Adjectif démonstratif

subordonnée interrogative indirecte est introduite soit par l'adverbe interrogatif "si", dans le cas d'une interrogation totale, soit par un terme interrogative, similaire à celui de la version directe, tel un pronom (qui, que, quoi, lequel, etc.), un adjectif (quel, quelle, quels, quelles), ou un adverbe (où, quand, comment, pourquoi, combien, etc.)[3]. Je ne sais pas si tu viendras (Viendras-tu ?). Je me demande qui apportera le saint-nectaire (Qui apportera le saint-nectaire ?). Infinitive Article

qui règne dans la ville et donc d’évoquer la vie, la présence de la lumière : pour cela, il évoque le soleil et le décrit grâce à un adjectif qui dépeint la forte intensité de la lumière et qui est antéposé, donc qui est mis en valeur et qui possède des connotations : « Ici le soleil pense tout haut, c’est une grande lumière qui se mêle à la conversation ». Cet adjectif est ici une syllepse : la lumière est « grande », elle a une intensité importante ou la lumière est « grande », c’est-à-dire elle a

les modalisateurs (modalisation = ensemble des jugements et des sentiments du locuteur) : Apporte un jugement : adjectifs qualificatifs mélioratifs, hyperboles Expressions : « quoi que dans un âge un peu avancé »l 2 Subordonnée conditionnel : L 11 « si quelqu’un… » c. Les caractéristiques d’une description. Énumération : « par » l 1, juxtaposition Adjectifs qualificatifs (citez des exemples) 2) Les hauts personnages de la cour a. Des personnages de haut rang

Louis les connaissaient tous 3 - Entoure les qualités et/ou les défauts qui te paraissent convenir à Louis : courageux - serviable - triste - désobéissant - maladroit - curieux - peureux - impatient 4 - Remplace la proposition relative par un adjectif qualificatif : Un enfant qui ne voit pas Un enfant aveugle - Un homme qui n’a qu’un seul œil Un homme ………… - Une personne qui n’entend pas Une personne ……………. - Le pays où je sui né Un enfant ………………… - Un homme Le pays ……………… - Un enfant qui ne parle

LE FÉMININ DES ADJECTIFS I - Règle générale : Pour former le féminin d'un adjectif on ajoute, en général, un -e au masculin: grand---> grande content---> contente frisé---> frisée original---> originale La marque du féminin (-e) fait prononcer la consonne muette du masculin: ron(d )---> ronde méchan(t)---> méchante françai(s)---> française lai(d)---> laide II - Adjectifs en –ER : Les adjectifs qui terminent par -er respectent

partir. ________________ Les romanciers écrivent beaucoup la nuit. ________________ |Identifier un adjectif | |Identifier la fonction d’un adjectif dans une phrase | 15.Souligne les adjectifs et indique leurs fonctions /10 Un violent

=> conscience du personnage en moins -> tragédie silencieuse (rien est dit sur leur peine) 2 phrases interrogatives = ritournelle, fantaisie verbale, connivence (complicité) avec le lecteur. 2) SATIRE SOCIALE : * référence au titre : Adjectif féminin, personnage indéterminés (le, la) : aucune caractéristique -> Famille type : idéale bourgeois = réussite, soumission, obéissance « Travail, famille, patrie » gouvernement de Vichy (pas encore en place à l'époque) C’est ce que dénonce Prévert

> conciliable (adjectif). Ecouter la définition Qui peut se concilier, s'accorder. * Partager sur * * Voir aussi : * La traduction de conciliable en anglais * Les anagrammes de conciliable Les mots proches : conciliabule - conciliaire - inconciliable - réconciliable - bonifiable - cocufiable - codifiable - compilable - concassable - concédable - concernable - concertable - concevable - conciliant,e - concoctable - concrétable

de comparaison : Il se faufila entres les arbres tel un chat. Fonction complément du Nom: C'est une expansion du nom, on peut la supprimer. La fille de ta voisine Un sac en cuir Fonction épithète : Lorsque le complément du nom est un adjectif, on l'appelle épithète. S'il est collé au nom, on dit qu'il est lié. S'il est séparé du nom par une virgule, on dit qu'il est détaché. Dans les deux cas, c'est une expansion du nom, on peut le supprimer. Le terrain, inondé, n’était pas disponible

rendez-vous ». 1- Une ville « laide » : Le narrateur - on sait qu’il s’agit du docteur Rieux qui parle puisqu’il s’agit de la chronique qu’il écrit pendant l’évolution dramatique du fléau - présente d’emblée la ville comme « laide ». Cet adjectif qualificatif très péjoratif place Oran sous le signe du négatif. Le lecteur entre dans un univers sombre, lugubre, qui ne fait qu’annoncer un drame à venir. La suite du texte ne fait que confirmer cet aspect. En effet, nous relevons les anaphores