Acte I Scène 3 Phèdre

et l’analyse de deux mises en scène. Ces mises en scène ont été choisies parce que très différentes l’une de l’autre et surtout parce qu’elles étaient disponibles en vidéocassette ! En effet, la Comédie Française propose une vidéo de la mise en scène de Jacques CHARON datant de 1972 (avec Robert Hirsch dans le rôle de Tartuffe). On peut également trouver en vidéo une adaptation filmée plus récente (1997) réalisée par Georges BENSOUSSAN et coproduite par France 3, Néria Productions, Euripide Productions

Acte III, scène 8 1. Situation du texte Comme plus tard Iphigénie, les premiers spectateurs d'Andromaque apprécièrent l'efficacité pathétique de cette pièce, son pouvoir de faire couler les larmes. C'est qu'en effet, le chant funèbre, les lamentations de l'héroïne éponyme y constituent un attrait aussi marquant que la fureur finale d'Oreste. Ces deux tonalités contrastées habillent d'une aura tragique la chaîne amoureuse (Oreste aime Hermione, qui aime Pyrrhus, qui aime Andromaque, qui aime

l’ensemble des activités liées à l’art dramatique (voir théâtre) et au lieu destiné aux représentations, voir théâtre (bâtiment). Sommaire [masquer] 1 La spécificité du théâtre 2 L'énonciation théâtrale 2.1 Les textes à lire 2.2 Les textes à dire 3 L’action théâtrale 4 Les personnages de théâtre 5 La diversité des genres théâtraux 5.1 La codification classique 5.1.1 Un art moral 5.1.2 Un art de la mesure 5.1.3 L’opposition tragédie - comédie 5.2 Les différents types de comique et de comédie

Acte V ; Phèdre I) Situation du passage Jean Racine est un écrivain du XVIIe siècle appartenant au courant du classicisme. Il s’inspire de la tragédie antique pour composer en 1677, Phèdre dont le thème principal est l’inceste. Plus précisément, le passage à étudier est l’acté V. En quoi est-il conforme aux attentes d’un dénouement de tragédie ? Pour répondre à cette question, il conviendra dans un premier temps de montrer qu’Hippolyte reste un homme d’honneur puis d’analyser les ressorts

Le 18eme I. Contexte historique :  Relâchement de l’autorité  Problèmes politiques et financiers émergent  Révolution : révolution du peuple. Marque le déclin et décadence de la France. II. Contexte artistique :  Siècle des Lumières : philosophie contre l’ignorance  Néo-classicisme et classicisme : règles strictes, hiérarchie politique et artistique, rationnel. vs.  Romantisme : courant principal du XVIIIe, mal du siècle, individualisme, la passion, émotionnel.  Drame romantique

homme » et qui développent une esthétique fondée sur une recherche de la perfection. Phèdre est une tragédie en cinq actes et en alexandrins de Jean Racine datant de 1677. C’est la dernière tragédie profane de Racine avant un long silence de douze ans au cours duquel il se consacrera au service du roi et à la religion. Une nouvelle fois, il choisit un sujet déjà traité par les poètes tragiques grecs et romains. Phèdre a été victime de la création simultanée, sur le même thème, d’une pièce de Nicolas

THÉÂTRE: EXEMPLES ET CITATIONS Antigone Anouilh (évite la censure) + RÉ-ÉCRITURE (= d’Anouilh se déroule pendant la 2ème G.M. tandis que celle 2 Sophocle, 25 siècles avant et donc l’originale, se situe dans l’Antiquité.) + mise en scène 2 Loyon en 2009 (utilisation d’1 marionnette pour le rôle 2 l’enfant qui guide Tirésias ou encore l’introduction du public ds le chœur). Finissez vos phrases, Tardieu ( Jeu sur la parole) En attendant Godot, Beckett (Jeu sur l’intérêt de l’intrigue) + (didascalies

début de siècle a travers Macha, Olga, Irina, Tchekhov dépeint trois âges, trois tempéraments féminins. Lorsqu’on évoque les trois sœurs, l’œuvre, le titre amalgame les 3 personnages et donne une impression de fusion, d’unité alors que paradoxalement on a des caractères radicalement différents. Tchekhov pose donc à travers ces 3 caractères la question de la femme dans la société. Notre objet d’étude sera donc l’ambivalence figure féminine et sa dimension mythologique dans ce drame. Si elles

2. La plainte funèbre d'Andromaque Au premier acte (scène 4), le spectateur a découvert Andromaque dans une disposition d'esprit intraitable, voire ironique (v. 270-272), et développant un discours habile, méthodique, pour exposer sa résolution de mourir elle-même et de voir mourir son fils, plutôt que de céder aux avances de Pyrrhus. L'acte III la lui montre très différente, parce qu'on croit alors la mort d'Astyanax imminente : scène 6, Andromaque s'humilie d'abord aux pieds de Pyrrhus (v

« sublime »dans ce texte ? 3) Dans quelles mesure ce dénouement est représentatif du drame romantique Principales idées du texte : I) Dénouement original en rupture avec les règles classiques 1) Refus de la règle de bienséance Ruy Blas mort sur scène Passion amoureuse très tactile 2) Mélange des registres Tragique dans la fatalité de la mort de Ruy Blas Pathétique de la souffrance de Ruy Blas Romantique dans l’intensité des sentiments ressentis par les protagonistes 3) Libération du langage