Adieu Alphonse Lamartine

Sur la Pointe de l’Automne 1/15 Sommaire  Préface …………………………………………….…………..…...…3  Regroupement de poèmes : - « Rêves d’automne » d’Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Méditations poétiques)…………………………………….…4 - « Voici que la saison décline » de Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Dernière gerbe)…………………………………………..…..5 - « Chant d’automne » de Charles BAUDELAIRE (1821-1867)

essentielle de la poésie romantique, mais on peut la retrouver aussi à travers des romans ou des personnages de théâtre par exemple. Cette dimension lyrique est particulièrement sensible lorsqu'une œuvre est autobiographique. Exemple : Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) publie en 1820 le recueil de poésies lyriques intitulé MÉDITATIONS POÉTIQUES. Ce recueil poétique fut inspiré à l'auteur par la perte d'un être cher : à l'automne 1816, il avait fait la rencontre à Aix-les-Bains d'une jeune

structure de leur vers, c’est-à-dire le nombre de pieds que chaque vers contient. Vers pairs o alexandrins : 12 pieds (c’est le vers par excellence de la poésie soutenue et noble). Exemple : « Dans la nuit éternelle / emportés sans retour » (Alphonse de Lamartine, Le lac) o décasyllabes : 10 pieds (très utilisé au Moyen Age, il est facilement découpable) Exemple : « Frères humains/ qui après nous vivez » (François Villon, la Ballade des pendus) o octosyllabes : 8 pieds (sans coupe régulière se

peuples sans défense. J'oublie alors l'amour, la famille, l'enfance, Et les molles chansons, et le loisir serein, Et j'ajoute à ma lyre une corde d'airain ! Victor Hugo, 1831. A.M.A.T. Ainsi, mon cher ami, vous allez donc partir ! Adieu ; laissez les sots blâmer votre folie. Quel que soit le chemin, quel que soit l’avenir, Le seul guide en ce monde est la main d’une amie. Vous me laissez pourtant bien seul, moi qui m’ennuie. Mais qu’importe ? L’espoir de vous voir revenir Me

....................................................................................... -Melancholia................................................................................................................................... Alfonse de LAMARTINE -A Némésis..................................................................................................................................... Gerard de NERVAL -A Béranger......................................................................

majorité de ces œuvres, une forme de contestation, un cri d’opposition manifeste à la peine capitale. On y retrouve la révolte d’un Lacenaire ainsi que toute la puissance d’évocation d’un Victor Hugo. De la prière avec Villon ou de la technique avec Lamartine. Cependant ces qualificatifs sont très réducteurs mais donne une image de ce qu’il me suggère au premier abord. La grande majorité de ces poètes sont empreint du siècle des lumières et des idées révolutionnaires de la déclaration des droits de

deux-points. Exemples : Qu'est-ce que la littérature? de Jean-Paul Sartre Une maison... un jour... de Françoise Loranger Salut Galarneau! de Jacques Godbout Pleure pas, Germaine de Claude Jasmin «Au milieu du monde... Sur un fil!...» est un extrait de Adieu, docteur Münch2. LES CITATIONS Dans l'analyse littéraire, la dissertation explicative et la dissertation critique, les références aux textes à l'étude sont nécessaires et visent à enrichir le propos, à appuyer ou à illustrer l'idée exposée (et non

Montesquieu, Jean-Jacques Rousseau, Choderlos de Laclos XIXe Le XIXe est le grand siècle du roman. Plusieurs courants se dégagent : - le roman romantique qui exprime les états d’âme de l’auteur. Auteurs : François-René de Chateaubriand, Alphonse de Lamartine, Alfred de Vigny. - Le roman historique qui remet le passé au goût du jour. Auteurs : Alexandre Dumas, Victor Hugo. - Le roman réaliste et naturaliste qui vise à décrire fidèlement la société. Auteurs : Honoré de Balzac, Gustave Flaubert

expliquer que ce maréchal qui tenait des centaines de milliers de vies dans ses mains a préféré les lâcher pour une queue de billard ! Lucien Morin Quelques exemples Corrigé d’un sujet d’invention élaboré à partir de ce sujet inédit : Textes A – Alphonse Daudet (1840-1897), « La partie de Billard », Contes du lundi, 1873. B – Victor Hugo (1802-1885), « Lettre au Capitaine Butler », 1861. C – Robert Desnos (1900-1945), « Ce cœur qui haïssait la guerre », 14 juillet 1943 puis L’Honneur des Poètes,

Touquet [5] . L'année suivante, il écrit deux Épîtres à Monsieur Duponchel caché sous le pseudonyme de Beuglant [2] . Dès juillet 1826, il se lance dans la satire à la suite du scandale de l'Académie française qui a préféré Charles Brifaut à Alphonse de Lamartine [2] . Il compose alors une Complainte sur l'immortalité de Monsieur Briffaut (orthographe de l'auteur), puis une pièce dans le même esprit : L'Académie ou les membres introuvables, ce qui lui valut d'être recalé au concours de l'Académie en