effet parler de miroir dans la mesure où cette fenêtre est

- Formule d’envoi avec repère spatiaux temporelle - Emetteur-récepteur -> intimité avec une relation filiale - Bienveillance paternelle et préoccupation de la réussite de Pantagruel 2-Un père exigeant - Impératif -> fils subit autorité - Accumulation demande …. 3-Un père tout puissant - Parallélisme de forme avec décalogue (10 commandements Bible) -> discours injonctifs - Parallélisme de sens -> impératif dernier paragraphe 10bverbe dans le décalogue II) Un manifeste de l’esprit Humaniste