Activités Agricoles Dans La Zone Intertropicale

flux de marchandises Concernant les biens (marchandises) : rappelons qu’à la veille de la Première Guerre mondiale, les produits primaires (agricoles, miniers) représentent encore plus de 60 % des exportations mondiales. A partir des années 1950, le commerce des produits manufacturés dépasse en volume celui des produits primaires (produits agricoles et industries extractives : combustibles, minerais). Vers les années 1980 a lieu une nouvelle inflexion en faveur des produits manufacturés. Cette

localement. Le challenge fixé par le gouvernement consiste donc à porter ce quota à 50 % à l’horizon 2015. Une initiative à encourager car les diverses opérations de transformation telles que : le nettoyage et le séchage des fèves constituent des activités économiquement peu valorisées. A l’exemple du prix d’exportation du beurre de cacao qui vaut environ 2,5 fois plus que les fèves. Il n’y a pas que les produits finis qui apportent les devises aux industriels, car les produits intermédiaires sont

............................. 46  4.2. L’expérience passée en matière d’adaptation suffit-elle pour parer aux effets du changement climatique ? ................................................... 49  4.3. En quoi l’adaptation diffère-t-elle des activités habituelles de développement ?.......................................................................................... 49  Chapitre 5. Mesures opérationnelles visant à prendre en compte l’adaptation : de la théorie à l’action .................

produit pour les populations rurales du Nord du Brésil. 6/61 1.1.5. Culture. Le palmier Wassaï peut être propagé par voie sexuée (germination des graines) aussi bien que par voie asexuée (replantage des rejets). Contrairement aux pratiques agricoles sur fruitiers, la reproduction asexuée n'est pas privilégiée commercialement (rejets fragiles, et disponibles en quantités limitées). Le Wassaï est un palmier qui pousse lentement. Il faut compter 3 à 5 ans pour la première récolte, et il faut couramment

venir des épreuves du baccalauréat général, la recherche du plus grand choix possible d’activités a prévalu dans la préparation de ces pages, associant des savoir-faire simples (lecture de cartes thématiques, d’anamorphose, de graphiques…) à des activités exploitant les TICE et à des exercices mettant en relation plusieurs documents ou à l’initiation au croquis géographique. Enfin, la dernière page propose un résumé de l’essentiel du chapitre, des sites Internet, une rubrique « Ne pas confondre »

par M. Ali RACHID Planification intégrée du tourisme (ISITT) dispensé par M. RAHOUTI Economie touristique (ISITT) dispensé par M. Aït LAHCEN MAA OMGBA VERONIQUE PROMOTION 2007/2008 INTRODUCTION Le tourisme est l’une des plus anciennes activités du monde, il s‘est développé avec l’évolution technologique et démographique et constitue désormais un secteur économique fondamental dans de nombreux pays développés comme dans des pays en développement, qui en font un facteur essentiel de leur

69 70 71 72 76 80 81 82 Références Sources et contributeurs de l'article Source des images, licences et contributeurs 84 86 Licence des articles Licence 87 Aire d'influence 1 Aire d'influence Une aire d’influence (ou zone d’influence) est une zone polarisée autour d'un centre dans de divers domaines.[1] Les aires d'influence ont des formes circulaires, du fait que la probabilité de fréquentation d'un centre baisse très vite en même temps que la distance avec le centre. Références

des zones de crise (Ex : Darfour, avec le Soudan et le Tchad, les populations y sont en conflit car on chasse les populations. Les habitants étaient tellement affaibli qu'ils ne pouvaient plus se battre, il a fallu les rationner). Quand il y a une zone de crise, deux possibilités : les individus s'en vont n'importe où, près des organisations de santé quand il y en a. Attirés vers des camps de réfugiés. Ces derniers franchissent les frontières. A partir de la frontière, leur statut change

mondiale » sur les enjeux transnationaux liés aux questions de développement et d’environnement. L’intensité des échanges a entraîné l’émergence de lieux de la mondialisation qui captent de façon disproportionnée revenus et emplois, concentrent des activités d’innovation, de commandement et de contrôle. Ces lieux se lisent à différentes échelles : – les centres d’impulsion (Amérique du Nord, Union européenne, Japon) focalisent l’essentiel de la vitalité économique mondiale ; – les métropoles mondiales

population. Ces recherches ont montré la nécessité de combiner les techniques où elles étaient les plus adaptées selon les critères précédemment mentionnés. Une typologie de zones à remédier a ainsi été élaborée, assortie d’un ensemble d’actions pour chaque zone, associant diverses formes de phytoremédiation à d’autres mesures décontaminatoires ou anti-érosives. Il a été tenté d’en maximiser la valorisabilité économique, par souci de viabilité : foresterie sur les zones les moins contaminées, vente de biomasse