Adolphe Thiers

légitime avec l’Assemblée et le Président - Le Prince-Président, la dérive autoritaire de la République (1848-52) Division entre républicains à cause de la répression de Cavaignac Division des monarchistes entre légitimistes et orléanistes Thiers propose LNB qui passe pour socialiste (« L’extinction du paupérisme », la révolte carbonari de 1831, son emprisonnement au fort de Ham 1840 ( 1846) « C’est un crétin que l’on mènera » 10 décembre : première élection au Suffrage universel d’un président

ostentation oratoire » (nouvelle marque d’antiparlementarisme), les défend devant le corps législatif Le Conseil d’État est donc une courroie de transmission Le régime est théoriquement républicain, mais c’est déjà une monarchie impériale Le libéral Thiers avait vu juste lors du coup d’État : « L’Empire est fait, le mot viendra quand on voudra » Le neveu va singer l’homme, mais à sa différence il brûle les étapes Lorsqu’il sent que l’opinion publique est favorable, notamment la grande bourgeoisie d’affaires

politiquement dangereux. Cette fermeture souléve l'émeute parisienne qui est noyée dans le sang par le général Cavaigniac. Le Parti de l'ordre mené par Adolph Thiers, consolide son succès en faisant élire à la présidence de la république le prince Louis Napoléon Bonaparte, neveu de Napoléon 1er, qui bénéficie auprès du peuple du prestige de son nom. Thiers, peu inspiré, dit que " c'est un crétin qu'on ménera ". Vainqueur aux éléctions législatives de mai 1849, le parti de l'ordre fait voter une série

surtout des nouvelles. En 1831, d’abord pour des raisons financières, il obtient son premier poste dans la haute administration, directeur de cabinet du ministre de l’économie. En 1834, il est nommé inspecteur général des monuments historiques par Adolphe Thiers alors ministre des affaires étrangères. Quelques soit les régimes politiques qui se succèdent et qu’il sert, dans ces fonctions qui le passionnent, il marque à jamais de son empreinte la politique française de protection et de restauration du

présidente du Comité de vigilance des citoyennes au XVIIIe arrondissement de Paris - Très active pendant la Commune, elle fait partie de la Frange révolutionaire la plus radicale et se porte même volontaire pour aller seule à Versailles tuer Adolphe Thiers - Mais elle refuse de prêter serment à l’empereur et ouvre alors une école privée en 1853 - Elle fait partie de la branche des communards - Sa vie est un exemple de lutte sans compromission avec les règles d'une république bourgeoise.

première opposition aux régimes de la troisième république qui nous intéresse : La commune de Paris. Le 17 mars 1871, Adolphe Thiers –promu président de la république un mois auparavant- et son gouvernement, évaluant mal l'état d'esprit des Parisiens, envoient au cours de la nuit la troupe s'emparer des 227 canons parisiens entreposés à la butte Montmartre et à Belleville. Ce même jour, Thiers organise l'arrestation d'Auguste Blanqui, un républicain révolutionnaire prônant l’insurrection et reconnu pour

part des républicains divisés. Afrontement des cultures politiques dans cette période par rapport à un diagnostic commun : crainte du déclin du pays et sentiment de danger sur l'avenir de la nation. 1. Effrondreement de l'Empire au gouvernement Thiers. Un préblicite a permis à Napoléon III de constater sa popularité. Les Républicains paniqués pas la libeéralisation de l'Empire : le Rép semblait chimérique et le régime impérial plus fort que la justice. Pourtant, la guerre déclarée par la France

qui souhaitent la continuation dynastique et ceux qui considèrent que depuis la révolution de 1830 (fils de Louis Philippe au pouvoir, Orléans).., enfin des républicains modérés. On donne le titre de pouvoir exécutif de la République française à Adolph Thiers, il est un redoutable tribun. La situation dans la capitale se dégradant, le 10 mars 1871 l’Assemblée décide de son transfert à Versailles. Le 10 mars 1871 un accord est conclu, connu sous le nom de « Patte de Bordeaux », tant que les relations

Présidents allant de la IIème République à nos jours Président de la IIème République Louis-Napoléon Bonaparte (1808-1873) Durée du mandat du 20 décembre 1848 au 2 décembre 1852, issu du Parti de l’Ordre. Présidents de la IIIème République Adolphe Thiers (1797-1877) Durée du mandat du 31 août 1871 au 24 mai 1873, issu du parti centre droit. Patrice de Mac Mahon (1808-1893) Durée du mandat du 24 mai 1873 au 30 janvier 1879, Légitimiste. Jules Grévy (1807-1887) Durée du mandat du 30 janvier

développement concret d’un système parlementariste par la Charte de 1830 puis les imperfections du système dualiste, une base du régime parlementaire. a. Le développement des mécanismes parlementaires * La charte de 1830 résulte d’un pacte entre Adolphe Thiers et le Duc d’Orléans après l’abdication de Charles X, il y a négociation d’une révision de la charte de 1814 qui affermit le régime parlementaire. * Reprise de la Charte de 1814 sur certains points. Elle n’est plus octroyée par le Roi mais