Adjudant

l'Assemblée nationale Dreyfus relate la scène dans ses mémoires : « Aussitôt après la lecture du jugement, je m'écriai en m'adressant aux troupes : "Soldats, on dégrade un innocent ; soldats, on déshonore un innocent. Vive la France, vive l'armée !" Un adjudant de la garde républicaine s'approcha de moi. Rapidement, il arracha boutons, bandes de pantalon, insignes de grade du képi et des manches, puis il brisa mon sabre. Je vis tomber à mes pieds tous ces lambeaux de mon honneur. Alors dans cette secousse

; ainsi, dans le ch.I, 3, Adèle cite une lettre dans laquelle Joseph Bonaparte recommande le général Hugo au ministre de la Guerre Berthier. La lettre originale dit « Je désire beaucoup que vous puissiez l’employer à l’armée de la Gironde, comme adjudant major ou comme chef de brigade ». L’étude du manuscrit est édifiante : Adèle commence par recopier fidèlement, puis supprime le premier grade, moins élevé, ne laissant apparaître que le second. La falsification est minime. En revanche, les rapports

au reste des troupes de se replier aussi. Nous pouvons nous reposer quatre, cinq heures au plus et nous repartons en arrière. Je me souviens que nous nous arrêtons dans un petit village, à Thaon-les-Vosges, à cent kilomètres en retrait. Notre adjudant nous a demandé de passer la nuit dans les maisons du village. Nous sommes entrés dans l’une d’elles et je revois encore le regard affolé du couple qui allait nous héberger. Il faut dire que nous avons débarqué chez eux, sans prévenir, avec nos

suppression en 1827. Les caporaux, les sous-officiers et les officiers sont élus directement: les chefs de légion et les lieutenants-colonels sont choisis par le roi au moyen d'une liste de dix candidats désignés par eux-mêmes, tandis que majors et adjudants-majors sont nommées directement par le roi. Cela sera énoncé par la loi du 22 Mars 1831. La garde nationale serait alors chargée de défendre la monarchie constitutionnelle, tout comme la Charte à venir et les droits qu'elle consacre, pour maintenir

ailleurs un dispositif spécifique aux ayants droit de certains agents civils du ministère de la défense particulièrement exposés. L’article 23 crée un dispositif qui concerne les colonels, lieutenants-colonels, commandants, capitaines, adjudants-chefs et adjudants de carrière titulaire d’un droit à pension à jouissance immédiate alors qu’ils se trouvent à plus de cinq ans de la limite d’âge de leur grade. Le dispositif vise à permettre à cette population de quitter l’institution militaire en échange

inconscient. On n’est pas opposant de faite (opposant de facto) dans ce cas. 6. L’adjuvant : c’est celui qui aide le sujet dans sa quête, celui qui fait objectivement le jeu du sujet. Ca peut être un individu ou groupe d’individu. (être opposant ou adjudant sans le vouloir, crée une histoire intéressante.) Dans le schéma actantielle, si un personnage n’a pas de position, cela veut dire que votre histoire est mal ficelée. On peut avoir plusieurs schémas à l’intérieur d’un schéma dramatique, schéma

paillote Civelots : civils Cognes : gendarmes Crapouillot : petit mortier de tranchée Embusqué : militaire occupant un poste loin du front, à l'abri du danger Escouade : petit groupe de fantassins obéissant aux ordres d'un caporal Feldwebel : adjudant allemand Flingot : fusil Fourrier : sous-officier chargé de distribuer les vivres et de pourvoir au logement des militaires. Il est aussi responsable du matériel d'une unité. Gabion : cylindre de branchages, rempli de terre, servant de protection

les parois de la tranchée. Le lendemain à l’aube, on constate avec stupeur que nos tranchées sont faites dans un charnier ; les toiles de tentes mises par nos prédécesseurs l’ont été pour cacher la vue des corps et débris humains qui sont là. » adjudant-chef Daguenet, 321e régiment d’infanterie. « Sur tout le front de Souain, depuis septembre 1915, les fantassins fauchés par les mitrailleuses gisent étendus faces contre terre, alignés comme à la manœuvre. La pluie tombe sur eux, inexorable, et

facteur appela la police avec son portable et heureusement, elle ne prit que dix secondes pour venir. Ils attrapèrent le kidnappeur. « Il y a quelqu’un ? cria le sergent chef. -Humm ! Mmh ! gémirent deux voix venant du lit et de l’armoire. » Deux adjudants allèrent voir, l’un ouvrit l’armoire, prit le Petit Chaperon Bleu Marine, l’autre tira délicatement la grand-mère hors du lit. On défit leurs liens et elles se serrèrent dans les bras. « Oh ! Grand-mère ! pleura lorette. J’ai eu si peur 

l'état ecclésiastique, il s'enfuit du séminaire et s'engagea au 16e régiment de dragons d'Orléans le 7 mai 1785, combattant dans les armées du Rhin, de Rhin-et-Moselle, du Nord et de Sambre-et-Meuse sous Houchard, Custine et Jourdan à Fleurus. Nommé adjudant le 21 juin 1796, il fut grièvement blessé devant l'ennemi et incorporé comme maréchal des logis dans la compagnie de gendarmie de la Côte-d'Or le 3 mai 1798 avec résidence à Montbard. D'un premier mariage avec Marie-Jeanne Rémond (née à Montbard