Acte 3 Scène 8 L Illusion Comique

Confidences – Marivaux Résumé scène par scène Acte I Scène 1 : Scène extrêmement brève entre Dorante et Arlequin → Dorante veut absolument être seul. Scène 2 : Scène entre Dorante et Dubois → ne veulent pas être vus. On appendre qu'ils se connaissent → complot. Intrigue amoureuse → on connait la fin de la pièce. Scène 3 : Monsieur Rémy conseille fortement Dorante de séduire Marton → Dorante comprend que ce quiproquos supplémentaire peut servir son projet. Scène 4 : « Fiançailles » de Dorante

d'abord ce ne fut que des figures muettes, en cire, en plâtre ou en bois qui représenté les scènes. Peu à peu la scène s'anima avec des prêtres ou des fidèles qui prenaient le rôle des personnages et traduisaient leurs sentiments et leurs pensées à l'aide des gestes et du langage. 3) La pièce de Caldéron trouve son inspiration dans la religion, notamment des Mystères. Elle met en scène des allégories, des personnages représentant une image, une idée abstraite ou une notion morale difficile à représenter

se déclarent leur amour. ➢ Louison en enfant martyr II, 8 : permet de révéler à la fois la crédulité d'Argan et en même temps son amour paternel, malgré son autorité tyrannique – ce que souligne Toinette I,5 « Mon Dieu ! Je vous connais, vous êtes bon naturellement ». Son obsession pour la maladie, son narcissisme et sa naïveté peuvent lui faire oublier son naturel mais cette scène jouée par Louison lui rappelle. ➢ Toinette en médecin III, 8-10 : révèle les abus de la médecine dans une farce grotesque

tragique ? Ambitieux et riche, George Dandin est un personnage animé par de multiples illusions. Il a cru pouvoir accéder à la noblesse en épousant Angélique, mais il est conscient qu’il s’agit d’une « sottise » (acte I, scène 1). Ce mariage ne lui apporte que des contrariétés et un ridicule anoblissement de son nom : il doit renoncer à son identité pour se faire appeler « Monsieur de la Dandinière » (acte I, scène 4). Il a également la naïveté de croire que la vérité triomphe inévitablement du

carnavalesque (III, 14) Préparation de l’explication linéaire : (III, 14) = Un scène de dénouement qui résout les nœuds : le mariage de Cléante et d’Angélique aura lieu (Cléante vient d’accepter de se faire médecin pour obtenir la main de la jeune fille), Béline a été démasquée. Il reste à « guérir » définitivement Argan de la « maladie des médecins ». → Dénouement conforme aux comédies classiques (mariage heureux), mais paradoxe : cette scène de dénouement annonce un nouveau spectacle (le mariage n’est pas conclusif

3/ Chassignet, Le Mépris de la vie et Consolation contre la mort (1594) « Mortel sonnet », document photocopié. 4/Corneille, L’Illusion comique (1636),acte V,sc 5, Bordas, Textes et Perspectives 1ère, p.370. 5/ Marbeuf, Recueil des vers de M. de Marbeuf (1628) « Et la mer et l’amour… », Bordas, Textes et Perspectives 1ère, p. 375. Textes et documents complémentaires : 1/ Descartes, Méditations métaphysiques, 1 (1641), extrait, document photocopié. 2/ Scarron, Le Roman comique (1651-1657)

rétablit d’ailleurs l’ordre social des choses : les maîtres se marient entre eux et les valets se marient également entre eux. Le bouleversement social qu’impliquerait la concrétisation d’une mésalliance n’a pas lieu. Petits Classiques Larousse -3- Le jeu de l’amour et hasard de Marivaux LE LANGAGE PARAVERBAL PARAVERBAL Définition de la notion : on désigne par « langage paraverbal » tout ce qui accompagne l’énonciation d’une parole et qui relève des modalités de cette énonciation : les

> L’Illusion comique de Pierre Corneille Frédéric Fisbach mise en scène du 23 septembre au 23 octobre 2004 Odéon-Théâtre de l’Europe aux Ateliers Berthier - Petite Salle Photo . Fred Naucziciel/see-you-tomorrow > Service des relations avec le public scolaires et universitaires, associations d’étudiants réservation : tél 01 44 85 40 39 - scolaires@theatre-odeon.fr actions pédagogiques : tél : 01 44 85 40 33 dossier également disponible sur http://www.theatre-odeon.fr >

forcément à la théâtralité du spectacle, comme par exemple dans la scène 5 de l’acte II. Cléante et Angélique, les deux amoureux, s’avouent en effet leur flamme dans un opéra miniature, à la barbe d’Argan et des Diafoirus mais aussi devant Toinette. Ces derniers deviennent alors des spectateurs, ce que la mise en scène de Colette Roumanoff souligne en les alignant comme dans une salle de spectacle. Cet opéra impromptu, véritable acmé de la scène, permet à Molière une fois encore de placer l’art musical au

prouvent-les propos de Marceline dans la scène 4 de l’acte premier : « Eh ! qui pourrait-ce être, docteur, sinon le beau, le gai, l’aimable figaro ? » « Jamais fâché ; toujours en belle humeur ; donnant le présent à la joie, et s’inquiétant de l’avenir tout aussi peu que du passé ; sémillant, généreux! généreux… » Cependant, il est considéré du côté masculin en tant que moins que rien en prenant par exemple les dires du docteur Bartholo dans la scène 3 et 4 de l’acte premier : « Bavard enragé