Adjectif numéral

Pour le premier adjectif « différents », le nom à initiale vocalique qui le suit fait apparaître une liaison en « z » les adjectifs en -al « oral » , « verbal » font leur pluriel en -aux Pour les marques du genre : l'opposition des genres n'est pas manifestée à l'écrit (ni à l'oral) pour les adjectifs « infimes  et « visibles » (adj terminés par un -e le plus souvent après consonne) l'opposition des genres est marqués à l'écrit comme à l'oral pour les adjectifs « différent ». et

Accord de l’adjectif LA RÈGLE D’ACCORD DE L’ADJECTIF L’adjectif (ou le participe adjectif) s’accorde avec le nom ou le pronom dont il est le complément ou l’attribut : il en reçoit le genre et le nombre : - L’adjectif noyau du Groupe Adjectif attribut du sujet reçoit le genre et le nombre du nom ou du pronom noyau du GN sujet. exemple : Elle a trouvé un vase pour ses très jolies fleurs exotiques. - L’adjectif noyau du GAdj attribut du complément direct du verbe reçoit le genre et le

servent à articuler des énoncés sur d’autres énoncés. a-3-les monèmes dépendants Les autres mots de la langue sont dits monèmes dépendants (de leur position dans la phrase, de leurs relations avec les autres mots de la phrase : nom, verbe, adjectif qualificatif). Ex : Françoise s’est cassé un ongle hier à la piscine Françoise : monème dépendant Casser : monème dépendant Ongle : monème dépendant4 Hier : monème autonome A : monème fonctionnel Piscine : monème dépendant b- Parmi les monèmes

L'essentiel - L'adjectif qualificatif est épithète quand il est placé directement à côté du nom qu'il qualifie (avant ou après). Exemple : Une longue voiture noire stationnait dans ma rue. └ adj. qual. épithètes ┘ de voiture Cependant, les adjectifs de couleur sont généralement placés après le nom (une noire voiture). - Il s'accorde en genre et en nombre avec le nom : longue et noire s'accordent donc avec voiture qui est un nom de genre féminin et de nombre singulier. - Il fait partie

qui le complètent. Les expansions du nom sont : 1- L’adjectif qualificatif épithète : Un adjectif qualificatif, ou un participe passé de verbe utilisé comme adjectif, complète le nom. Dans ce cas on dit que l’adjectif, ou le participe, a la fonction épithète du nom. L’adjectif est placé soit avant soit après le nom qu’il qualifie. Ex : La méchante sorcière classe de mots : adjectif qualificatif fonction : épithète du nom « sorcière » l’adjectif épithète s’ACCORDE en genre et en

PPé ou au PPa, occupe la position du noyau verbal, on parle de fonctionnement verbal, s’il occupe une position autre que le noyau verbal, grâce au test de la commutation, nous pouvons dire qu’il a un fonctionnement adjectival s’il commute avec un adjectif, ou un fonctionnement nominal s’il commute avec un SN, ou encore un fonctionnement adverbial s’il commute avec un SA. Dans les trois derniers cas, là où la forme verbale n’occupe pas la position de noyau verbal, l’analyse consiste à en préciser la

coulant, décampant, déguerpissant, détalant, disparaissant, échappant, esquivant, évasif, évitant, fugace Lire la suite Mots du Jour décoller verbe transitif, verbe intransitif démanger verbe intransitif édifiant participe présent, adjectif entreprendre verbe transitif institut nom masculin ordre nom masculin pocher verbe transitif refuser verbe se tasser verbe pronominal transparaître verbe intransitif * Sites BENCHMARK GROUP : Le Journal du Net actualité

Le parfait:   I)Formation du parfait : Le parfait est le temps que l'on utilise pour constater et indiquer qu'un certain nombre d'actions a été accompli au moment où l'on parle. Le parfait est une forme composée : _d'un auxiliaire que l'on conjugue : soit haben, soit sein _et d'un participe II (passé) non conjugué, donc variable. Selon le type de phrase produite, l'auxiliaire conjugué est en deuxième place ou en première place. Le participe passé occupe la dernière place de la proposition

puisque le fils meurt à la guerre à la fin du texte. La simplicité des occupations et des gestes, le choix d'un vocabulaire très proche de la langue parlée familière contribuent à créer une impression de profonde banalité. Le poême ne contient aucun adjectif qualificatif et aucune ponctuation. Il n’y a aucun connecteur temporel ( sauf «  quand » v.14 ), il n ‘y a donc pas d’evolution. L’emploi du présent d’habitude permet d’appuyer sur la répétition des activités du quotidien. Dès le début du texte,

L'Ariette VII, à l'opposé, remonte du passé au présent : le premier vers, "Ô triste, triste était mon âme", est à l'imparfait ; toute la deuxième partie est au présent, y compris le verbe principal, "dit", sur lequel une équivoque semble improbable. La transition est assurée par un passé composé, "Je ne me suis pas consolé" (vers 3 et 7), qui affirme la continuité de la tristesse, mais en empruntant le détour de la négation. Entre le premier distique et les trois suivants, il y a en effet un renversement