Adultere

aussi une figure d’amante, comme Agathe, femme épouse du président, elle nous parait au premier abord dévoué à son mari, comme nous le montre cette citation, « Moi, mes futures fautes. Je n’en commettrai jamais, chéri. Tu le sais bien. Surtout cet adultère, comme tu t’entêtes à le nommer… Mais elles me tourmentent déjà » dans l’acte I scène II. Mais ce point de vu change dans l’acte II, scène II, ou le lecteur la surprend durant une discussion avec un jeune homme, certainement son amant. De plus elle

appartenance au peuple romain. Virtus : courage Gravitas : respect de la tradition, dignité, autorité > place capitale accordée aux valeurs familliales (car augmentation adultère, divorces et avortements) → fait voter des lois ° obligation de se marier pour hériter ° avantages financiers à partir de trois enfants ° adultère = crime > Administration sera complètement transformée avec des fonctionnaires nommés et payés par l'Empire. l'armée devient une armée de métier. II. L’art pendant

se développent sur fond d’analyse psychologique. Radiguet publie le Diable au corps à 20 ans en 1923. Ce roman à scandale va connaitre un succès fulgurant grâce notamment à une campagne publicitaire sans précédent. Ce roman raconte la liaison adultère pendant la première guerre mondiale entre François le narrateur et Marthe dont le mari Jacques est parti au front. L’extrait que nous proposons d’étudier est situé au début du roman. Il rapporte la première rencontre entre le narrateur, François

l’amour non réalisé, l’amour impossible donc platonique c’est à dire excluant toute relation charnelle. Le mariage exclu l’amour platonique, et bien on doit aimer la femme d’un autre donc l’amour courtois au MA est un amour adultère, qui permet d’entretenir le désir. Un amour adultère mais platonique exemple de Genièvre et Lancelot. Le roi Arthur le sait mais cela ne pose aucun problème. Alors que dans Tristan et Yseut s’aiment charnellement contrairement à Lancelot et Genièvre, il y a une dimension physique

réunion en ce monde. Citons que ces trois lais célèbrent un amour secret, clandestin qui convois une fois de plus la fin’amor. Deux situations classiques de la fin’amor se rencontrent dans les lais : le mari présenté comme un ennemi et l’amour adultère. L’amour ne se développe pas au sein du mariage comme on a pu le voir dans Milon, Laüstic et Le Chèvrefeuille. Des usages courtois transparaissent à plusieurs reprises dans l’œuvre de Marie de France. La joie d’amour est mentionnée dans le lai du

héroïne de la province Française qui s'ennuie avec son mari médecin, notable, qui adore sa femme. Emma Bovary devenu mère ne s'occupe pas plus de son enfant. Elle se met à vivre l'amour-passion dont elle rêve depuis toujours en commettant deux adultères, l'un avec Rodolphe, un gentilhomme campagnard, à l'affut de conquêtes féminines et l'autre avec Léon, un jeune homme clerc de notaire. Emma installée dans ses liaisons et ses illusions mène la grande vie et s'endette, elle se retrouve alors dans

 » se délectant à cette idée comme à celle d’une autre puberté qui lui serait survenue. » Victime de ses lectures, elle accepte donc l’adultère : « Alors elle se rappela les héroïnes des livres qu’elle avait lus, et la légion lyrique de ces femmes adultères se mit à chanter dans sa mémoire avec des voix de soeurs qui la charmaient » L’ennui continue d’être le lot quotidien d’Emma. Le couple va s’installer ensuite à Yonville, bourgade plus importante où ils compteront  parmi  les  notables,  entre  l’ambitieux 

théâtre est également un art aux différentes visées. Tout d'abord, il permet de réunir le public. Celui-ci est pourtant très diversifié, comme le montre l'énumération l.39-44 où les préoccupations des spectateurs sont bien différentes : « la mère adultère dont l'enfant vient de tomber malade » (l.41-42), « celui qui vient de voler pour la première fois » (l.43). Cependant, ces différences sont vite oubliées. En effet, les spectateurs ne font plus qu'un, comme l'exprime Louis Laine : « on est quelqu'un

est sans famille. Même dans l’infidélité la disparité du couple est présente, car si les époux se doivent fidélité, le mari volage est passible d’une simple amande (et seulement si il emmène sa maîtresse au domicile conjugal), alors que la femme adultère est, elle, passible de peines d’emprisonnement variant de 3 à 24 mois. Dans le principe, la femme non mariée, placée sous la tutelle de son père, gagne sa liberté le jour de ses 21ans. Liberté toute relative si elle est démunie de revenu, ce qui

inadapté à la réalité, tout comme l’est celui de Mme Bovary dans le roman du même nom écrit par le guide littéraire de Maupassant.  Paul: fils legitime de jeanne Les parents de jeanne Rosalie : Servante Julien:marie de jeanne Thèmes[modifier]Adultère, argent, crime, éducation des filles, mariage, religion, enfants, famille, femme, méchanceté humaine, l'amour, la mort sont les principaux thèmes abordés dans le roman de Maupassant. Une vie peint également divers milieux, notamment l'Église. Tout