Adieu Honore De Balzac

Bougainville, de retour d'une exploration à Tahiti, publie son Voyage autour du monde. Diderot veut donner le point de vue (supposé) des indigènes. Et il remet en cause les contraintes sexuelles de son époque, et la religion qui les impose. Ces « adieux du vieillard » sont censés avoir été retirés de son œuvre par Bougainville lui-même. En réalité, ils sont bien de Diderot ! Le Supplément dans l'œuvre de Diderot Ce passage dans le Supplément ➊ Genre et registres Genre* : À la fois récit

blancheur de son jupon dépassait. Valérie comme Adélaïde étaient fort cultivées. Ceux qui avaient accès au bureau qu’elles partageaient au premier étage admiraient les cloisons entièrement tapissées de livres reliés pleine peau. Tout Victor Hugo. Tout Balzac. Tout Émile Zola. On admirait aussi dans son lourd encadrement la figure austère, quoique égayée d’une somptueuse paire de bacchantes, de leur défunt père. Il avait été le premier juge d’instruction noir de la Guadeloupe. Ma mère qui, j’ignore pourquoi

Honoré de Balzac CODE DES GENS HONNÊTES ou L’art de ne pas être dupe des fripons (1825) AVANT-PROPOS ......................................................................3 CONSIDÉRATIONS morales, politiques, littéraires, philosophiques, législatives, religieuses et budgétaires sur la Compagnie des Voleurs........................................................ 7 LIVRE PREMIER Des industries prévues par le Code......... 18 TITRE PREMIER Des petits voleurs .......................

cesse de se nier lui-même, défaisant cette promesse de beauté dont il a garde, et observant la triste captive, en cet air irrespirable qu'il lui fait. Cette tristesse revient sur lui, par l'inflexible loi. Un des plus mystérieux parmi les romans de Balzac, c'est Honorine, nous fait voir une femme lentement assassinée par un dévouement trop peu attentif, et comme par le poids de cette forme mâle qui ne respecte point la personne. Ainsi va l'avide bonheur qui ne considère que soi, et qui se nie à tout

cesse de se nier lui-même, défaisant cette promesse de beauté dont il a garde, et observant la triste captive, en cet air irrespirable qu'il lui fait. Cette tristesse revient sur lui, par l'inflexible loi. Un des plus mystérieux parmi les romans de Balzac, c'est Honorine, nous fait voir une femme lentement assassinée par un dévouement trop peu attentif, et comme par le poids de cette forme mâle qui ne respecte point la personne. Ainsi va l'avide bonheur qui ne considère que soi, et qui se nie à tout

jusqu’en 1830. -26 juin 1795 : débarquement à Carnac de nobles, royalistes, pensant être soutenus par les bretons. Le Général HOCHE mène une répression terrible. -5 octobre 1795 : journée du 13 vendémiaire an IV : manifestations à Paris, rue St Honoré par des royalistes. BARRAS charge un général, BONAPARTE, de réprimer la manifestation. Cela relance Bonaparte dans la course à la politique. La sortie de la Terreur est facile à dire mais pas à faire. Il est facile de faire de la vengeance

préfecture de police un emploi de trois mille francs dont Camille se montrait singulièrement jaloux ; il était commis principal dans le bureau de la police d’ordre et de sûreté. Dès le premier jour, Thérèse détesta ce garçon roide et froid qui croyait honorer la boutique du passage en y promenant la sécheresse de son grand corps et les défaillances de sa pauvre petite femme. Camille introduisit un autre invité, un vieil employé du chemin de fer d’Orléans. Grivet avait vingt ans de service ; il était

préfecture de police un emploi de trois mille francs dont Camille se montrait singulièrement jaloux ; il était commis principal dans le bureau de la police d’ordre et de sûreté. Dès le premier jour, Thérèse détesta ce garçon roide et froid qui croyait honorer la boutique du passage en y promenant la sécheresse de son grand corps et les défaillances de sa pauvre petite femme. Camille introduisit un autre invité, un vieil employé du chemin de fer d’Orléans. Grivet avait vingt ans de service ; il était premier

préfecture de police un emploi de trois mille francs dont Camille se montrait singulièrement jaloux ; il était commis principal dans le bureau de la police d’ordre et de sûreté. Dès le premier jour, Thérèse détesta ce garçon roide et froid qui croyait honorer la boutique du passage en y promenant la sécheresse de son grand corps et les défaillances de sa pauvre petite femme. Camille introduisit un autre invité, un vieil employé du chemin de fer d’Orléans. Grivet avait vingt ans de service ; il était premier

passion d’une mise correcte. Pourtant, il se décida, lorsque Mme Campardon lui eut juré qu’il était très convenable. D’un mouvement languissant, elle avait tendu le front à son mari, qui la baisait avec une effusion de tendresse, répétant : – Adieu, mon chat… adieu, ma cocotte… – Vous savez, on dîne à sept heures, dit-elle en les accompagnant à travers le salon, où ils cherchaient leurs chapeaux. Angèle les suivait, sans grâce. Mais son professeur de piano l’attendait, et tout de suite elle tapa sur