Acte Iv Scene 6 Don Juan

chœur de raconter l’histoire renvoie à l’antiquité reniée par les contemporains de Musset. On peut dire que Badine s’oppose au drame romantique, car ce n’est pas un pièce en 5 actes et en vers, mais une pièce en 3 actes et en prose qui reflète une scène intime de la vie privée et non pas un sujet politique historique. On remarque aussi le mélange des genres promu par Shakespeare ; Musset combine le tragique et le comique dans ses proverbes. Le caractère original de Badine est dû à la liberté de

le spectacle (l'Odyssée) peut commencer. Mais avant toute chose nous posons une regard sur la méthode de création de Jean-Claude Gallotta. C'est à l'aide de notes, de croquis et de photos répertoriés dans un carnet de bord que les corps sont mis en scène. Il s'agit de textes de chantiers au profit des étapes et du processus de création chorégraphique. Dans ce journal de bord se trouve aussi les problèmes rencontrés et les solutions trouvées pour y remédier. 2.La descente aux enfers, un lieu symbolique

2 OCTAVE.— Que dois-je faire? Quelle résolution prendre? À quel remède recourir? SCÈNE II SCAPIN, OCTAVE, SILVESTRE. SCAPIN.— Qu'est-ce, Seigneur Octave, qu'avez-vous? Qu'y a-t-il? Quel désordre est-ce là? Je vous vois tout troublé. OCTAVE.— Ah, mon pauvre Scapin, je suis perdu, je suis désespéré; je suis le plus infortuné

et reconnue fille d'Argante, et amante de Léandre. HYACINTE, fille de Géronte, et amante d'Octave. SCAPIN, valet de Léandre, et fourbe. SILVESTRE, valet d'Octave. NÉRINE, nourrice de Hyacinte. CARLE, fourbe. DEUX PORTEURS. La scène est à Naples. ACTE I, SCÈNE PREMIÈRE OCTAVE, SILVESTRE. OCTAVE.— Ah fâcheuses nouvelles pour un cœur amoureux! Dures extrémités où je me vois réduit! Tu viens, Silvestre, d'apprendre au port, que mon père revient? SILVESTRE.— Oui. OCTAVE.— Qu'il arrive ce

d'Urfé et Émile Zola’’ étant couronné par le prix Maréchal Villars de l'Académie de Marseille et étant publié dans ‘’Le Journal de Marseille’’. Puis, «petit Marseillais» qui découvrait le monde du théâtre, qui avait le désir avoué de conquérir la scène parisienne, il écrivit en collaboration avec Henri Lee, le frère de sa fiancée, la future poétesse Rosemonde Gérard : _________________________________________________________________________________ ‘’Le gant rouge’’ (1888) Vaudeville en quatre

trace de la malédiction ? Histoire de tous les peuples est faite par les tissus enjolivés des mythologies. Pour oublier certains évènements non glorieux ? Cette connotation mystérieuse et mythique fait partie de son attrait. Reposait sur l’adhésion acte de foi. Dieu le père, le fils, le Saint Esprit. La démocratie est la reprise de ce dogme, le peuple a remplacé Dieu le père. On a inventé le concept de peuple mais introuvable. On trouve à la place du fils, les élus les représentants, les parlementaires

d'Urfé et Émile Zola’’ étant couronné par le prix Maréchal Villars de l'Académie de Marseille et étant publié dans ‘’Le Journal de Marseille’’. Puis, «petit Marseillais» qui découvrait le monde du théâtre, qui avait le désir avoué de conquérir la scène parisienne, il écrivit en collaboration avec Henri Lee, le frère de sa fiancée, la future poétesse Rosemonde Gérard : _________________________________________________________________________________ ‘’Le gant rouge’’ (1888) Vaudeville en quatre

d'Urfé et Émile Zola’’ étant couronné par le prix Maréchal Villars de l'Académie de Marseille et étant publié dans ‘’Le Journal de Marseille’’. Puis, «petit Marseillais» qui découvrait le monde du théâtre, qui avait le désir avoué de conquérir la scène parisienne, il écrivit en collaboration avec Henri Lee, le frère de sa fiancée, la future poétesse Rosemonde Gérard : _________________________________________________________________________________ ‘’Le gant rouge’’ (1888) Vaudeville en quatre

Bodin, Les Ponts-de-Cé Sommaire Le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours 1 2 3 4 5 6 7 Le narrateur et le personnage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 L’identité du personnage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 La parole . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

l’adaptation de Frears. • Personnages jeunes et vieux dans Les Liaisons de Laclos et l’adaptation de Frears. • Les décors dans l’adaptation de Frears : dans quelle mesure vous semblent-ils renvoyer au roman ? • Comment Stephen Frears met-il en scène les lettres dans son adaptation des Liaisons ? * Les sujets signalés par un astérisque font l’objet d’une étude détaillée plus loin. 2 Propositions de corrigés Nous proposons quelques corrigés ; certains sont développés, d’autres indiquent