Adjectif épithètes Antigone

difficultés d’ordre linguistique qu’il présente. • Sens des termes : estomac (= poitrine), libertin (= libre penseur), abstrait (= rêveur), politique (= qui aime discuter des événements politiques). • Catégories grammaticales : colère (employé comme adjectif) et stupide (employé comme nom). Ce qui retiendra surtout notre attention, c’est que le texte est trop long. En effet, si l’on veut travailler sur la description des personnes, et c’est justement dans cette perspective que le texte est proposé, l’un

structure qui s’élabore au cour des siècles. Il y a encore une dizaine d’année, existait encore des chanteurs analphabètes qui pouvaient réciter des épopées. Il y a des procédés oratoires : à chaque fois qu’on nomme un personnage, il revient avec son épithète. Il y a des situations de mêmes structures, et des ensembles de vers qui reviennent. Elément populaire d’une littérature faite par plusieurs personnages au fur et à mesure du temps qui passe. Mais il est quasiment certain qu’un poète ou deux a

se porter à la hauteur de cette situation tragique, invivable. « Tout grand danger, écrit Nietzsche, provoque notre curiosité pour ce qui concerne la mesure de notre force, de notre courage. » Analyse 4. Curiace réagit le premier en lançant des adjectifs qui tentent de dire l’atrocité de la situation : « cruel », « horrible », « affreux » (v. 7), et le mot « honneur » (v. 8) devient alors douloureusement, amèrement ironique. C’est, par un paradoxe apparent, Horace – qui dit se féliciter du choix

en quelques propositions la manière d’écrire le récit historique du roi en simulant les effets de représentation de son histoire, « un récit qui paraisse désintéressé, mais qui soit vif, piquant et soutenu, arrachant de la bouche du lecteur les épithètes et les éloges magnifiques que le roi mérite », mais que son narrateur n’énonce pas. La manière d’écrire l’histoire du roi est construite autour d’une double opposition, celle du paraître et de l’être d’une part, celle du désintérêt d’autre part,

situation d’énonciation dans le texte. L’énonciation dans le texte d’Amin Mal ouf : le racisme expliqué à ma fille. 1 Qui parle ? Sur quel ton ?L’auteur lui-même mais il ne prend jamais la parole en son nom ; il emploie d’abord le « notre » adjectif possessif qui renvoie à l’ensemble des hommes; il s’inclue dans une communauté humaine. Puis il utilise des formules impersonnelles « il faut » « il faudrait » : conseil, injonction. Formule assertive; ton affirmatif de ces valeurs anti-racistes

Süddeutschland. Er sieht nicht wie ein Berliner Bezirk aus. Man muss aber nur zwei Straßen überqueren, und schon ist man in der Großstadt. Daher ist der Kiez wie eine Insel. e Demander aux élèves de relire le texte et de relever des passages, des adjectifs qui décrivent les sentiments de l’auteur. Productions attendues : Etwas ziemlich Beunruhigendes / unerträglich langsam / das Beunruhigende war, dass es nur mir aufzufallen schien / zu beschaulich / ich fühlte mich fremd / ich war nicht mehr im Berliner

3e, peuvent être regroupées selon les catégories grammaticales suivantes : – auxiliaires de mode (vouloir, devoir, pouvoir) ; – verbes à valeur modale (sembler, paraître…) ; – adverbes et groupes circonstanciels (peut-être, sans aucun doute) ; – adjectifs qualificatifs (possible, éventuel, certain, probable) ; – verbes au conditionnel ; – guillemets à l’écrit (« Cette “solution” m’étonne »), geste ou intonation insistante à l’oral. L’objectif n’est pas de faire mémoriser cette liste – bien incomplète

et qui doit compléter notre connaissance de l'objet. Cette épithète est utilisée sans justification, parce qu'elle est censée énoncer des faits incontestables ; seul le choix de ces faits apparaîtra comme tendancieux. Il est permis d'appeler la révolution française « cette sanglante révolution », mais ce n'est pas l'unique façon de la qualifier et d'autres épithètes pourraient être choisies tout aussi bien. Le rôle argumentatif des épithètes est le plus clairement perçu lorsque deux qualifications

Retour au « je » initial qui précise sa position : le poète se retrouve en posture d’amoureux et de chat (« couché à tes pieds »), aimant lui aussi ce qui le fait souffrir (« maudite chère enfant gâtée » : l’absence de coordination entre les deux adjectifs souligne le caractère indécidable de ce qui est à la fois plaisir et souffrance), et marqué également par l’insatisfaction (« cherchant […] ») ; effet circulaire de la malédiction ; aspect plus clairement négatif des dernières caractérisations de

mise au rang des vertus théologales. LAFAYE L’espérance est la plus grande de nos folies et la source de toutes nos lâchetés. Alfred DE VIGNY Le management, l’histoire et le théâtre En France en 1943, pendant l’occupation on joue « Antigone » d’Anouilh : une Antigone « résistante » à Créon, cependant que le chœur dit « c’est reposant, la tragédie, parce qu’on sait qu’il n’y a plus d’espoir, le sale espoir ! » © Éditions d’Organisation Une politique de désespoir, celle que pratiqua à la fin de