Adam

trois épisodes renvoyant précisément à la chronologie de la Genèse. Le panneau du Chariot de foin au contraire se lit de haut en bas. Les différentes étapes se lisent donc dans une continuité du paysage, du plan le plus éloigné vers le premier plan. Adam et Ève sont représentés nus, conformément au texte de la Genèse - puisque la conscience de la nudité n'arrive qu'après le Péché originel. Au troisième plan est représentée la création d'Ève par Dieu. Alors qu'Adam est endormi, et repose à terre sur

comme sans intérêt uniquement destinée aux sous Hommes et non pas à eux. Ainsi, selon la vision judéo-chrétienne, le travail est considéré comme une punition, un châtiment en raison du péché originel d’Adam et Eve chassés du paradis dans la Genèse. Adam est ainsi condamner à travailler, à souffrir pour survivre « condamné à gagner son pain à la sueur de son front ». Dès le départ, le travail est donc considérer comme une punition, une corvée qui représente une contrainte pour l’accomplissement de

choisis le vin tes fidèles se seraient égarer. » Plus tard, le prophète entra et décrivit les cieux : le premier est telle une bague dans le désert pour le deuxième. Rencontres dans les cieux : Au premier ciel Il rencontra le père de l’humanité, Adam qui l’appelait son fils pur. Au second, Il vit les prophètes Jean et Jésus. Au troisième, il rencontra Joseph qu’il écrivit comme la moitié de la personnification de toute l’humanité. Au quatrième, le prophète Idris. Cinquième, Aaron le frère

littérature, de nombreux auteurs et artistes se sont inspirés du thème biblique de la Création pour réaliser leurs œuvres. En voici quelques exemples qui peuvent prolonger ou illustrer le travail accompli dans cette séquence. 3.1) Dans l'iconographie Adam dans la pensée de Dieu, portail nord de la cathédrale de Chartres, XIIIe siècle. La Création du monde, coupole de la basilique San-Marco à Venise (mosaïque du XIIIe siècle). La Création, Michel-Ange, coupole de la chapelle Sixtine, 1508, La Création

formels : La composition de l’œuvre n’est pas complexe parce qu’il y a seulement deux masses divisées en diagonale ,mais les détails des visages et les textures sont de nature complexe. Les formes sont plutôt symétriques l'angle ou dieu par rapport à Adam est semble de nature plutôt symétrique. Les détails des personnages sont très complexes. L’espace : l’œuvre semble n'avoir qu'un plan parce qu’il n’a pas de plan éloigné et que les deux personnages sont au premier plan ,mais dans la cape de dieu les

personnifiée dans la mesure où elle est perçue comme un actant, sujet du verbe " fournir " ; comment est soulignée l'insistance à travers le parallélisme de la formule "  sans travail et sans peine " qui est un écho à la condamnation biblique qui pèsera sur Adam et Ève (travailler à la sueur de son front, enfanter dans la douleur). Enfin le caractère global de l'expression " de toutes choses nécessaires "malgré son indétermination, ou peut-être à cause d'elle, suppose, d'une part, des goûts en conformité avec

choses, et c’est par ta volonté qu’elles existent et qu’elles furent créés » Psaume 149 :4 « Car l’Eternel prend plaisir à son peuple » Dieu désirait que Ses enfants Lui ressemblent et participent à son œuvre. C’est pourquoi Il a donné à Adam et Eve, le premier homme et la première femme, une nature qui ressemble grandement à la Sienne. Il voulait les instruire .Et avec son aide, l’homme régnerait sur toute la terre. Genèse 1 :26 « Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image…

création de l’homme. Ce dernier est le chef des especes. L’homme serait a son image afin qu’il soit vénéré. La symbolique du Dimanche. Laisse a l’homme le temps de continuer. Attention : 1 jour =/= 24h. Ca peut être 1000 ans. Contrairement aux animaux, Adam est plus « subtil ». Dieu le place dans le jardin d’eden. Le serpent : symbole de la ruse. Il a mangé le fruit. L’homme s’eleve est presque comme dieu. Punition de l’hybris : il doit maintenant travailler. Déluge : L’homme est méchant, il se disperse

Spinoza, Lettres sur le mal «  La connaissance du mal est inadéquate » (L’Ethique, IV, 64) Le mal est-il ? N’est-il que la privation du Bien ? Comment Dieu a-t-il pu créer Adam pécheur ? Comment concevoir à la fois un Dieu bon et la présence du Mal ? Leibniz «  Si deus est unde malum, si non est unde bonum » (Si Dieu est d’où vient le Mal, s’il n’est pas d’où vient le Bien ?) Dieu est la cause de la substance de l’âme, mais aussi de tous les efforts ou mouvements que nous appelons volontés.

il va entretenir son désir de supériorité qu’elle soit sociale ou intellectuelle. 3- la libido sciendi Littéralement, ceci désigne le désir de savoir. Il est donc à l’origine du péché originel puisque c’est l’envie de connaissance qui a poussé Adam et Eve à croquer la pomme. Là encore, ce désir est vain puisque notre raison elle-même ne peut pas tout démontrer et qu’elle est faible (une mouche peut la mettre en défaut fr.20). Pascal aborde dans le fragment 101 la question de la raison et du cœur