Adieu

des similitudes avec les Mémoires de Saint-Simon alors nous pouvons dire qu’il écrit en essayant d'être le plus objectif possible. Dans le document que nous possédons, il est constitué de 4 paragraphes résument la journée du 26 août où il fait ses adieux à la cour mais également à tout son entourage proche. Néanmoins nous possédons pas la totalité du tome XVI, les extraient que nous avons sont tronqués. Louis XIV meurt 6 jours plus tard laissant au pouvoir son fils Louis XVI âgés de 5 ans, une régence

des similitudes avec les Mémoires de Saint-Simon alors nous pouvons dire qu’il écrit en essayant d'être le plus objectif possible. Dans le document que nous possédons, il est constitué de 4 paragraphes résument la journée du 26 août où il fait ses adieux à la cour mais également à tout son entourage proche. Néanmoins nous possédons pas la totalité du tome XVI, les extraient que nous avons sont tronqués. Louis XIV meurt 6 jours plus tard laissant au pouvoir son fils Louis XVI âgés de 5 ans, une régence

départ Adieu l'étang et toutes mes colombes Dans leur tour et qui mirent gentiment Leur soyeux plumage au col blanc qui bombe, Adieu l'étang. Adieu maison et ses toitures bleues Où tant d'amis, dans toutes les saisons, Pour nous revoir avaient fait quelques lieues, Adieu maison. Adieu vergers, les caveaux et les planches Et sur l'étang notre bateau voilier, Notre servante avec sa coiffe blanche, Adieu vergers. Adieu aussi mon fleuve clair ovale, Adieu montagne! Adieu arbres chéris

exact que le poète passa à la prison de la santé. Nous procèderons donc en 4 étapes, en suivant la progression des parties de ce texte poétique dont la versification est évolutive.Première étape (partie I) : L’arrivée en prison, une humiliation et un adieu tragique à la vie.· Cette partie comporte deux strophes de 4 vers, ce sont donc des quatrains. Les vers sont tous identiques, ce sont des octosyllabes. Les rimes sont croisées. La régularité et la légèreté de ces premiers vers peut faire penser à une

coupe de l'ivresse. Adieu, printemps ! adieu, chanson ! Elle fuit, la belle saison. Je n'irai plus vers l'horizon Chercher la muse ou la maîtresse ! Elle fuit, la belle saison : Adieu donc, adieu, charmeresse. Que de larmes ! que de regrets ! Toi dont mon âme fut ravie Déjà si loin, — encor si près ! Que de larmes ! que de regrets ! Mes mains ont planté le cyprès Sur les chimères de ma vie : Que de larmes ! que de regrets ! Adieu, mon cœur ! adieu, ma mie ! Arsène Houssaye

pied(2fois) J'ai 2 yeux, 2 oreilles, une bouche et puis un nez ... Tête, épaule , genoux pieds , Continuer avec j’ai deux bras, 2mains, et un ventre Refrain J’ai deux pieds, 5 doigt pieds, … Un crocodile, s'en allant à la guerre, Disait adieu à ses petits enfants. Traînant ses pieds, ses pieds dans la poussière Il s'en allait combattr' les éléphants ! Ah ! les cro cro cro, les cro cro cro, les crocodiles Sur les bords du Nil ont disparu, n'en parlons plus. Ah ! les cro cro cro

couleur uniforme du givre À la fin février pour vos derniers moments Et c'est alors que l'un de vous dit calmement Bonheur à tous Bonheur à ceux qui vont survivre Je meurs sans haine en moi pour le peuple allemand Adieu la peine et le plaisir Adieu les roses Adieu la vie adieu la lumière et le vent Marie-toi sois heureuse et pense à moi souvent Toi qui vas demeurer dans la beauté des choses Quand tout sera fini plus tard en Erivan Un grand soleil d'hiver éclaire la colline Que la nature

sujet de ma peine. Rassurons-nous, mon cœur, je puis encor lui plaire: ===ACTE troisième==== ===ScèneI==== Titus Prince, il faut avec vous qu'elle parte demain. Antiochus

Qu'entends-je? O ciel! Titus.Je joins la Cilicie à votre Comagène. Adieu ====Scène II.==== Antiochus

Oui, je respire, Arsace, et tu me rends la vie:

J'accepte avec plaisir un présage si doux. ====Scène III.==== Antiochus. Il faut vous séparer, et vous partez demain. Bérénice. Pour jamais à mes yeux gardez-vous

: Adieu, printemps ! adieu, chanson !Déjà si loin, — encor si près ! Elle passe comme le vent, Elle fuit, la belle saison. Que de larmes ! que de regrets ! Mon cœur la poursuit en rêvant, Je n'irai plus vers l'horizon Mes mains ont planté le cyprès Quand je suis seul sur le rivage. Chercher la muse ou la maîtresse !Sur les chimères de ma vie : Elle passe comme le vent Elle fuit, la belle saison :Que de larmes ! que de regrets ! Avec l'amour qui la ravage. Adieu donc, adieu, charmeresse

ensemble, Ne me sauraient guérir, leur métier m’a trompé. Adieu, plaisant soleil ! Mon œil est étoupé[4], Mon corps s’en va descendre où tout se désassemble. Quel ami, me voyant en ce point dépouillé, Ne remporte au logis un œil triste et mouillé, Me consolant au lit et me baisant la face, Ronsard (1524-1585) En essuyant mes yeux par la mort endormis ? Adieu, chers compagnons ! Adieu, mes chers amis ! Je m’en vais le premier vous préparer