Adolphe

fondé par Léon Gambetta parvint à établir la III° République. Ce gouvernement proclame la République le 4 septembre 1870 et des élections vont être organisées dès 1871. Les élections eurent lieu le 17 février 1871 et la nouvelle assemblée nomma Adolphe Thiers comme chef de l’exécutif mais c’est sous le gouvernement de Mac-Mahon ( 1873 – 1879 ) qu’a véritablement été fondée la République notamment par l’amendement Wallon du 30 janvier 1875. Mais c’est avec trois lois constitutionnelles en 1875

nombreuses institutions sont mises en place, de nombreuses dispositions provisoires sont prises afin de contenter le peuple : * Le premier acte de l’Assemblée va être de nommer Adolphe Thiers à la tête du pouvoir exécutif de la République française. Cet acte fait référence au décret du 17 février 1871. * Adolphe Thiers a sa carrière politique derrière lui, plusieurs fois ministre entre 1830 et 1840, il était tout de même un opposant au Second Empire. Il incarne l’option pour la paix malgré

poursuivra jusqu’au 29 juillet : se sont les 3 Glorieuses (comme le qualifieront les romantiques). Le peuple, ainsi que la bourgeoisie, demande un rétablissement des lois Républicaine. Afin de montrer son opposition à la loi visant à censuré la presse, Adolphe Thiers proteste en publiant un texte dans quatre journaux de l’époque (« le national », « Le Temps », « Le globe » et «  Le journal du commerce »). Ce réquisitoire paraîtra sans autorisation le 27 juillet. Pendant ces trois jours, le peuple parisien

Auguste Mimerel, puissant filateur roubaisien, on l'avait surnommé le « vice-roi du Nord » qui tint sous le Second Empire le rôle officieux et généralement ignoré de chef du patronat françai[s]. Il convient aussi de noter leurs liens d'amitié avec Adolphe Thiers, et leur refus déterminé du libre-échange. Ils exercèrent quelques mandats locaux, souvent de conseillers généraux ou municipaux ; de plus, Gustave Scrive-Thiriez fut élu maire de la Madeleine en 1936, ce qui le plaça dans la position délicate

avec le scrutin uninominal à deux tours qui avait été la règle sous le Second Empire Le 16 février 1871, l'Assemblée élit son président, Jules Grévy, il se lance dans des réformes financières, administratives et militaires. Le 17 février 1871, Adolphe Thiers, ancien ministre de l'Intérieur de Louis-Philippe, est nommé Chef du pouvoir Exécutif de la République française à la quasi unanimité

L'ordre moral 1873-1877 Introduction: L'Ordre moral est fondé en 1873 à la suite du renvoi d’Adolphe Thiers. Ce mouvement politique tire son nom du discours prononcé par Mac Mahon, qui succède à ce dernier. Adolphe Thiers, élu en 1871, est le premier président de la Troisième République. Il écrase l’insurrection de la Commune de Paris, libère le territoire et règle l'indemnité de guerre due à l’Empire allemand. Toutefois, monarchiste modéré, il se rallie à la République durant son mandat.

compréhension du sujet. Après la défaite Sedan, Léon Gambetta proclame la IIIe République le 4 septembre 1870. Pour beaucoup, ce régime républicain n'est que provisoire, un retour vers la monarchie est espéré. La loi « Rivet » du 31 août 1871 institue Adolphe Thiers comme Président de la République qui affirmera « La République sera conservatrice ou ne le sera pas ». Suite à la démission de Thiers le 24 mai 1873, le Maréchal Mac Mahon le remplace. Le 20 août 1873, suite aux échecs pour une restauration

tous les trois ans par liste départementale à un seul tour (pas de ballottage). Ils reçoivent une indemnité mais ne peuvent pas exercer une autre activité. Elle est unique, permanente et ne peut pas être dissoute. Le parti de l’Ordre, mené par Adolphe Thiers consolide son succès en faisant élire à la présidence de la République le prince Louis Napoléon Bonaparte, neveu de Napoléon Ier/contre Cavaignac. Il bénéficie auprès du peuple du prestige de son nom et auprès des catholiques il promet la liberté

préparer le retour de la monarchie. Le 17 février 1871, Adolphe Thiers va être nommé « chef du pouvoir exécutif de la république française en attendant qu’il soit statué sur les institutions de la France ». Thiers, ce chef de l’exécutif, va être responsable devant le Parlement. On met alors en place un régime parlementaire. 3 textes vont venir confirmer cela. Le premier de ces textes, c’est la loi Rivet du 31 août 1871. Cette loi va instituer Adolphe Thiers Président de la République. Dans la pratique

à l’exile. Toutefois, les monarchistes ne parviendront pas à trouver de point d’accord pour savoir qui d’Henri d’Artois (candidat légitimiste) ou de Philippe d’Orléans (candidat Orléaniste) devait monter sur le trône. L'Assemblée finie par élire Adolphe Thiers « Chef du pouvoir exécutif de la République ». Finalement, l’ensemble de la classe politique convient que la paix est une priorité et que la question de la forme du régime (République ou Monarchie constitutionnelle) doit être remise à plus