Acte 1 Scène 5 Ondine De Jean Giraudoux

Introduction Jean Giraudoux est un écrivain français et un diplomate, né le 29 octobre 1882 à Bellac en Haute-Vienne et mort le 31 janvier 1944 à Paris. Brillant étudiant et soldat décoré pendant la Première Guerre mondiale, il occupe des fonctions diplomatiques et administratives tout en écrivant des romans, dont l'on peut retenir Suzanne et le Pacifique écrits en 1921, et Siegfried ainsi que le Limousin écrits en 1922. Il se dirige ensuite vers le théâtre après sa rencontre avec le comédien Louis

Pré face de Jean- Pierre Giraudoux, commen taires et notes de Jacques Body, Le Livre de Poche « Classiques », no 1030, 160 pages. Lec ture INTRO DUC TION L’édi tion offre une pré face de Jean- Pierre Giraudoux, fi ls de Jean, lui- même auteur d’une Électre en 1964, autre ver sion moderne du mythe qui accen tue encore son carac - tère de pièce poli cière. Le commen taire et les notes sont de Jacques Body, auteur de plu sieurs ouvrages impor tants sur Giraudoux ainsi que des

Document A Une riche Anglaise, Anna Damby, rencontre l’acteur anglais Kean, célèbre pour ses interprétations de Shakespeare. 5 10 ANNA. – Je ne désirais rien, je n’espérais rien, je n’aimais rien. Mon tuteur avait consulté les médecins les plus habiles de Londres, et ils nous avaient dit que le mal était sans remède, que j’étais attaquée de cette maladie de nos climats contre laquelle toute science échoue. Un seul d’entre eux demanda si, parmi les distractions de ma jeunesse, le spectacle

« Un dénouement heureux » La Folle Embrassez-vous tous les deux, et vite ! (l.1) Irma et Pierre Que nous nous embrassions ? (l.2) La Folle Il y a trois heures que vous vous connaissez, et vous plaisez, et vous (l.3) aimez. Embrassez-vous, et vite, sinon ce sera trop tard. (l.4) Pierre Madame… (l.5) La Folle Regardez-le qui hésite déjà, qui hésite devant le bonheur, comme tous (l.6) ceux de son sexe. Embrasse-le, Irma. Si deux êtres qui s’aiment laissent (l.7) une seule minute

Objet d'étude : les réécritures:  Texte A – Homère, L’Odyssée, chant XII , extrait Texte B – Aloysius Bertrand, « Ondine », in Gaspard de la Nuit, 1842 Texte C – Jean Giraudoux, Ondine, acte 1, scène 8, extrait, 1937 Texte D – Robert Desnos, « Ma sirène », Les Nuits Blanches, 1932 Annexe : Document iconographique : Marc Chagall, Sirène au poète, 1967 CORRECTION DU DEVOIR ( Corrigé fait à partir des propositions de Sylvie et Jacques Dauvin dans la collection Hatier

Almuth Gresillon : "La double contrainte : texte et scène dans la genèse théâtrale" Ce n'est qu'au feu de la rampe qu'une œuvre dramatique commence vraiment à vivre. Paul Claudel à Jean-Louis Barrault Je ne pense pas que les metteurs en scène et les acteurs soient plus importants que les poètes, je pense tout le contraire: ce sont les poètes dramatiques qui font avancer le théâtre. Parce qu'ils proposent aux acteurs et aux metteurs en scène [...] des tâches irréalisables. Antoine Vitez

GIRAUDOUX, Electre ; I, 1 Cette scène d’exposition répond-elle aux attentes du genre ? Qu’est ce qui fait l’originalité de cette scène d’exposition ? Quelle est la fonction de cette scène ? Cette scène d’exposition vous semble-t-elle plutôt traditionnelle ou originale ? Cette scène d’exposition vous semble-t-elle représentative du reste de la pièce ? Le problème du genre : la scène annonce-t-elle une tragédie ou une comédie ? GIRAUDOUX, Electre ; I, 4 Que dire des rapports

|NATHAN Annales 2010 |lecteur pour défendre sa conception de la poésie. | |Verlaine (corpus 5, p. 318) |Question : Comparez les textes du corpus. | |- Verlaine, « Melancholia », Après

Ronsard, « Madrigal », Sonnets pour Hélène - Musset, « A George Sand », Poésies posthumes - Verlaine, « Ô triste, triste était mon âme », Romances sans paroles - Desnos, « Non, l’amour n’est pas mort », Corps et Biens NATHAN Annales 2010 Verlaine (corpus 5, p. 318) - Verlaine, « Melancholia », Après trois ans, in Poèmes saturniens - Verlaine, « Melancholia », Mon rêve familier, in Poèmes saturniens - Verlaine, « Eaux fortes», Promenade sentimentale, Poèmes saturniens - Verlaine, « Eaux fortes», Monsieur

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