Acrostiche

style littéraire: le pétrarquisme. Les grands rhétoriqueurs : Ce surnom péjoratif désigne des poètes français des XVème et XVIème siècle. Leurs poèmes se distinguent des autres par la présence de nombreuses métaphores ainsi que des jeux de mots (acrostiches, palindromes). Ils vivent aux frais d'un mécène et, en échange, le distraient. Le sonnet : Le sonnet est un poème de 14 vers constitué de deux quatrains et deux tercets (ou d'un seul sizain final). Cette forme de poésie apparaît au XIIIème siècle

: A comme absolument athée T comme totalement athée H comme hermétiquement athée É accent aigu comme étonnement athée E comme entièrement athée / pas libre penseur / athée / il y a nuance (pp. 134-135). Sur le plan graphique se dégage un acrostiche par reconstitution à la verticale du mot « ATHÉE ». Elle est rythmée de l’intérieur par des adverbes marquant une forte adhésion du veilleur de nuit à ses propos («absolument », «totalement », « hermétiquement », «entièrement »). C’est ainsi une

noms : bercail, bétail, gent et grisou Et les mots employés comme adjectifs : chic, extra, demi et disco n’ont pas de pluriel Quelques noms dont le genre paraît incertain Au masculin : A : un abaque, un abysse, un accessit, un aconit, un acrostiche, un adultère, un aéronef, un agrume, un ail, un amalgame, un ambre, un amiante, un anathème, un animalcule, un antidote, un antipode, un antre, un apanage, un aparté, un apogée, un appendice, un arcane, un archipel, un argent, un armistice, un arôme

thèses opposées : plan dialectique=Thèse// antithèse  Palindrome : mot qui se lit de droite à gauche et de gauche à droite : GAG, NON, KAYAk  Anagramme : C’est le fait de reformer un mot avec les mêmes lettres qu’un autre : Rein et Nier  Acrostiche : Poème dont chaque début de vers reprend une lettre du nom du poète.  Caligramme : Une poésie dont la forme évoque l’objet ( la colombe d’Appolinaire)  césure : coupe principale de l'alexandrin  connivence : complicité par complaisance

Cagnat-Deboeuf, « De l’art de la mystification dans Le Spleen de Paris : une lecture de “La corde” », Romantisme, n° 156, 2012 (3e trimestre), p. 101-115. 22. Le terme Patursa qu’on trouve employé au XVIe siècle pour désigner la syphilis serait un nom acrostiche formé du commencement des trois mots latins Passio Turpis Saturnina (voir Dictionnaire des Sciences médicales, Paris, 1819, p. 535). 2018-1 © A rm an d C ol in | T él éc ha rg é le 1 2/ 12 /2 02 2 su r w w w .c ai rn .in fo ( IP : 9 2.

annéeN 7. C'est à cette époque qu'il fait la connaissance de Rose Herminie Arnaud Grossetière, née en 1827, pour laquelle il va éprouver une violente passion. Son premier cahier de poésie contient de nombreuses allusions à la jeune femme, notamment Acrostiche ou La Fille de l'air. L'amour de Jules semble avoir été partagé un moment, mais l'idylle est rompue. Les parents d'Herminie voient d'un mauvais œil leur fille se marier à un jeune étudiant, dont l'avenir n'est pas encore assuré. Ils la destinent

Christine de Pisan et Charles d'Orléans. Lorsque Villon, au ~xve siècle, mêle des ballades (Ballade des pendus, Ballade des Dames du temps jadis) aux strophes en octosyllabes du Testament, c'est un genre déjà désuet. Villon signe parfois l'envoi d'un acrostiche (ex : Ballade pour prier Notre Dame). La Pléiade n'utilise plus la ballade, parfois reprise au xv~iie siècle, par exemple par La Fontaine, et au ~xixe siècle par certains parnassiens comme Banville (Trente-six ballades joyeuses). Le chant

l’accueil. Sa facturation n’est pas financière mais 15 minutes lui sont rajoutées sur son temps final. 25 Nous avons d’abord déterminé quels seraient les indices qui donneraient la résolution des énigmes : - Le tueur dort au château (acrostiche). - Le mot MARIAGE qui donne une orientation sur le motif du meurtre. (code 13). - Le tueur n’a rien d’un homme (TicTacToc). - Enora est un chien. Ce qui oriente sur la dévotion de la nourrice à la princesse. - Le tueur

d‘écriture : Une infinité d’ateliers basés sur le jeu avec les mots et expressions. On pourra constituer un carnet d’exercices de style à distribuer. Quelques exemples, en plus de ce qu’on trouvera dans les propositions de l’OULIPO (comme poèmes acrostiches, poèmes alphabétiques...) : • Reprendre des expressions traitées par Sophie Chérer dans Renommer et les utiliser pour construire un texte qui tienne compte de leur sens étymologique. Ex. : écriture d’un texte avec l’anaphore de Il faut / On /

à l'infini) un élément à l'intérieur d'autres éléments similaires au premier. 3. Acception - Sens particulier d'un mot, admis et reconnu par l'usage (= sens, signification). Un terme qui a de nombreuses acceptions est polysémique. 4. Acrostiche - Poème dans lequel les initiales de chaque vers, lues verticalement composent un mot-clé (le nom de l'auteur par ex.). 5. Acte - On appelle ainsi la partie d'une pièce de théâtre composée d'une série de scènes ou de tableaux. 6. Acteur -