Actes des Apôtres

religieuse de ce portrait. Toutefois ce poème descriptif n’est pas gratuit, ses implications politiques sont fondamentales d’autant plus qu’il est situé à la fin du livre V et nous donne le plus bel exemple « d’autorité sacrée » répondant ainsi par des actes aux prétentions politiques de Napoléon III. I L’éloge funèbre. Certes il s’agit d’un poème descriptif qui entre dans un sous-titre qui serait celui de l’éloge funèbre, c'est-à-dire un discours prononcé par un orateur. C’est un genre oratoire

LA BULLE UNAM SANCTAM (1302) ... « L'Evangile nous apprend qu'il y a dans l'Eglise et dans la puissance de l'Eglise deux glaives : le spirituel et le temporel. Quand les Apôtres ont dit : il y a deux glaives ici – ici c'est-à-dire dans l'Eglise – le Seigneur n'a pas répondu : c'est trop », mais « c'est assez ». Certes celui qui nie que le glaive temporel soit en la puissance de Pierre méconnaît la parole du Seigneur, disant : « Remets ton épée au fourreau ». Donc l'un et l'autre glaives sont dans

d’adoration rivalisant avec la prière. Il est inversement à redouter qu’une action d’apparence louable, comme la charité, soit, à cause de la médiocrité de sa motivation, qui peut n’être que l’ostentation, aussi mauvaise que le faux et le mensonge. Les actes ne valent, profondément, que par leur intention. L’imam Chafi`i avait dit que la sourate Al-asr (Le temps) était suffisante si elle était suffisamment méditée. Voici une traduction de cette sourate : « Par le Temps ! L’Homme est certes, en perdition

les rites (faire la prière), les serments qui sont plutôt une forme de contrat devant Dieu et l’Eglise et qui font naitre une obligation juridique. Le sens du mot « […] conduit […]» est de ce que l’on fait. Conduire avec rectitude suppose des actes qui sont faits avec comme prérogative un respect des édictions catholiques, les lois et recommandations de l’Eglise. Au Ier siècle apparaissent les communautés chrétiennes au sein de l’Empire Romain. Les premières règles font également leur apparition

très clair. Jésus est le nom qui était donné au Seigneur pendant qu'Il était sur la terre. Christ est le nom qui Lui est donné après Sa résurrection lorsque Dieu L'a oint. « Dieu L'a fait et Seigneur et Christ. » Vous rappelez-vous ces paroles de Actes 2 ? Christ est le nom qui Lui est donné dans Sa résurrection. En lisant Romains, nous trouvons les mots Christ Jésus, qui signifient que le Christ d'aujourd'hui est le même Jésus qui était sur terre autrefois. Christ Jésus est Son nom aujourd'hui.

électronique freeware] Version 5.0.11337.1968 (beta) Etats-Unis, 2004. Date de compilation : 29 Janvier 2009. Disponible le 23 Avril 2009. ----------------------- [1] Il apparait trois fois nommé de cette façon dans le Nouveau Testament : Actes des Apôtres 7:56 et Apocalypse 1:13 et 14:14 [2]Dans la mythologie grecque, Hélios et Phaéton conduisaient le char solaire par les cieux, marquant la durée du jour et de la nuit. Le terme « pieux » ferait de ce mythe païen un chrétien.

tels propos est celui par lesquels ils sont proclamés. Que les clercs, descendants de Montaigne ou Voltaire se livrent à une telle bassesse d’esprit, là est le problème. Les hommes d’Églises eux-mêmes bien que supposés s’appuyer sur la parole des apôtres qui déclarèrent « il n’y a ni Grec, ni Juif ni Scythe, mais Christ est en toutes choses » se laissent aller à des glorifications de particularismes nationaux. Ils voient même dans les écrits bibliques une maison d’Israël qui rassemblerait des individus

résurrection de Notre Seigneur Jésus-Christ. 64 Incendie de Rome. Première persécution des chrétiens par Néron. Martyre de saint Pierre et saint Paul à Rome, « nouvelle Jérusalem ». 70 Destruction de Jérusalem par Titus. 60-80 Rédaction des Actes des Apôtres par saint Luc. A la mort de saint Jean (fin Ier siècle), la Révélation est close. 177 Martyrs de Lyon (saint Pothin, sainte Blandine…). 312 Bataille du Pont Milvius. « In hoc signo vinces ». Arc de Constantin à Rome inauguré en 315. 313

conduira à des conflits graves quand il s’agira de comprendre le mystère de Jésus, Fils de Dieu, vrai Dieu et vrai homme. Cela conduira aussi à une conception erronée de la compréhension de ce que dit la profession de foi chrétienne, « le Symbole des Apôtres », quand elle parle de la résurrection de la chair. Cela fait aussi qu’aujourd’hui encore la vision dualiste grecque reste la vision commune de l’Occident et que pour beaucoup de chrétiens encore, l’immortalité de l’âme peut remplacer la notion de

Il n’a pas écrit de livre, ni commandé d’armée, ni exercé de mandat politique, ni possédé de terres. Il s’est principalement déplacé sur un rayon de 160 kilomètres de son village, attirant des foules émerveillées par ses paroles provoquantes et ses actes stupéfiants. Pourtant, la grandeur de Jésus était évidente pour tous ceux qui l’ont vu et entendu. Et tandis que la plupart des grands hommes s’effacent éventuellement pour ne plus paraître que dans les livres d’histoires, Jésus est toujours le thème