Adele

note sur un journal : « Je veux être Chateaubriand ou rien" Il épouse, le 12 octobre 1822, une amie d’enfance, Adèle Foucher, née en 1803, qui lui donne cinq enfants : Léopold (16 juillet 1823 - 10 octobre 1823) ; Léopoldine (28 août 1824 - 4 septembre 1843) ; Charles (4 novembre 1826 - 13 mars 1871) ; François–Victor (28 octobre 1828 - 26 décembre 1873) ; Adèle (28 juillet 1830 - 21 avril 1915), la seule qui survivra à son illustre père, mais dont l’état mental, très tôt défaillant

pour la littérature dés 1816, et en mars 1820 il reçoit une pension de 2000 francs du roi Louis XVIII pour son Ode* sur la Mort du Duc de Berry. En 1821, sa mère décède. En 1822, Victor Hugo publie ses premières Odes. Il épouse, le 12 octobre, Adèle Foucher, à Saint-Sulpice. Un an après, son premier fils naît, il l'appel Léopold Hugo comme son grand-père mais il meurt a 3 mois. En 1824, naît sa première fille, Léopoldine Hugo. En 1825, Victor Hugo est fait chevalier de la Légion d'Honneur. En

il le trouve tellement bon qu'il octroi une pension annuelle de 1000 francs a Victor Hugo. Victor Hugo se marie avec Adèle Foucher en 1822, ce mariage va précipiter son frère eugène dans la folie une schizophrénie qui le conduira tout droit à l'enfermement jusqu'à la mort. Victor à été le père de cinq enfant qu'il à eu avec Adèle: Léopold Léopoldine Charles François–Victor Adèle, la seule qui survivra à son illustre père, mais dont l’état mental, très tôt défaillant, lui vaudra de longues années

Conservateur Littéraire. c) Vie sentimentale : En 1819 il se fiance secrètement, malgré la jalousie de son frère Eugène et contre l'avis de sa mère, avec Adèle Foucher, une amie d'enfance. Il épousera cette dernière le 12 octobre à Saint-Sulpice. Son frère Eugène ne s'en remettra pas. Il sombrera peu à peu dans la schizophrénie et il sera interné. Adèle lui donnera cinq enfants. Plus tard, se sentant délaissée par son mari bourreau de travail, entretiendra une relation avec un amant ce qui conduira à

des Nobles. Vers 1813, il s'installe à Paris avec sa mère qui s'est séparée de son mari, car elle entretient une liaison avec le général d'Empire Victor Fanneau de la Horie. En septembre 1815, il entre avec son frère à la pension Cordier. D'après Adèle Hugo, c'est vers cet âge que Victor Hugo commence à versifier. Autodidacte, c'est par tâtonnement qu'il apprend la rime et la mesure[7]. Il est encouragé par sa mère à qui il lit ses œuvres, ainsi qu'à son frère Eugène. Ses écrits sont relus et corrigés

trompe avec Adèle et qui découche pour la première fois avec une description de leur logis à l’hôtel Boncoeur, de la vie des ouvriers et de la rue de la Goutte d’Or suivie d’une querelle brutale au retour de Lantier qui mène au départ de Gervaise au lavoir en laissant ses cent sous, ses enfants et son amant. Elément perturbateur : L’annonce du départ de Lantier constitue l’élément perturbateur qui engendrera d’importantes péripéties. Péripéties : Le probable départ de Lantier avec Adèle mène à de

que les autres : une enfance de rêve, le mariage controversé avec Adèle Foucher, la bataille d'Hernani, la trahison de son ami Sainte-Beuve, une longue liaison avec la comédienne Juliette Drouet, la noyade de sa fille Léopoldine à Villequier, son combat contre Napoléon III, dix neuf années d'exil : "Je resterai proscrit, voulant rester debout", un retour à Paris qui lui permet d'être député puis sénateur, la folie de sa fille Adèle, la vieillesse paisible et glorieuse avenue d'Eylau et enfin des obsèques

la rue de la Goutte d'Or. Le père Bazouge : le croque-mort qui enterrera Gervaise. Habitant dans l'immeuble des Lorilleux, il est en quasi-permanence ivre, ne respecte que rarement le protocole et effraie Gervaise. Adèle : sœur de Virginie, Lantier quitte Gervaise pour être avec Adèle. Le père Bru : vieil homme très pauvre, habitant dans l'immeuble des Lorilleux

s'est séparée de son mari, car elle entretient une liaison avec le général d'Empire Victor Fanneau de la Horie, parrain et précepteur de Victor Hugo auquel il donne son prénom12. En septembre 1815, il entre avec son frère à la pension Cordier. D'après Adèle Foucher, son épouse qui fut aussi son amie d'enfance, c'est vers cet âge qu'il commence à versifier. Autodidacte, c'est par tâtonnement qu'il apprend la rime et la mesure13. Il est encouragé par sa mère à qui il lit ses œuvres, ainsi qu’à son frère

passion, s’enfermant, donnant toutes ses heures libres à des études qu’il ne montrait pas. Le plus souvent, il tombait sur Mlle Adèle, la fille du père Morand, qui peignait elle- même de fines aquarelles, dont on parlait beaucoup à Mercœur. Il faisait sa commande. « Trois tubes de blanc, je vous prie, un d’ocre jaune, deux de vert Véronèse. » Adèle, très au courant du petit commerce de son père, servait le jeune homme, en demandant chaque fois : « Et avec ça ?