Adolphe Ferrière

Croix-Rouge internationale. 27 mai Le général de Gaulle s'entretient au palais de l'Elysée avec Léopold Sédar Senghor, président de la République du Sénégal. 28-31 mai Gustave-Adolphe VI, roi de Suède, effectue un voyage officiel en France. 28 mai Le général de Gaulle s'entretient au palais de l'Elysée avec Gustave-Adolphe VI, roi de Suède. 31 mai Le général de Gaulle préside au palais de l'Elysée une réception donnée en l'honneur des chefs d'Etat africains. 1er juin Le général de Gaulle s'entretient

D’après les deux documents, le but de Diderot et d’Alembert est de rassembler les connaissances les plus diverses et de diffuser les idées des Lumières. Exercice 5 : Je croise des informations Documents 10 et 11 : 1- Ce tableau a été peint par Adolph von Menzel en 1850. 2- Non, il n’est pas contemporain de la scène, car il a été peint au XIXe siècle et la scène est sensée se dérouler au XVIIIe siècle. Elle ne s’est donc pas déroulée exactement comme cela. 3- Ce tableau représente un repas à

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Guizot (1786-1874). Universitaire protestant (rigide) prof Sorbonne/ spécialiste rev. anglaise 1640. Péremptoire. Lié à la famille d'André Gide. Intègre/ péremptoire. -> indépendants libéraux. Benjamin Constant(Suisse, liaison avec Mme de Staël, Adolphe, penseur politique. Influence Mme de Broglie (famille de talent) (fille de Mme de Staël)). Louis-Philippe arrive au pouvoir lors des Trois Glorieuses. Revolte provoquée par CharlesX qui veut limiter la presse et se réfugie à Rambouillet. Abdique

à essayer de traiter avec la Congrégation, à la suite d’une demande de corregetur. Le cas de Huysmans permet de mesurer la différence. Converti depuis peu, il courut le risque d’une condamnation. Il en fut si inquiet qu’il alla jusqu’à déclarer à Adolphe Berthet, dans une lettre de juin 1898 : «S’ils condamnent, je m’inclinerai»64. Pour éviter sa condamnation, l’abbé Bourigaud expliquait, dans une lettre au cardinal Vannutelli65 : Une sentence de l’Index me paraîtrait d’autant plus regrettable, qu’en

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aux plus grands périls. L'empereur germanique Adolphe de Nassau, était entré dans la coalition ennemie et, par un manifeste insolent, avait revendiqué au nom de l'Empire des droits et des territoires, notamment Valenciennes. À cette réclamation, Philippe ne répondit que par deux mots écrits sur un vaste parchemin : « Trop allemand. » Ces deux mots, que certains conseillers du roi avaient trouvés trop rudes et imprudents, eurent un effet magique : Adolphe sentit que la France était prête à résister

de ses chevaux et de ses hommes. Et Maurice, dans la cinquième batterie, reconnut parfaitement la pièce de son cousin Honoré. Le maréchal des logis était là, campé fièrement sur son cheval, à la gauche du conducteur de devant, un bel homme blond, Adolphe, qui montait un porteur solide, une bête alezane, admirablement accouplée avec le sous−verge trottant près d'elle ; tandis que, parmi les six servants, assis deux par deux sur les coffres de la pièce et du caisson, se trouvait à son rang le pointeur