Acte 5 Scene 6 Illusion Comique

tragique ? Ambitieux et riche, George Dandin est un personnage animé par de multiples illusions. Il a cru pouvoir accéder à la noblesse en épousant Angélique, mais il est conscient qu’il s’agit d’une « sottise » (acte I, scène 1). Ce mariage ne lui apporte que des contrariétés et un ridicule anoblissement de son nom : il doit renoncer à son identité pour se faire appeler « Monsieur de la Dandinière » (acte I, scène 4). Il a également la naïveté de croire que la vérité triomphe inévitablement du

forcément à la théâtralité du spectacle, comme par exemple dans la scène 5 de l’acte II. Cléante et Angélique, les deux amoureux, s’avouent en effet leur flamme dans un opéra miniature, à la barbe d’Argan et des Diafoirus mais aussi devant Toinette. Ces derniers deviennent alors des spectateurs, ce que la mise en scène de Colette Roumanoff souligne en les alignant comme dans une salle de spectacle. Cet opéra impromptu, véritable acmé de la scène, permet à Molière une fois encore de placer l’art musical au

(1594) « Mortel sonnet », document photocopié. 4/Corneille, L’Illusion comique (1636),acte V,sc 5, Bordas, Textes et Perspectives 1ère, p.370. 5/ Marbeuf, Recueil des vers de M. de Marbeuf (1628) « Et la mer et l’amour… », Bordas, Textes et Perspectives 1ère, p. 375. Textes et documents complémentaires : 1/ Descartes, Méditations métaphysiques, 1 (1641), extrait, document photocopié. 2/ Scarron, Le Roman comique (1651-1657), « Je m’en sers de ma seule autorité… », Bordas, Textes et Perspectives

RESUME – L’ILLUSION COMIQUE, Corneille (1639) ACTE I Acte I, scène 1 Dorante a amené son ami Pridamant à la grotte d’Alcandre. Celui-ci est un « magicien » (Illusionniste), qui conseille les Hommes. Pridamant compte sur lui pour retrouver son fils Clindor, avec lequel il s’est fâché. Acte I, scène 2 Alcandre reçoit les deux amis. Ce magicien sait déjà ce qui amène Pridamant. Il lui explique ensuite, que son fils est devenu riche ; Pridamant ne le croit pas. Alcandre lui propose alors

bande, Cendres (1959), Pas moi (1963), Comédie et actes divers (recueil de textes dont Acte sans parole I[3] et Acte ss paroles II,), Pas, suivi de Quatre esquisses (1978), Catastrophe et autres dramaticules (1982). La remise en cause du théâtre traditionnel Les œuvres théâtrales de B. ne contiennent pas d’action (« Toute l’œuvre de Beckett est une protestation contre l’action[4] »), ou si peu !, ni péripéties[5], sinon dérisoires. Les personnages semblent errer (« Quoi faire ? » ressassent Vladimir

l’on voit, les sens de théâtre : 1°) Spectacle 2°) Édifice dans lequel on montre ce spectacle. 3°) Genre littéraire destiné à être mis en scène. 4°) C’est un art : l’art dramatique (du grec ‘drama’ : l’action) qui remonte à l’Antiquité. Origines Selon la tradition, c’est le poète de l’antiquité grecque Thespis qui aurait inventé la tragédie en mettant en scène, en faisant jouer ses poèmes par des acteurs masqués (cf. : chariot de Thespis) La tragédie pourrait venir du grec : Tragos = bouc ; Oidia

Dom Juan, Molière Eléments de réponse, questionnaire Acte IV Scène 1 : 1. C'est le sujet de la conversation qui fait le lien : la visite du tombeau du Commandeur. 2. Pour Sganarelle, il s'agit d'un miracle. Pour notre Don Juan cartésien , c'est une illusion d'optique, un trouble, une défaillance de la vision : « faux jour » ; « vapeur ». Scène 2 : Don Juan ne veut pas faire comme tout le monde : éviter Monsieur Dimanche ou faire dire qu'il est absent. Il veut braver la situation,

)
Contexte littéraire et artistique : le XVII = le baroque (liberté d’imagination, illusion , aux théâtre = pièces " à machines ") et le classicisme (règles des trois unités, bienséances)
Dom Juan est une pièce baroque, libérée des contraintes, ni unité de lieu ni unité de temps . Recours à tous les artifices notamment au merveilleux. La pièce de Molière met en scène un libertin qui s’oppose à l’austérité religieuse. Acte 1 sc 1Lieu : intérieur : un palais
 La pièce s’ouvre sur un éloge étonnant du

l’hypocrisie de Béline, la nature de Cléante, la stupidité des Diafoirus, l’inutilité des médecins, l’illusion religieuse médicale.- Les mensonges et les déguisements : pour nuire ou pour révéler.- Une comédie d’intrigue, de mœurs, de caractère.- Le rôle du comique (gestes, situation, mots, caractère).- Vérité universelle sur l’homme : tyrannie, plaisir à être malade, de la servitude volontaire, difficultés à entendre raison, la cupidité universelle, l’amour filial et fraternel.- Vérités sur la société : la

- Acte 1 Scène 1 : Première intervention de Dorine afin d'accabler et de dénoncer Tartuffe, notamment à travers deux répliques : « S'il le faut écouter et croire à ses maximes [...] » et « […] Tout son fait, croyez-moi, n'est rien qu'hypocrisie ». Bien sûr, elle est considérée comme insolente par Mme Pernelle, qui comme Orgon, croit aveuglement en Tartuffe et son honnêteté. - Acte 1 Scène 5 : On se situe au moment où Cléante profère deux tirades lors d'une discussion avec Orgon. Celui-ci tente