Acte I Scène 3 Horace

PROFESSEUR établi par N ATHALIE L EBAILLY M ATTHIEU G AMARD professeurs de Lettres SOMMAIRE DOCUMENTATION COMPLÉMENTAIRE Ballades ................................................................................................................... 3 ......................................................................................... 10 Belles matineuses Arts poétiques Tombeaux ............................................................................................................

musicienne qui jouait du violon dans un orchestre itinérant et était professeuse de piano. Comme l’orchestre se produisait sur des scènes de casinos en province (en particulier, celui d’Arcachon) il fut, dès sa plus tendre enfance, sensibilisé à la scène et au phénomène du spectacle. Mais, comme, au premier entracte, on l’envoyait se coucher, il terminait mentalement les pièces avant de s’endormir. Plus tard, lorsqu’il vit les vrais dénouements, il fut souvent fort déçu. Très tôt pris de passion pour

SEMAINE 24 Mardi 17 mars - CONVAINCRE, PERSUADER, DÉLIBÉRER (8) : B/ LECTURES ANALYTIQUES (5) : II/ L’ARGUMENTATION DIRECTE : IV — Michel de Montaigne [1533-1592], « Chacun appelle barbarie, ce qui n’est pas de son usage », Essais, I, 30 —> cf. manuel de littérature pp. 386-387. 1- Lecture et compréhension du texte. 2- Fiche pour le COMMENTAIRE : A- Le commentaire suppose d’abord de se livrer à une étude méthodique (ou lecture analytique) du texte : sa structure, sa progression, ses procédés d’écriture…

.............................................11 Acte I ....................................................................................... 12 Scène I......................................................................................... 13 Scène II ....................................................................................... 18 Scène III ......................................................................................22 Scène IV .............................................

maître de soi Est serf de mille maux et regrets qui m'ennuient4. De la postérité je n'ai plus de souci, Cette divine ardeur, je ne l'ai plus aussi, Et les Muses de moi, comme étranges5, s'enfuient. 1. hélas. 2. personnification du destin. 3. avait l'habitude de. 4. me tourmentent. 5. étrangères. Texte B - Tristan Corbière, Les Amours jaunes, 1873. UN SONNET AVEC LA MANIERE DE S'EN SERVIR Réglons notre papier et formons bien nos lettres Vers filés

musicienne qui jouait du violon dans un orchestre itinérant et était professeuse de piano. Comme l’orchestre se produisait sur des scènes de casinos en province (en particulier, celui d’Arcachon) il fut, dès sa plus tendre enfance, sensibilisé à la scène et au phénomène du spectacle. Mais, comme, au premier entracte, on l’envoyait se coucher, il terminait mentalement les pièces avant de s’endormir. Plus tard, lorsqu’il vit les vrais dénouements, il fut souvent fort déçu. Très tôt pris de passion pour

international de Philosophie | « Rue Descartes » 2012/3 n° 75 | pages 114 à 126 ISSN 1144-0821 Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 186.190.23.171 - 08/10/2015 16h30. © Collège international de Philosophie Powered by TCPDF (www.tcpdf.org) Article disponible en ligne à l'adresse : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------http://www.cairn.info/revue-rue-descartes-2012-3-page-114.htm -----------------------------------

Professeurs: E. Berriot-Salvadore (Université P. Valéry Montpellier III) N. Dauvois (Université de Toulouse le Mirail) R. Esclapez (Université de Toulouse le Mirail) M-M. Fragonard (Université de Paris III) J.-N. Pascal (Université de Toulouse le Mirail) 3 tel-00272376, version 1 - 11 Apr 2008 4 tel-00272376, version 1 - 11 Apr 2008 REMERCIEMENTS Je remercie tous ceux qui m’ont accompagnée, encouragée, soutenue et supportée, avec une pensée particulière pour mes parents, Makoto, Noriko

1704 ; Montesquieu, Lettres Persanes ; Diderot, Les Bijoux indiscrets…) Titres des poèmes du recueil Les Orientales. • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • I : Le Feu du ciel II : Canaris III : Les Têtes du sérail IV : Enthousiasme V : Navarin VI : Cri de guerre du mufti VII : La Douleur du pacha VIII : Chanson de pirates IX : La Captive X : Clair de lune XI : Le Voile XII : La Sultane favorite

pièce (il ne s'agit pas uniquement d'une petite digression). Leur première représentation est une longue déclamation, de de manière quasi improvisée (à lire attentivement même si de nombreux metteurs en scène la suppriment). Elle fait le récit de la mort de Priam à Troie, une scène vengeance dans laquelle un jeune guerrier (fils d'Achille) massacre un vieillard. A travers cette réplique, H fait intervenir un modèle de vengeur qui n'aurait aucun état d'âme, capable d'émasculer un vieillard